Archives Marguerite Audoux

Archives Marguerite Audoux


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Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
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- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou"  Lucile Rimbert.
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine, notamment à Saint-Raphaël, où nous les retrouvons ici. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-02-06 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Peintre et graveur, G[abriel] Belot (1882-1962) a illustré la très belle édition de Marie-Claire dans les Éclectiques du livre (janvier 1932). De bonne heure orphelin comme Marguerite Audoux, il vit une enfance triste. S’il est obligé d’être relieur pour gagner sa vie, c’est aussi en autodidacte qu’il peint (dès l’âge de six ans) puis grave (à partir de 1913). Entre 1910 et 1914 il se fait petit à petit reconnaître, notamment des Indépendants.
Lettres de Gabriel Belot à Marguerite Audoux : identifiants 307, 311, 321, 350 et 379
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans le corpus complémentaire (correspondance familiale et familière, identifiants commençant par le chiffre 0).
- André (surnommé "Dédé") pourrait être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.
- René n'a ou être identifié.
- Lucien Trautmann (dit Tatu), est un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.


Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-02-17 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- M. Martinguay et Olivier n'ont pu être identifiés.
- André pourrait être le fils des Gignoux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958.

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-03-04 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- André (Dédé) doit être le fils de Jeanne et Régis Gignoux.

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-03-13 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Olivier et M. Martinguay n'ont pu être identifiés.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-03-17 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-03-21 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Olivier est n ami de Paul, que la romancière semble particulièrement affectionner.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-03-23 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Louise Dugué (1867-1942), née Leroy, devenue Louise Roche par son remariage, est la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra par son mariage avec "Chou" Lucile Rimbert
Louise est incontestablement, pour le meilleur et pour le pire, la meilleure amie de Marguerite Audoux. Toutes deux se rencontrent à Paris en 1886. Après le départ du mari de Louise, les deux jeunes femmes cohabitent dans le quartier de Vincennes, avec les deux petites qu’elles élèvent (Lucile et Yvonne, la nièce de la romancière). À l’heure du succès de Marie-Claire, Louise Dugué fait office de «garde du corps», refoulant les trop nombreux tapeurs, d’où le surnom que lui donne parfois son amie : «Rabat-Joie». Jusqu’à la fin, Louise et sa fille Lucile seront aux côtés de l’écrivaine. La correspondance entre Marguerite Audoux et ces deux femmes s’inscrit dans la correspondance familiale et familière (identifiants commençant par le chiffre 0)

Collection : 1930
Auteur : Audoux, Marguerite
1930-07-15 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- "Cette bonne Walter" n'a pu être identifiée.

Collection : 1931
Auteur : Audoux, Marguerite
1931-10-09 aud paul.bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

Collection : 1933
Auteur : Audoux, Marguerite
1933-07-10 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Madeleine, les Coulon, Turbé, ex-Sadoul et Jacques sont  apparemment des habitants de l'Île-Dieu, ou des personnes en relation avec ce lieu. 

