FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Tony Noël, 6 janvier 1886
Marie Moret se réjouit de la lettre de Tony Noël à qui elle pensait quelques jours plus tôt. Elle évoque leur communion d'esprit et une plaisanterie échangée sur Saint-Augustin. Elle espère que Charcot pourra faire du spiritisme pour réussir à faire émerger la vérité par la méthode scientifique. Elle lui présente ses vœux pour la nouvelle année.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Lucy R. Latter, 5 avril 1895
La famille Moret-Dallet adresse ses condoléances à Lucy Latter et aux dames Pagliardini pour le décès de Tito Pagliardini. Marie Moret remercie Lucy pour les notes qu'elle lui enverra et la prie de lui adresser les journaux donnant des renseignements biographiques sur « notre bien cher ami ». Tito Pagliardini a retrouvé Godin et « bien d'autres amis qui étaient partis avant lui », ainsi que sa femme dans le monde spirituel.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Frederic William Henry Myers, 13 avril 1894
Myers a écrit une lettre à Émilie Dallet datée du 3 avril 1894 qui traite de récits de télépathie que semble lui avoir fait celle-ci. Myers semble avoir demandé des confirmations de ces récits à sa sœur Marie Moret. Marie Moret apporte un témoignage relatif à certains d'entre eux en faisant référence à une brochure. Les récits mettent en scène des parents de Marie Moret et Émilie Dallet : leur mère Marie-Jeanne Philippe, leur tante Élisa, leur cousine Valérie P., le mari d'Émilie Hippolyte Dallet, et la troisième fille d'Émilie et Hippolyte Dallet.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 29 décembre 1893
Réponse à la lettre de Flore Moret en date du 27 décembre 1893. Sur la communication spirituelle. À propos de diverses personnes : madame Roger, Louise, monsieur Devillers, famille de Crécy, sœurs de Flore Moret ; décès de Blanche Duchâteau. Incendie de la tannerie Dezaux ; mistral dans le sud et tempête dans le nord.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 28 décembre 1893
Vœux de bonne année 1894 : « que vous sentiez bien nettement, bien chaudement que tous ceux qui s'aiment sont ensemble à travers la distance, quand même cette distance apparente est ce qu'on appelle la mort ». Installation de la famille Moret-Dallet à Nîmes meilleure que l'année précédente : absence de blattes, « ces terribles insectes ». Jours encore trop courts pour faire de longues marches. Union spirituelle des cœurs des vivants et des morts.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Catrin, 27 février 1877
Marie Moret écrit à son amie suite au décès de son mari. Elle lui recommande la lecture de Mirette.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jean-Baptiste André Godin, 15 mai 1876
Propositions pour une prière que Godin est en train de rédiger. Marie Moret lui donne des nouvelles diverses.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 2 janvier 1874
À propos du décès de l'épouse de Tito Pagliardini : Godin cherche à consoler son ami en l'engageant à adhérer à ses convictions spiritualistes, malgré le scepticisme de Pagliardini à cet égard.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Glady Cavelier, 25 avril 1892
Réabonnement de Mme Cavelier au journal Le Devoir et transmission à Pascaly de sa lettre pleine de sympathie. Sur les retrouvailles des âmes après la mort. Mme Cavelier semble être aussi née un 27 avril, comme Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 janvier 1892
Marie s'excuse pour le retard dans sa correspondance. Au sujet des écrits spirituels de M. Moschos et d'une mauvaise note d'Antoniadès en mécanique. S'inquiète de la santé d'Antoniadès à la suite de son voyage à Bruxelles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 7 novembre 1891
Sur le mot « amour » : « Je l'ai pris dans le sens universel comme principe impulsif de tout mouvement, de toute action. » Sur le chauffage du domicile d'Antoniadès.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 30 octobre 1891
