La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)

La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)


62. Monge à son gendre Nicolas-Joseph Marey

Auteurs : Monge, Gaspard

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Macerata, capitale de la Marche, le 27 pluviôse de l'an V de la République
 
Je commence ma journée par vous, mon cher Marey, pour profiter d'un courrier que le général[1] m'a dit qu'il expédierait aujourd'hui pour Paris[2] ; et après avoir eu une huitaine de jours d'été, je suis tout ébahi en me levant de voir tomber une neige abondante à laquelle je ne m'attendais pas hier d'après le vent de sirocco qui soufflait. Je suis persuadé qu'il fait dans ce moment très froid à Paris, mais le froid physique n'est qu'un mal passager, et même quand il vient à temps c'est un bien.
Je venais de remettre au général Berthier[3] à Lorette la dernière que j'ai écrite à ma femme,[4] lorsqu'il me remit celle que vous m'avez écrite en date du 2 et celle que toutes nos femmes m'avaient envoyée en même temps que la vôtre[5] ; mais pas encore celle dont elles me parlent et dans laquelle elles m'annoncent tant de détails intéressants.
Nous avons tous ici grand besoin de ces détails ; nous avons les plus grandes inquiétudes pour le maudit esprit qui empoisonne la France presqu'entière.[6] Cependant, à en croire les derniers courriers arrivés, il paraît que les belles nouvelles des victoires de l'armée d'Italie[7] ont dû produire quelqu'effet sur les ennemis de la République. Nous espérons que celles de la prise de Mantoue auront aussi leur influence,[8] mais au départ des derniers courriers, on ne les savait pas encore à Paris. Mon cher Marey, nous avons tous les yeux fixés sur la France, comme un amant sur sa maîtresse à l'article de la mort. Chaque mouvement qu'elle fait est pris pour une figure de vie, et porte l'espérance dans nos cœurs inquiets, mais aussi chaque mouvement peut être celui de la mort.
Motus sur ce qui suit.[9] Le général en chef, en recueillant tout ce que Colli[10] avait laissé à Lorette, nous a chargés, Moscati médecin célèbre de Milan et bon patriote[11] et moi, d'enlever la fameuse madone de bois vermoulu, sa sainte Robe, guenille de camelot de laine moiré rouge, et les trois écuelles cassées qu'on a prétendu avoir fait partie du ménage de Marie[12] ; de les encaisser après avoir apposé son cachet sur chaque pièce, et de les envoyer au Directoire pour en faire l'usage que sa sagesse lui inspirera, avec le procès-verbal de cet enlèvement par lequel l'archidiacre de Lorette a attesté l'authenticité des objets.[13] Le même courrier portera au Directoire notre lettre d'avis, et la caisse arrivera quand elle pourra ; nous avons bien recommandé que ce fut le plus tôt possible. Le général a fait fermer la sacrée case qui ne sera rouverte que d'après ses ordres. Mais hélas, tout cela n'est pas encore grand chose.[14]
J'étais hier soir dans la chambre du général en chef après souper ; vous auriez été édifié de le voir poser à tout son état-major des questions sur la théorie et la pratique de l'artillerie et les jeunes gens qui s'empressaient à l'envi de répondre avec justesse et de se redresser les uns les autres lorsque le cas le requérait.
Je venais de me retirer pour faire quelques lettres dans les bureaux de l'état-major. Il vint me chercher en disant: le courrier ne partira que demain; venez causer.[15] Tous les aides de camp me demandèrent en entrant de leur donner une idée de la géométrie descriptive. Je le fis et le général me dit : arrangez-vous, nous avons encore 7 à 8 jours d'ici à Rome[16] ; il nous faut tous les soirs une petite leçon de géométrie descriptive. Vous voyez, mon cher Marey, que le général sait choisir ses armes et qu'après avoir marché contre l'Empereur[17] avec des canons, il marche contre le Pape avec l'évidence.[18] Mais tout ceci est entre nous. Je ne voudrais pas que ma géométrie descriptive montât si haut ; pour qu'elle soit utile et qu'elle remplisse son véritable but, il faut qu'elle aille terre à terre. C'est l'engrais des champs qu'il ne faut pas jeter sur les arbres ; c'est la géométrie des ouvriers et des artistes ; c'est le fondement de l'industrie nationale et non l'objet des méditations des philosophes.[19]
Nous voilà donc en marche pour Rome, mais l'armée qui est maintenant à Foligno ira-t-elle jusque-là ? Si le général n'écoutait que son inspiration, je dirais oui. Mais il me semble que c'est l'armée d'Italie qui est le pivot de la France ; il ne faut pas qu'elle ait le moindre échec, ou la République est en grand danger. Le général pourra-t-il perdre de vue son armée du Tyrol pendant longtemps, l'affaiblir par le fort détachement qui est dans le patrimoine de St Pierre sans s'exposer ; je crois que c'est l'objet de ses méditations.[20] D'ailleurs le Pape envoie des plénipotentiaires auxquels on a donné des passeports et dans peu de temps il y aura quelque résultat. Quant à nous, il faudra bien que nous allions à Rome où nous avons à faire pour beaucoup de temps ; et de là nous retournerons en France, fort contents d'avoir vu l'Italie dans toutes ses saisons et plus contents encore de retourner embrasser nos familles et de voir la France même malade.
Adieu, mon cher Marey, embrassez votre femme[21] pour moi, et comptez sur les tendres sentiments de
                                                 Monge
 

