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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 15 janvier 1849
Godin informe Daverdoing qu'il vient de lui expédier une cuisinière à la demande de Manesse de Frasnoy. Il précise qu'il s'agit d'une cuisinière perfectionnée qu'il cède au prix des anciennes étant donné le coût du transport. Il l'avertit qu'il émet un mandat de 110 F à régler avant le 2 février 1849.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 2 octobre 1849
Godin annonce à Daverdoing qu'il vient d'expédier la cuisinière destinée à Pelgrin. Il indique qu'il attend une réponse de Daverdoing pour solliciter le règlement de 116 F que celui-ci souhaite payer ; il lui fait remarquer qu'il a acheté sa cuisinière moins cher, 110 F, alors que l'appareil est vendu 120 F pour un paiement au comptant et 112 F dans le cas d'une vente en gros. Désireux de vendre ses produits à Metz, Godin prie Daverdoing de demander aux marchands de fourneaux de la ville, parmi lesquels Rheurte-Bousse, François, François-Vaillant et Lemarie, de venir voir sa cuisinière ; Il lui demande également de lui indiquer la maison la mieux réputée à Metz, à laquelle il pourra envoyer son tarif et des lithographies. Godin donne enfin des explications sur le fonctionnement de la cuisinière de Daverdoing.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daverdoing, 4 janvier 1850
Godin informe Daverdoingt, contrôleur des contributions indirectes, que ses magasins sont dépourvus des fourneaux qu'il demande et il revient sur les « difficultés » de la vente d'une cuisinière. Godin rappelle qu'il a expédié à Pelgrin une cuisinière différente de celle que lui avait demandé Manesse et la lui avait cédée au prix avantageux de 122 F ; le prix de 114 F qui figure sur le tarif est celui consenti aux marchands et non aux consommateurs, explique Godin, et la livraison chez un particulier est plus difficile que chez un commerçant ; Godin prie Daverdoingt, grâce à qui il place des appareils à Metz, de faire connaître aux personnes intéressées que le prix ne peut être maintenu à 110 F et lui indique qu'il lui versera la différence [entre ce prix et le prix de vente]. Godin conclut en informant Daverdoingt qu'il met en fabrication les cuisinières demandées et lui demande la contenance des marmites et casseroles qu'il souhaite obtenir.
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