Réponse à une lettre d'Antoniadès en date du 30 octobre 1891 : Antoniadès entre en deuxième année de l'École centrale des arts et manufactures ; études de monsieur Moschos et de Paul Piou de Saint-Gilles ; le relevé du pavillon central du Familistère ; situation morale et financière de la famille Piou de Saint-Gilles ; un don ou prêt de monsieur H. [Haskier] à la famille Piou de Saint-Gilles ; difficultés financières de Gaston Piou de Saint-Gilles ; les « Salutistes » de Gaston ; nouvelles météorologiques.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 19 octobre 1891
Sujets divers : les examens d'Antoniadès ; William Crookes et l'état radiant de la matière ; Gaston Piou de Saint-Gilles ; dessin d'Antoniadès du pavillon central du Familistère ; premiers froids à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 17 octobre 1891
Sur les études à l'École centrale des arts et manufactures. Sur les réflexions philosophiques et morales de Gaston Piou de Saint-Gilles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 30 août 1891
À propos de pensées inspirées à Marie Moret par Antoniadès pendant son séjour à Lesquielles-Saint-Germain. Sur Gaston Piou de Saint-Gilles et sa brouille avec Antoniadès. Sur la fin dramatique et immorale du feuilleton du journal Le Temps et la pensée de la mort.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, après le 5 août 1891
Sur différents sujets : la maturation de la pensée de Gaston Piou de Saint-Gilles ; son adresse à Saint-Gilles ou à Croix-de-Vie ; ses examens et ceux de Paul Gaston Piou de Saint-Gilles ; sur la détermination de Godin à accomplir son œuvre ; sur l'existence matérielle de l'âme.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 27 juillet 1891
Départ en vacances de Gaston : où lui adresser le journal Le Devoir ? Sur la matérialisation des idées et le progrès social. À propos du végétarisme d'Édouard Raoux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ambroise Rétout, 25 juillet 1891
Réponse à la lettre de Rétout en date du 22 juillet 1891 : réception du mandat de 10 F pour réabonnement au journal Le Devoir ; considération sur la dimension intellectuelle et morale de l'union conjugale ; vie à Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 16 juillet 1891
À propos des sciences, des vérités non admises et d'un idéal supérieur des sociétés.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 14 mai 1891
Réponse à une lettre d'Auguste Fabre en date du 12 mai 1891, contenant les portraits photographiques de sa fille et de son fils. Réception de livres et du faire-part de mariage de Juliette Cros. Sur l'isolement de la famille Moret-Dallet, « trois pauvres oisillons sans parents ». Émilie Dallet chargée officiellement de la surveillance des écoles du Familistère. Sur la crainte d'une guerre et sur l'édition du journal Le Devoir : « Doyen est rentré depuis longtemps dans les services de l'usine et personne autre que moi ne s'occupe ici de la correction des épreuves et de l'établissement de chaque numéro ». Invitation enthousiaste faite à Fabre de séjourner à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la vie à Lesquielles-Saint-Germain. « Madame Dallet vous introduira dans les régions spiritualistes ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Tito Pagliardini, 28 décembre 1889
Vœux de bonne année ; sur l'esprit de Godin.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles Lemonnier, 7 octobre 1889
Sur un changement d'adresse d'expédition du journal Le Devoir ; sur la signification du mot « Vie » pour Godin.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Demeur pour sa lettre. Elle l'informe que madame Brullé a été heureuse d'avoir de ses nouvelles et qu'elle compatit à la perte de son enfant de 6 ans, elle qui craint la perte imminente de son mari. Elle explique à Demeur qu'elle est « mère par ma sœur » qui a eu trois petites filles, dont 2 ont disparu à l'âge de 2 et 4 ans, et qu'elle éprouve « le sentiment de l'isolement et du vide, quand on perd le compagnon de toute l'existence ». Elle évoque le souvenir de leur fréquentation à Laeken il y a 25 ans. Elle demande à Demeur s'il est devenu spiritualiste comme le fut Godin. Elle lui annonce qu'elle lui écrit une deuxième lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Benoît Malon, 24 février 1888