[1] Monge est au quartier général avec Napoléon BONAPARTE (1769-1821).

[2] Nicolas-Joseph MAREY (1760-1818), mari d’Émilie MONGE (1778-1867), le couple et leur premier fils Guillaume-Stanislas MAREY-MONGE (1796-1863) sont à Paris du 23 brumaire an V [13 novembre 1796] au 15 ventôse V [5 mars 1797].

[3] Louis-Alexandre BERTHIER (1753-1815).

[4] Catherine HUART (1747-1846). Lettre n°59, de Lorette, le 25 pluviôse an V [13 février 1797].

[5] Lettre de Marey à Monge, Paris le 2 pluviôse an V [21 janvier 1797] et celle de Catherine, Émilie et Louise Monge, le 28 pluviôse an V [26 janvier 1797]. Il n’y a que la lettre des femmes Monge du 7 pluviôse qui a pu être retrouvée. Fonds Monge, É.pol.

[6] L’opinion publique est le sujet de préoccupation que les deux hommes partagent. Voir les lettres n°85 et 90.

[7] La bataille de Rivoli, le 25 Nivôse an V [14 janvier 1797 ], les combats d’Angiari le 26 [15] et la bataille de la Favorite le 27 Nivôse [16 janvier 1797]. Voir les lettres n°50 et 51.

[8] Reddition de Mantoue le 15 pluviôse an V [3 février 1797]. Voir les lettres n°12, 51, 53 et 55.

[9] Marey reçoit cette lettre avant qu’ils ne repartent à Nuits. Ainsi l’ensemble de la famille a accès à ces informations et cela est manifeste dans la lettre de Catherine du 12 ventôse an V [2 mars 1797]. Voir infra. La restriction de diffusion de l’information vise le cercle social et politique de la famille. Sur la dimension collective de la correspondance aux membres de la famille, voir les lettres n°40, 53, 84 et 187.

[10] Michelangelo Alessandro COLLI-MARSHI (1738-1808), général au service du Pape, chargé de la défense des États pontificaux.

[11] Pietro MOSCATI (1739-1824). C’est aussi ce que rappelle Bonaparte au Directoire le 7 germinal an VI [27 mars 1798] alors  que sont arrêtés des membres des conseils de la République cisalpine: « Le citoyen Moscati était connu comme un des plus célèbres médecins de l’Europe, ayant de grandes connaissances dans les sciences morales et politiques.  Il s’abandonna tout entier au service de l’armée, et c’est à lui et à ses conseils que nous devons 20 000 hommes peut-être, qui eussent péri dans nos hôpitaux en Italie. » (2347, CGNB). Voir la lettre n°60.

[12] Voir lettre n° 60.

[13] SENSI ( ?- ?) voir lettre n°58 et sur les saisies effectuées à Notre-Dame de Lorette voir aussi les lettres n°55, 59, 60, 61, 66.

[14] Contre la superstition.

[15] De Paris, le 12 ventôse an V [2 mars 1797], Catherine évoque avec légèreté les cours de Géométrie descriptive improvisés par Monge, alors qu’il est de retour à Rome : « J’aimais bien mieux te savoir au quartier général pérorant sur les sciences, que de te sentir à Rome. » 

[16] Monge est à Rome le 23 février 1797. Voir la lettre n°65.

