Marie Moret déçue que Jules Prudhommeaux soit à Montluçon plutôt qu'à Nîmes, où elle l'imagine « travaillant parfois de concert avec nous », mais elle se réjouit de son travail de traduction de l'anglais. Informe avoir inscrit Prudhommeaux au registre des abonnés du Devoir à Montluçon et qu'il recevra bientôt le numéro d'octobre 1896. Fait savoir par Fabre que le service du Devoir continuera au 26, cours Morand à Lyon « où le Devoir a des lecteurs ». À propos d'un nouveau roman dans Le Devoir : Sans famille arrive à sa fin et Marie Moret sollicite Prudhommeaux sur le choix d'une œuvre, de préférence du domaine de la Société des gens de lettres avec qui elle a un accord ; elle aimerait mettre en avant la note spiritualiste, « faisant appel aux sentiments les plus élevés. » Presse « l'Amiral » [Auguste Fabre], qui prend une leçon d'anglais au moment où écrit Marie Moret, d'écrire à Prudhommeaux, et transmet les meilleurs souvenirs de « tout l'équipage. »