Marie Moret remercie Malon pour sa lettre du 18 janvier 1888 ; elle exprime à Malon le sentiment que provoque en elle la perte de Godin. Elle le remercie également pour l'article que la Revue socialiste de février 1888 a consacré à Godin ; elle lui demande toutefois de rectifier une inexactitude dans une note relative aux croyances mystiques et spirites que Godin aurait professées « dans les dernières années de sa vie » : il était déjà spiritualiste en 1856. Elle lui fait part de l'estime et de l'affection que Godin avait pour lui, qu'il aurait voulu accueillir au Familistère ; elle souhaite que la santé de Malon, désormais dans le Midi, se rétablisse.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Bernard Steüer, 25 février 1888
Sur le mausolée de Godin. D'après Ringuier, Steüer a proposé de soumettre un projet pour le mausolée de Godin. Marie Moret lui précise que ceux qui veulent présenter un projet au conseil de gérance de la Société du Familistère, à elle-même et à l'exécuteur testamentaire de Godin le font à leurs risques et périls. Elle l'informe qu'en raison de la neige, le plan de la partie du jardin où s'érigera le mausolée ne sera achevé que la semaine suivante. Suivant le désir de Ringuier, Marie Moret donne à Steüer des indications sur la pensée de Godin : « Il était en outre profondément spiritualiste et savait bien que son tombeau ne recèlerait que la partie grossière de son enveloppe matérielle. Il serait donc bon que son mausolée indiquât ces traits généraux. » Elle propose de lui envoyer quelques brochures de Godin et lui précise qu'elle possède un buste en bronze de Godin réalisé par Tony-Noël et qu'elle correspond avec ce dernier à propos du mausolée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Dubos-Foy, 22 janvier 1897
Accuse réception de la lettre de madame Dubos-Foy du 20 janvier et du mandat poste de 10 F pour le réabonnement au service du journal Le Devoir. Au sujet du vœu de madame Dubos-Foy que Marie Moret soit de nouveau unie à Godin dans la vie spirituelle : les conditions de la vie terrestre dont elle bénéficie actuellement, qui permettent aux « êtres bien inférieurs » d'être aidés et guidés par « des êtres très grands et très bons » ; le classement des êtres selon leurs mérites dans la vie spirituelle ; l'aspiration de Marie Moret à être de nouveau guidée par Godin dans la vie spirituelle. Touchée par ce vœu, Marie Moret souhaite à madame Dubos-Foy d'être réunie avec ceux qui lui sont chers. Sur le principe de « vivre pour l'humanité » exprimé par madame Dubos-Foy et partagé par Marie Moret et Godin « toutes les fonctions de la vie, même les plus usuelles, peuvent être accomplies dans un esprit qui les rattache au bien de l'humanité ». Marie Moret souhaite offrir plusieurs ouvrages à madame Dubos-Foy.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Dubos-Foy, 14 janvier 1896
Réponse à la lettre de madame Dubos-Foy du 10 janvier 1896 contenant un mandat de 10 F pour réabonnement au journal Le Devoir. Remerciements pour l'expression de sympathie de madame Dubos-Foy à l'égard du Devoir : « Mes lecteurs sont en très petit nombre, bien qu'il s'en trouve jusqu'en Amérique, et leur sympathie m'est très précieuse ». Sur le spiritisme : madame Dubos-Foy n'a pu obtenir de communication avec l'esprit de ses disparus et demande à Marie Moret si elle communique en esprit avec Godin : « Ce ne sont pas des communications telles que celles décrites communément dans beaucoup de livres spirites, que j'ai avec mon mari. » Marie Moret se trouve en union spirituelle avec Godin quand son travail sur les « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » la « reporte toute entière et du fond du cœur aux pensées et aux sentiments qui animaient mon mari ». Mais, ils se trouvent séparés lorsque leurs occupations sont différentes, comme ils l'étaient pendant la vie matérielle de Godin : « La pensée fait la présence, et la tendresse fait l'union ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 13 janvier 1896
