Godin regrette que le voyage d'Eugène André à Gand n'ait servi à rien et qu'il doive retirer la totalité des marchandises qui y ont été expédiées. Godin lui reproche de n'avoir pu persuader Dutry qu'il était possible de remédier aux défauts des appareils, de les conserver en dépôt et d'en tenter la vente. Godin critique également André pour ne pas défendre ses droits dans une affaire de cheminée qui manquait dans une livraison ; il lui demande, en cas de perte de colis, de s'adresser aux chefs de l'administration concernée et de s'informer sur l'indemnisation.