[17] L’autrichien François II (1768-1835).

[18] Monge fait référence aux négociations en cours entre la France et le Vatican. Mais le pape n’est pas seulement un ennemi militaire et politique, mais aussi culturel et cela bien avant la campagne d’Italie. (Voir la lettre n°3) Comment lutter contre la superstition et l’ignorance, si ce n’est avec l’évidence, un des principes de la méthode cartésienne et de tout géomètre. (voir infra) Monge trouve un biais pour expliquer pourquoi Bonaparte préfère emprunter la voie diplomatique plutôt que la voie militaire. L’opinion de Monge sur la conduite à tenir avec le pape évolue à chaque rencontre avec le général. Voir les lettres n°40, 44, 51, 53, 63 et 65. Enfin, il n’est sans doute pas inutile d’informer la société parisienne de la sensibilité scientifique de Bonaparte. En effet, en réponse au récit de Monge, le 12 ventôse an V [2 mars 1797], Catherine commente : « Je serai bien heureuse de voir ce héros dont nos chouans disent tant de mal. Il ne manque à sa gloire que de bien étriller les archiducs qui, dit-on, vont lui livrer combat. Je fais des vœux bien sincères pour cela, et quoique nos incroyables disent que c’est un ignorant, qu’il ne sait pas les mathématiques, il prouve par de simples calculs qu’il se bat bien et dirige aussi bien son armée. »

[19] La nature du public de la Géométrie descriptive est aussi l’objet de discussions à Paris. Le 20 messidor an V [8 juillet 1797], sans doute un peu pour inciter son mari à quitter l’Italie, Catherine donne un indice des difficultés que rencontre l’École (voir les lettres n°17, 43, 77, 95 et 127) en informant Monge que sa Géométrie descriptive est la cible de critiques : « Il est des occasions où les absents ont tort, on travaille à la géométrie descriptive, on prétend que cette science ne doit pas être populaire, qu’elle doit être réservée aux seuls ingénieurs. » Or Monge est très clair sur ce point. Le caractère technique de la géométrie descriptive ne la prive ni de sa valeur élémentaire ni de sa puissance théorique (voir les lettres n°1 et 3), bien au contraire et Monge l’exprime dès 1795, lors de sa première leçon en présentant les objets de la Géométrie descriptive : « Le second objet de la géométrie descriptive est de déduire de la description exacte des corps tout ce qui suit nécessairement de leurs formes et de leurs positions respectives. Dans ce sens, c’est un moyen de rechercher la vérité ; elle offre des exemples du passage du connu à l’inconnu ; et parce qu’elle est toujours appliquée à des objets susceptibles de la plus grande évidence, il est nécessaire de la faire entrer dans le plan d’une éducation nationale. Elle est non seulement propre à exercer les facultés intellectuelles d’un grand peuple, et à contribuer par là au perfectionnement de l’espèce humaine, mais encore elle est indispensable à tous les ouvriers dont le but est de donner aux corps certaines formes déterminées ; et c’est principalement parce que les méthodes de cet art ont été jusqu’ici trop peu répandues, ou même presque négligées que les progrès de notre industrie ont été si lents. » MONGE G. [1795] (1992), p. 306. Avant d’aborder la partie plus théorique de la Géométrie descriptive consacrée à la présentation de quelques propriétés générales de l’étendue au cours d’une étude des courbes à double courbure, Monge rappelle que sa géométrie est adéquate à la formation de tous les esprits et dépasse un simple usage technique : « Si donc on avait établi dans toutes les villes un peu considérables des écoles secondaires, dans lesquelles les jeunes gens de l’âge de douze ans, et qui se destinent à la pratique de quelques-uns des arts, auraient été exercés pendant deux années aux constructions graphiques, et familiarisés avec les principaux phénomènes de la nature, (voir les lettres n°107 et 108) dont la connaissance leur est indispensable ; ce qui, en  développant leur intelligence, et en leur donnant l’habitude et le sentiment de précision, aurait contribué, de la manière la plus certaine, aux progrès de l’industrie nationale, et ce qui, en les accoutumant à l’évidence, les aurait garantis pour toujours de la séduction des imposteurs de tous les genres […].» MONGE G. [1795] (1827), p. 111.