Collection : 1933
Auteur : Audoux, Marguerite
1933-08-20 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
1935-08-14 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.
- Emma Beaujon est une voisine et amie de la romancière.
- Many est la femme de Roger
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
1935-08-18 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Emma Beaujon est une voisine et amie de la romancière. Une lettre à Lucile Rimbert du 17 décembre suivant contient un passage qui nous éclaire sur les circonstances qui ont contribué à hâter ce déménagement (les crises de folie d’Emma) :
« […] Tu ne peux t’imaginer la tranquillité que j’ai ici dans mon logement [de la rue de la Convention]. Emma est venue me voir seulement une fois et devant son air de folle je n’étais pas très rassurée. Je préfère l’oublier. Sais tu qu’elle a voulu m’étrangler ? Je ne me souviens pas te l’avoir dit. Une autre fois elle est venue à moi avec une grosse tenaille ouverte pour me prendre le nez. Et tant d’autres menaces inconscientes que je ne peux te raconter ici. Comme tu vois, il était grand temps que je déménage. Aussi j’ai fait vite. Pauvre Emma ! […] »
- Vitali est une autre voisine et amie de Marguerite Audoux rue Léopold-Robert, couturière elle aussi.
- La Suzanne de cette lettre et son fils Bernard n'ont pu être identifiés
- Henry Coudour (1879-1955) [orthographié /Coudourt/ dans la présente lettre et dans une autre (identifiant 106) à Valery Larbaud, et /Coudour/ dans une autre lettre à Larbaud (identifiant 45) et dans un courrier adressé à Francis Jourdain (identifiant 349)] est né à Montbrison (Loire). Il est, comme Delaw, illustrateur, et doit aussi sa réputation aux portraits, paysages, natures mortes et fleurs qu’il exécute. Il est Sociétaire du Salon d’automne, et expose également au Salon des Tuileries.
- Georges Delaw (pseudonyme de Henri Georges Deleau) naît le 4 septembre 1871 à Sedan et meurt le 8 décembre 1938 (et non 1929, comme indiqué par erreur dans le Bénézit). Dessinateur humoriste et sympathisant libertaire, il entretient une correspondance avec Jean Grave et donne plusieurs dessins aux Temps nouveaux. Nous reproduisons une partie de la notice qui le concerne dans le Bénézit :
« Ce charmant artiste se situa singulièrement au-dessus de la plupart des humoristes. Un sentiment poétique délicat caractérise celui qui signa souvent «G. Delaw, Ymagier de la Reine». Il s’inspirait tout à la fois de la nature et du folklore. Outre une abondante collaboration aux journaux illustrés, il a réalisé douze panneaux pour la salle de jeu des enfants du transatlantique «Paris» et du paquebot «Aramis». Edmond Rostand lui fit peindre cinq panneaux pour sa villa basque d’Arnaga. » [Bénézit (E.), Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, tome troisième, p. 463]. L’ouvrage en question mentionne aussi ses illustrations pour les ouvrages de Perrault, Andersen, Francis Jammes, Anatole France… ainsi que pour ses propres œuvres, notamment Sur les chemins de France, ouvrage dans lequel Georges Delaw traduit à la fois son amour du paysage français et tout ce que nos sites évoquent des traditions populaires, du réel familier au légendaire. (Ibid.)
Delaw a également écrit La Première année de collège d’Isidore Torticolle, Contes de nourrice, Histoires de brigands, et Histoire mirobolante de Jean de la Lune.
Il est possible que le premier contact entre Delaw et le groupe de Carnetin soit assuré par Francis Jourdain, qui ressemble un peu à son confrère par ses idées et sa production (il réalisera, par exemple, les décors de L’Atalante).
À plusieurs reprises le nom de ce sympathique fantaisiste apparaît dans la correspondance avec les écrivains, les intellectuels et les artistes [lettre du 5 juillet 1910 de Marguerite Audoux à Larbaud (identifiant 45), où elle lui écrit que Michel, Gignoux, Delaw et elle, notamment, sont réunis au Diben ; autre lettre (identifiant 51) de la romancière à Gide du 23 juillet 1910, où l’on apprend que c’est Marguerite Audoux qui fait connaître Michel Yell au dessinateur].
L'état morbide de Delaw annonce une lente agonie puisqu'il ne disparaîtra qu'en 1938.
Lettre de George Delaw à Marguerite Audoux : identifiant 64.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann, dit Tatu, ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Line est la future épouse de Tatu.
- Louise Dugué est la meilleure amie de la romancière et la mère de Lucile (prénom parfois orthographié Lucyle), laquelle deviendra Lucile Rimbert par son mariage avec Chou.
- Many est la femme de Roger. 






Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-08-14 aud paul.bmp
- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.
- Many est la femme de Roger.
- Le petit Roger (prénommé comme son père), alias Jolibeau, est né le 21 février 1936 (il va sur ses six mois).

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-10-20 aud paul (1).bmp
- Mme Bertrand est une habitante de Saint-Raphaël qui s'occupe de Marguerite Audoux, diminuée à quelques mois de son décès.
- Henri Philippon (1908-1981) est journaliste. Dans Aux Ecoutes, en 1961, il fera courir le bruit que Marguerite Audoux et Alain-Fournier étaient amants.
- "Chou" est le mari de Lucile Rimbert (fille de Rabat-Joie, la meilleure amie de la romancière). D'où "les Choux" pour désigner le jeune couple.

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-11-15 aud paul (1).bmp
- Amélie Perrier est une amie de Marguerite Audoux.
- Louis Lanoizelée (1896-1990) est un modeste autodidacte nivernais. Il est d’abord valet de ferme, puis, à dix-huit ans, travaille comme mineur de fond à La Machine. Il monte ensuite à Paris, où il est maître d’hôtel – dans la même maison que son épouse, employée comme femme de chambre. C’est en 1936 qu’il réalise son rêve - obtient, comme il le dit, son « bâton de maréchal » - en ouvrant une boîte de bouquiniste quai des Grands-Augustins. Ses grands-parents ne savaient ni lire ni écrire, ses parents étaient quasi illettrés. Comme Marguerite Audoux, il dévore dès sa prime jeunesse tout ce qu’il trouve à sa portée, en particulier un livre auquel il manque le début et la fin et qu’il découvre ensuite être Pêcheurs d’Islande. Il finira d’assouvir sa passion en écrivant des monographies à compte d’auteur sur les petites gens comme lui qui sont entrés en littérature : Marguerite Audoux, Charles-Louis Philippe, Lucien Jean, Émile Guillaumin... Louis Lanoizelée est donc le deuxième biographe de la romancière (son Marguerite Audoux paraît en 1954). Un cinquième et dernier ouvrage, Souvenirs d’un bouquiniste (le seul qui ne soit pas à compte d’auteur), sera édité en 1978 à l’Âge d’Homme.
Quand il commence à faire ses visites bimensuelles à la romancière, en 1932, Louis Lanoizelée est donc encore maître d’hôtel rue de Varenne. Il ne peut s’échapper que deux heures dans l’après-midi et, très vite, remplace les fleurs par une grande tarte, car il sait que les petits-neveux de Marguerite Audoux viennent le dimanche.
À quatre-vingt-neuf ans, Louis Lanoizelée est invité pour une émission à France-Culture. Il s’éteindra cinq ans plus tard.
Lettres de Marguerite Audoux à Louis Lanoizelée : identifiants 360, 365, 367, 372, 384 et 396
- Maurice est le cadet des trois petits-neveux (frère de Paul et Roger).
- Many est l'épouse de Roger et Roger (prénommé comme le père), alias Jolibeau, est leur fils.