Réponse à la lettre du 8 janvier 1896 de Piponnier différée en raison de l'achèvement du numéro de février 1896 du journal Le Devoir en compagnie de Jules Pascaly. Vœux de nouvelle année à la famille de Piponnier. Sur les bons résultats scolaires de Marcel Piponnier « qui fait honneur au Familistère ». Marie Moret heureuse des secours apportés à monsieur Pierquet. Sur la nouvelle loi sur les caisses de retraite et son application par François Dequenne : commentaire des dispositions de la loi. À propos du « soleil de l'esprit » auquel Marie Moret faisait référence dans une précédente lettre à Piponnier [23 décembre 1895] : « L'idée est lumière, l'essence de la lumière. Et d'où vient l'Idée, si ce n'est du Foyer de toute sagesse ». Temps froid et ensoleillé à Nîmes. Compliments à la famille de Piponnier. Dans le post-scriptum, Marie Moret demande l'état de son compte au Familistère

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marguerite Tisserant, 4 janvier 1896
Sur le décès d'Alexandre Tisserant et la vie spirituelle après la mort physique. Tisserant a retrouvé Godin dans le monde spirituel ; la vraie parenté est celle de l'esprit.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 28 décembre 1896
Malgré son envie, Marie Moret ne peut plus écrire aussi souvent qu'avant à Flore Moret. Remercie Flore pour les lettres envoyées, auxquelles Jeanne et Émilie Dallet ont déjà répondu. Sur les occupations de la famille Moret-Dallet à Nîmes : Jeanne se perfectionne dans ses études, Émilie prépare une deuxième édition de La méthode et Marie prépare le nouveau numéro du Devoir. Sur les rêves de Marie Moret dans lesquels elle voit parfois Godin : « Je crois que dans le profond du sommeil, bien souvent nous sommes avec nos aimés disparus d'ici, sans que nous en ayons le souvenir en nous réveillant. » Marie Moret et Fabre présentent leurs vœux à Flore Moret pour la nouvelle année.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 9 novembre 1896
Marie Moret déçue que Jules Prudhommeaux soit à Montluçon plutôt qu'à Nîmes, où elle l'imagine « travaillant parfois de concert avec nous », mais elle se réjouit de son travail de traduction de l'anglais. Informe avoir inscrit Prudhommeaux au registre des abonnés du Devoir à Montluçon et qu'il recevra bientôt le numéro d'octobre 1896. Fait savoir par Fabre que le service du Devoir continuera au 26, cours Morand à Lyon « où le Devoir a des lecteurs ». À propos d'un nouveau roman dans Le Devoir : Sans famille arrive à sa fin et Marie Moret sollicite Prudhommeaux sur le choix d'une œuvre, de préférence du domaine de la Société des gens de lettres avec qui elle a un accord ; elle aimerait mettre en avant la note spiritualiste, « faisant appel aux sentiments les plus élevés. » Presse « l'Amiral » [Auguste Fabre], qui prend une leçon d'anglais au moment où écrit Marie Moret, d'écrire à Prudhommeaux, et transmet les meilleurs souvenirs de « tout l'équipage. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Céline Beauvisage, 12 avril 1897
Réponse à la lettre de Céline Beauvisage du 10 avril 1897. Sur le décès de madame Brullé : dégagée du corps matériel sans douleur, espère Marie Moret ; « Âme toute à la droiture et à la bonté, elle ne peut que se trouver dans de très heureuses conditions de vie nouvelle » ; sur la vie des défunts. Envoie une somme d'argent pour contribuer aux funérailles de son amie. La lettre du 10 avril écrite par la belle-fille de madame Beauvisage évoque pour Marie Moret le souvenir du fils de celle-ci, Georges, qu'elle a vu à Paris en 1863 alors qu'il était âgé d'une douzaine d'années.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Babut, 27 février 1897