En outre, il faut noter dès cet évènement l’écart qui existe entre Bonaparte et Monge sur l’usage de la Géométrie descriptive en particulier et des sciences en général. (Voir aussi la lettre n°128.) Il faudrait aussi rapprocher cet événement de leur différend en 1804, lors de la militarisation de l’École polytechnique et de l’accès à l’École déterminé par des conditions de ressources. C’était pour Monge un grand pas en arrière et son École polytechnique était défigurée par le même trait qui l’avait empêché de devenir élève de l’École du Génie de Mézières en 1765. Dupin consacre un long développement à ce sujet qu’il conclut ainsi : « Voilà les raisons irréfragables que Monge défendait avec courage, avec opiniâtreté, contre les vues impériales d’un homme qui souffrait en Monge la contradiction et même la réfutation, parce qu’il savait quels étaient pour lui le dévouement, l’enthousiasme, disons plus, l’aveuglement de l’illustre professeur. […] Cinq fois Monge vint auprès de l’empereur redoubler ses instances pour détourner le coup de cette mesure désastreuse ; cinq fois ses efforts furent infructueux. […] Vainement il s’efforçait, pour l’École polytechnique en particulier, de montrer au potentat, l’absurdité de former au pas d’école et au maniement du mousquet, des géographes, des ingénieurs des mines, et des ponts et chaussées, des commissaires des poudres et des salpêtres. L’homme ne répondait aux plans d’enseignement qu’on lui proposait, que par ces mots, « Il faut m’enrégimenter l’instruction publique », ne pouvait être touché des généreux motifs présentés par les Monge, les Fourcroy, les Guyton, les Berthollet ; et des casernes devaient emprisonner la jeunesse pour la façonner au servage. […]  Si Monge ne put pas empêcher qu’on portât l’un des coups les plus funestes à l’école polytechnique, par son casernement et sa police militaire, il fit du moins tout ce qu’il était en lui de faire pour diminuer le mal de cette mesure désastreuse. Il donna constamment son traitement de professeur et ensuite sa pension de retraite, pour aider à payer la dépense des élèves les moins fortunés. » Voir DUPIN Ch. (1819), pp. 69-77.

[20] Monge donne ici une explication plus stratégique. Lettre de Bonaparte au Directoire exécutif, Tolentino, le 30 pluviôse an V [18 février 1797] « Je rencontre ici le cardinal Mattei [Alessandro MATTEI (1740-1820], le neveu du Pape [Luigi BRASCHI HONESTI (1745-1816)], le marquis Massimi [Francesco Camillo VII MASSIMO (1730-1801)­­] et monseigneur Caleppi [Lorenzo CALEPPI (1741-1817)] , qui viennent avec de pleins pouvoirs du Pape pour traiter. On m’écrit que le prince Charles [Charles DE HABSBOURG (1771-1847) commandant de l’armée autrichienne d’Allemagne] est arrivé à Trieste, et que de tous côtés les troupes autrichiennes sont en marche pour renforcer l’armée ennemie. Je vous ai instruits, par ma dernière dépêche, que les douze demi-brigades que vous m’envoyez ne feraient pas 19 000 hommes. Le ministre de la Guerre [PETIET Claude-Louis (1749-1806­)­] vient d’écrire au général Kellermann [commandant de l’armée des Alpes] de garder 2000 hommes et de faire retourner un régiment de cavalerie à l’armée du Rhin ; voilà donc les 30 000 hommes que vous m’annoncez réduits à 17 000 hommes ; c’est un très beau renfort pour l’armée d’Italie, mais cela me rend trop faible pour pouvoir me diviser en deux corps d’armée et exécuter le plan de campagne que je m’étais proposé. » (1387, CGNB). Monge prend soin de transmettre par l’intermédiaire de Marey cette explication à la société de Nuits en Province. Il ne manque pas de le faire en direction de Paris dans sa lettre à sa belle-sœur Anne-Françoise Huart. Voir la lettre n°63. Bonaparte commence à préparer sa campagne vers Vienne. Voir les lettres n°65, 76 et 81. 

[21] Émilie MONGE (1778-1867).

AnalyseTranscription effectuée par René Taton à partir des lettres du fonds Marey-Monge.

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Notice créée par Marie Dupond Notice créée le 12/01/2018 Dernière modification le 11/02/2022