Collection : 1923
Auteur : Audoux, Marguerite
1923-07-21 aud paul (1).bmp
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Les Courmaillot, Godet (lui chef de gare dans la région vendéenne) et Guillemin (logeurs) sont ou ont été des habitants de L'Île-d'Yeu.
- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul d'Aubuisson - Marguerite Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à Émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. Ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold-Robert (la mère de Léon-Paul Fargue ne devient elle pas « Farguette » ou « Farguinette » ?...).

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
1935-08-07 aud paul (1).bmp
- Roger (vingt-trois ans) et Maurice (dix-huit ans) sont les frères cadets de Paul (vingt-neuf ans) ; Many est la compagne de Roger.
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.

Collection : 1928
Auteur : Audooux, Marguerite
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- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Del[ange] est journaliste à L'Excelsior (premier quotidien bénéficiant d'une illustration photographique abondante et en grandes dimensions, qui préfigure le France-Soir de Pierre Lazareff) ; on doit à Delange la prépublication de L'Atelier de Marie-Claire dans L'Excelsior, du 21 décembre 1919 au 3 février 1920.
Fils d’un graveur, L[ucien] D[escaves] (1861-1949) passe une enfance modeste dans un quartier pauvre de Montrouge. En 1882, il publie son premier roman, Le Calvaire d’Héloïse Pajadou, où il s’affirme déjà comme un observateur amer de la société. Sa satire du milieu militaire, notamment avec Sous-offs (1889), lui attire poursuites judiciaires (pour outrage aux bonnes mœurs et injures à l’armée) et acquittements. La position qu’il défend contre Zola dans "le Manifeste des Cinq" (Le Figaro, 18 août 1887) lui ferme les portes de la Société des gens de lettres. Le monde officiel des lettres, cependant, lui accorde un siège, en avril 1900, à la « Société littéraire des Goncourt », dont les statuts sont publiés au Journal officiel le 26 janvier 1902, le premier prix étant remis le 21 décembre 1903 au restaurant Champeaux. En novembre 1910, Marguerite Audoux est « goncourable », et Descaves toujours dans le jury… Si la romancière conçoit des craintes par rapport à ses concurrents, ses amis, eux, se méfient au plus haut point de Descaves, qui deviendra président de l’Académie Goncourt en 1944.
Lettres de Lucien Descaves à Marguerite Audoux : identifiants 305 et 309.

Collection : 1910
Auteur : Alain-Fournier
Carte postale d'Alain‑Fournier à Marguerite Audoux
Article d'Alain-Fournier sur Marie-Claire pour la NRF du 1er novembre 1910 ; publication de son poème en prose La Partie de plaisir par Schéhérazade le 15 septembre

Collection : 1910
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Envoi de l'article de Rachilde sur Marie-Claire - Passages recopiés de lettres de paysans qui admirent Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Pèlerinage à bicyclette d'Alain-Fournier à la ferme de Berrué, cadre principal de Marie-Claire

Collection : 1913
Auteur : Alain-Fournier
Archives Marguerite Audoux
Demande de collaboration avec Le Cardonnel

Collection : 1913
Auteur : Alain-Fournier
Billet d'Alain‑Fournier à Marguerite Audoux
Invitation à aller voir sa sœur

Collection : 1914
Auteur : Alain-Fournier
Carte-lettre d'Alain‑Fournier à Marguerite Audoux
Au front - Demande de destruction d'une partie de ses lettres (évoquant Yvonne)

Collection : Correspondants
Archives Marguerite Audoux
Une lectrice, sur laquelle nous ne possédons aucun autre renseignement

Collection : Correspondants
Archives Marguerite Audoux
Expéditeur allemand inconnu.

Collection : Aucune collection
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1928
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