À propos de la thèse d'Henri Babut, que le père de ce dernier a communiquée à Marie Moret : sur le sens du mot amour (« Aimer, au sens le plus élevé du mot, c'est se dévouer au bien de la plus grande généralité des êtres. ») ; sur la mort ; citations du texte de la thèse ; exemple de Jésus-Christ. Cérémonie de consécration d'Henri Babut au ministère pastoral par son père le 5 mars 1897.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, les 22 et 23 février 1897
Nouvelles de la famille Moret-Dallet : Marie-Jeanne Dallet et Auguste Fabre « se sont mis à la photographie » ; envoi prochain de spécimens de leurs travaux ; Auguste Fabre, qui a perdu son fils il y a un an, vient de perdre son petit-fils et sa belle-mère : « L'énigme de nos apparitions et disparitions terrestres ne cesse de se rappeler à chacun de nous. » Questions à son « cher collaborateur » relatives aux recherches historiques de Marie Moret pour mettre en relation l'activité sociale et l'activité industrielle de Godin : nombre de travailleurs occupés chaque année entre 1849 et 1855 ; nombre de modèles en 1851, en 1853 et en 1880. Lettre poursuivie le 23 février 1897. Marie Moret a rêvé de Piponnier et des tracas que ses recherches sont susceptibles de lui causer. Envoi de photographies de Marie-Jeanne Dallet et Auguste Fabre : photographie d'un portrait demi-nature de Godin peint il y a deux ans par un artiste de Nîmes, que Marie Moret a déjà montré à Piponnier au Familistère ; une vue générale de « La fontaine, promenade publique de Nîmes, partie du bas seulement » ; un aperçu de la partie haute de la promenade avec une allée qui passe par la « grotte ». Projet de parler de photographie avec Piponnier. Demande des nouvelles de la famille Piponnier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Harold Cox, 15 mars 1887
Réception de deux « table-clothes », cadeau de noces pour Marie Moret et Jean-Baptiste André Godin. Celle-ci remercie son correspondant et elle espère le voir à nouveau au Familistère à son retour en Europe pour parler de ses impressions de voyage publiées dans le journal The Cooperative news and journal of associated industry. Elle évoque la Theosophical Society of Bombay, présidée par Helena Blavatsky et le colonel Olcott et placée « sous la haute direction de personnages religieux indiens : les Mahatmas », et elle souhaite que Cox lui fasse connaître sa pensée au sujet des « pouvoirs occultes exercés par les Initiés aux sciences sacrées dans l'Inde ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 15 janvier 1897
Décès de la mère de madame Buridant : la famille Moret-Dallet de tout cœur avec la famille Buridant. Godin décédé ce jour huit ans plus tôt « Heureux ceux qui ont vécu en se rendant utiles aux autres, leur renaissance au-delà de la mort du corps est pleine de joies. » En post-scriptum, accuse réception des envois de Buridant.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, vers le 4 septembre 1891
Souvenir de la visite d'Antoniadès à Lesquielles. Sur la communication spirituelle.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin remercie de Pompéry de l'aider à trouver un rédacteur. Édouard de Pompéry a proposé à Godin de collaborer au journal : Godin ne juge pas que ce soit une bonne idée car de Pompéry est positiviste et lui spiritualiste, et il lui en coûterait de ne pas être d'accord avec lui ; par ailleurs la vie à Guise n'a rien de comparable avec la vie à Paris, ajoute Godin.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Massoulard, 11 septembre 1879
