Guizot épistolier

François Guizot épistolier :
Les correspondances académiques, politiques et diplomatiques d’un acteur du XIXe siècle


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Collection : 150_Correspondance du général Baudrand à François Guizot : 1839-1864 (Les correspondances de François Guizot : 1806-1874)

Auteur : Rendu, Louis (1789-1859)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)
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Lettre de M. Guizot à M. Lenormant, le 11 janvier 1849, Admirable tableau des vices et des vertus du partir conservateur.

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Guizot, François (1787-1874)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)
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Vous êtes mieux placé, sous quelque rapport, que nous le sommes ici, pour juger l'état politique du moment. Les documents publics et les correspondances privées vous fournissent des données à peu près suffisantes pour bien asseoir votre jugement, et vous êtes à peu près en dehors de l'esprit de coterie, qui est souvent une cause d'erreur.

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)
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Hier je n'ai pu joindre le roi : il est allé à Versailles ; mais ce matin il a lu votre lettre. Sa majesté m'a dit qu'elle ne pouvait que donner des éloges au langage que vous tenez dans cette lettre, qu'elle serait toujours disposée à soutenir, par tous les moyens en son pouvoir, les efforts des hommes de bien qui voudraient maintenir le système politique, si heureusement suivi depuis le 13 mars.

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)
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Vous êtes un écrivain célèbre et un publiciste de premier rang ; dans vos écrits vous avez apprécié les époques les plus brillantes de l'histoire d'Angleterre, votre nom est mêlé à tout ce qui s'est fait de plus important en France depuis dix ans, tout absent que vous êtes, vous exercé une influence réelle sur ce qui se passe ici, quoi qu'invisible, vous êtes un des auteurs du drame animé qui se développe sous nos yeux ; en voilà plus qu'il n'en faut pour faire de vous à Londres un Lion de proportions gigantesques et cependant je ne vous ai considéré que comme homme politique : comme philosophe et littérateur, vous excitez la sympathie d'une classe nombreuse jouissant d'une considération dans les cercles de la capitale des trois royaumes.
Et je me suis réjoui de votre départ : je le crois utile pour vous et par conséquent pour la France.

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)
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Sa majesté m'a demandé s'il était vrai que Mme de Lieven dût conduire vos enfants à Londres, au mois de mai prochain. Sur ma réponse négative, le roi ajouta qu'il en éprouverait du regret ; parce que cette dame était considérée dans le West end et dans downing street comme toute dévouée aux intérêts russes.

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteur : Baudrand, Marie-Etienne-François-Henri (1774-1848)
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Hier, je dînais au château des Tuileries : après le repas, lorsque le roi eut congédié la plus part de ses convives, sa majesté vint à moi, me demanda si j'avais eu de vos nouvelles ; sur ma réponse négative, le prince me dit : je vois que M. Guizot est bien accueilli par les hommes de tous les rangs de la société, à Londres, et qu'il y jouit d'une juste considération, j'espère que cette considération s'accroitra encore, et que notre ambassadeur conservera cette position qui lui plait, qui lui est avantageuse et dans laquelle il peut bien servir la France et le roi. Je trouve seulement que, dans ses dernières lettres au président du Conseil, M. Guizot parait trop préoccupé des dispositions de l'Angleterre qui lui semblent douteuses envers nous. Guizot est enclin à croire que les ministres anglais traiteront avec les puissances étrangères sur les affaires de la Turquie sans nous.
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