FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 novembre 1887
Marie Moret remercie Anseele pour l'envoi des statuts du Vooruit. Elle le remercie également d'avoir consacré au Familistère la première page de son journal De Toekomst. Elle l'informe qu'elle a reçu au début du mois de novembre une lettre de Neale qui disait qu'il était dans l'attente d'une lettre de lui et qu'il aurait plaisir à lui envoyer à Gand le Manual for Cooperators et quelques traités de comptabilité et de contrôle des magasins coopératifs.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 21 novembre 1887
À la demande d'Anseele, Marie Moret lui communique le nom anglais des pionniers de Rochdale : la société fut enregistrée officiellement le 24 octobre 1844 sous le nom Rochdale Society of Equitable Pioneers. Elle et Godin remercient Anseele pour les informations contenues dans sa lettre du 19 novembre 1887.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 février 1888
Marie Moret accuse réception de la brochure de la traduction en flamand des Pionniers de Rochdale, qui a été reçue le matin suivant la mort de Godin. Elle évoque la rencontre de Godin et d'Anseele. Sur un projet de visite du Familistère par Anseele pendant les deux jours de Pâques : à la différence du Vooruit, qu'il est préférable de visiter le dimanche et les jours fériés, il vaut mieux visiter le Familistère en pleine activité un jour de la semaine. Elle propose à Anseele de lui offrir l'hospitalité au Familistère. Elle remercie le Vooruit d'avoir inscrit le nom de Godin sur un des cartels de sa grande salle « parmi ceux des grands hommes que le peuple vénère ». Elle attire l'attention d'Anseele sur Auguste Fabre, inspirateur du mouvement coopératif de Nîmes qui a pour organe le journal L'Émancipation rédigé par de Boyve.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 22 février 1888
Sur une demande de prêt de 35 000 F de la part d'Anseele. Marie Moret regrette que cette demande n'ait pas été faite du vivant de Godin, qui avait des capitaux disponibles. Elle lui explique sa situation financière et celle de la Société du Familistère : Godin a légué la moitié de sa fortune à la Société du Familistère, plus 200 000 F destinés à ses héritiers, dont 300 000 F en titres dans la Société destinés à elle-même ; après règlement de la succession, la Société du Familistère disposera de 2 millions dont une partie en espèces mais qui lui est indispensable comme fonds de roulement. Elle regrette de ne pouvoir personnellement réunir des capitaux pour satisfaire la demande d'Anseele.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Edward Anseele que sa carte du 16 avril 1901 adressée à la Société du Familistère lui a été communiquée. Elle suppose que la Société a répondu à sa demande d'envoi d'une Notice et de communication du prix des ouvrages mentionnés sur la couverture du Devoir qui lui appartiennent. Elle lui adresse gracieusement les autres brochures qu'il a demandées et lui signale que L'histoire de Ralahine est épuisée. Elle informe Anseele que parmi les ouvrages qui lui appartiennent, il faut distinguer ceux dont il reste suffisamment d'exemplaires, en vente chez Guillaumin et Cie, et ceux dont elle pourrait lui céder quelques exemplaires avec 25 % de remise sur le prix indiqué et les frais d'envoi à sa charge.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à la lettre qu'il lui a adressée [à Nîmes] le 25 avril 1901 et à celle qu'il lui a adressée à Guise. Elle l'autorise à traduire [en flamand] la brochure sur l'histoire de Ralahine, le remercie d'avoir traduit celle sur l'histoire des pionniers de Rochdale, et évoque la brochure d'Auguste Fabre sur Robert Owen [envoyée à Anseele le 23 avril 1901]. Elle donne des informations biographiques sur Auguste Fabre. Excellent connaisseur du mouvement social en France et à l'étranger, économe du Familistère pendant deux ans, un des principaux auteurs de la brochure Le Familistère illustré, ancien travailleur manuel en qualité de chef d'industrie mécanique à Nîmes, Auguste Fabre est parfaitement qualifié « pour traiter avec vous les divers aspects de la fondation que vous projetez, relativement à l'œuvre même de Godin. » Elle lui envoie gracieusement la première édition de Mutualité sociale, qui comprend les statuts et règlements in extenso de la Société du Familistère. Elle lui indique qu'elle ne dispose pas de la 2e édition qui comprend des modifications de détail opérées sur ces statuts. Elle lui annonce qu'Auguste Fabre traitera avec lui « cette question de pacte social », qu'il lui écrira à propos de l'important document que constitue sa discussion avec monsieur Solvay, et qu'elle enverra le surlendemain en colis postal à la Librairie ouvrière de Gand les ouvrages qu'il demande [plusieurs exemplaires de Solutions sociales, du Gouvernement... et de La politique du travail...].

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme à Anseele l'intérêt porté par Auguste Fabre et elle-même à sa correspondance avec monsieur Solvay. Elle lui indique qu'il doit s'entendre avec l'administrateur-gérant du Familistère Louis-Victor Colin avant de venir au Familistère pour obtenir des renseignements complémentaires, et elle lui communique l'avis aux visiteurs qui figure sur la couverture du Devoir.
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