Marie Moret remercie Massoulard pour l'article envoyé et s'excuse du délai de sa réponse, dû à la fête de l'Enfance et aux nombreux visiteurs ayant séjourné au Familistère. Réflexion sur la beauté de l'âme des personnes ayant consacré leur vie à l'espèce humaine. Neale a proposé d'intéressantes modifications aux statuts. Marie Moret décrit les améliorations apportées aux bâtiments du Familistère. Elle évoque : des exclusions du Familistère pour « ne garder que les éléments propres à entrer dans l'association » ; l'échec de Léon Godin dans ses études ; Jules Pascaly et le rôle qu'il pourrait jouer au Familistère ; une lettre de Marie Howland qui leur pardonne ce qu'ils ont fait à son texte ; l'abandon du mariage complexe par la communauté Oneida. Elle demande à Massoulard de traduire le très long discours inaugural de James Stuart au Congrès coopératif de Gloucester de 1879, et elle le remercie pour l'article de l'American Socialist qui paraîtra dans Le Devoir de la semaine prochaine.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Babut, 24 octobre 1895
Envoi d'un exemplaire du numéro d'octobre 1895 du journal Le Devoir : à propos d'un texte d'Albert de Rochas d'Aiglun relatif au corps spirituel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin tempère les éloges enthousiastes de Marie Howland à l'égard de sa personne. Sur les difficultés du perfectionnement de l'humanité. Sur le livre de Marie Howland et l'appréciation du Familistère par les fouriéristes : « Ne pouvant lire votre livre, peut-être ai-je été conduit par certains passages traduits isolément à subir l'effet de certaines impressions nées de la façon dont le Familistère est apprécié par les disciples de Fourier qui ont persisté à croire le maître infaillible et à considérer sa théorie comme étant la science sociale. Quoiqu'ils revendiquent le Familistère comme une suite des travaux du maître et de son école, ce que je ne veux en aucune façon contester, il n'est pas moins vrai qu'au demeurant, on me considère un peu comme un hérétique pour ne pas avoir admis la théorie des passions et n'avoir pas réalisé le travail attrayant par groupes et séries. » Godin explique que le dévouement et le sacrifice, et non l'attrait et le bonheur individuel, sont les principes de son action. Il fait la critique de la théorie fouriériste. Sur la vie d'outre-tombe : Godin affirme qu'il a dépassé Fourier dans la connaissance des rapports entre l'existence matérielle et la vie d'outre-tombe. Sur les résistances au Familistère et à l'Association : il annonce à Marie Howland que Marie Moret va lui envoyer la copie d'une transcription de sa dernière conférence, et qu'elle pourra ainsi comprendre qu'il peut être sujet à la mélancolie et au découragement. Sur la maladie d'Edward Howland : Godin recommande à Marie Howland d'imposer les mains sur son époux pour hâter sa guérison.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 3 janvier 1890
Réponse à la lettre d'Alexandre Tisserant en date du 22 décembre 1889 : vœux de nouvelle année ; relations de Tisserant avec le centre swedenborgien de Paris ; publication des manuscrits de Godin ; sur la vente des ouvrages de réforme sociale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Amelia Hope Whipple pour sa lettre « réconfortante » du 13 novembre 1881. Il la complimente pour être une des rares à comprendre la doctrine de la vie et le sens de l'association du Familistère. Sur l'absence regrettable des « Notions préliminaires » dans la traduction américaine de Mutualité sociale par madame Bristol. Sur le projet d'Amélia Hope Whipple de rééditer Papa's Own Girl sous un titre différent et Mutualité sociale en anglais et la proposition de Godin de lui communiquer la traduction du livre par Edward Vansittart Neale, son premier biographe. Sur le couple Howland : Godin apprécie Marie et Edward Howland, mais aurait eu du mal à communiquer avec elle en anglais si elle était venue visiter le Familistère avec madame Bristol. Il lui demande si elle sait lire le français et si elle a lu Solutions sociales. Sur la communication spirituelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Michel de Figanières, 5 août 1858
Godin répond à une lettre de Louis Michel de Figanières. Il lui explique que la foi aveugle ne lui suffit pas et qu'il a le besoin de comprendre la théorie de la Clef de la vie et d'obtenir des preuves de la vérité de son système cosmogonique. Godin fait référence à Swedenborg, qu'il cite. Il informe qu'il a entrepris une nouvelle lecture de la Clef de la vie avec son fils en raison de la valeur humanitaire du livre. Godin évoque sa contribution à l'accomplissement de la théorie de la Clef de la vie encouragée par Louis Michel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, retenu par la session du Conseil général de l'Aisne, prie Poirson d'excuser le retard de sa réponse à ses lettres des 11 et 19 août 1878. Il l'assure que l'article dont il parle dans sa première lettre ne comporte rien contre Swedenborg ; la critique de Poirson porte sur la dernière phrase contre les dogmes, que Godin justifie en affirmant que « Le Devoir manquerait son but s'il ne savait grouper les idées diverses autour des grands principes de morale qui sont les nôtres ». À propos de la seconde lettre de Poirson : Godin indique qu'il est coupable en qualité d'auteur de l'article, mais qu'il ne voit pas pourquoi les Swedenborgiens en seraient offensés ; sur les « usages » selon Swedenborg.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Brullé, 26 septembre 1885
Marie Moret expose ses convictions swedenborgiennes de manière détaillée à la demande de sa correspondante. Elle explique qu'à l'âge de 9 ans elle s'est souvenue d'avoir vécu avant d'être incarnée dans son présent corps, et qu'elle a depuis expérimenté la réalité du phénomène de double vue et elle explique qu'elle a côtoyé les esprits de sa mère et de son beau-frère Dallet. Elle est satisfaite qu'Adèle Brullé ait reçu le volume de William Crookes. Elle l'informe du voyage de sa sœur et de sa nièce à Langrune-sur-Mer dans le Calvados, accompagnées de madame Roger du Familistère.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Armand Grebel, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Grebel pour son télégramme du 18 janvier 1888, en son nom, en celui d'Émilie Dallet et en celui de Marie-Jeanne Dallet, qui est désormais plus grande que sa mère. Elle lui explique qu'elle n'a pu répondre plus tôt en raison des occupations qui l'accablent. Elle l'assure qu'elle est proche de lui par la pensée : « "La pensée fait la présence" dit Swedenborg, "et l'amour fait la conjonction" ». Elle lui demande de ses nouvelles et elle imagine qu'un jour elle pourrait aller en voyage près de chez lui qui habite dans le pays de la famille Dallet. Elle ajoute que Marie-Jeanne Dallet est grande, qu'elle va toujours à l'école et qu'elle a quinze ans.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Babut, 22 mars 1893
Sur l'abonnement d'Henri Babut à L'Église de l'avenir contracté par Marie Moret : Marie Moret souhaitait par ce moyen soutenir la revue et mettre en relation Charles Humann, à la tête d'un groupe de Swedenborgiens, et Henri Babut qui a fait des études en théologie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Isaac Garin-Moroy, 7 février 1890
Sur la doctrine swedenborgienne. Marie Moret a lu les méditations philosophiques de Garin-Moroy. Considérations sur la vie matérielle et l'avènement d'un amour universel. Sur Charles Humann.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 1er novembre 1891
Sur la relation entre le principe et la cause sur l'exemple d'une personne ayant dit "Bonjour" en grec à Antoniadès : l'amour s'est traduit par l'intelligence du mot, autrement dit le principe se traduit par la cause dans l'effet ; « Je sais, par expérience sur moi-même, que ces sortes de choses ne se saisissent que dans le temps et la méditation ». Sur Swedenborg et la science contemporaine. Envoi d'un Progrès médical pour Moschos. Sur Gaston, la famille Piou de Saint-Gilles et un monsieur H. [Haskier] : « si vous saviez comme cela me peine de ne pouvoir causer librement avec lui comme je le faisais autrefois et comme je le fais avec vous ! Son milieu me paralyse. »
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