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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaunay, 18 mai 1865
À la suite d'un litige avec l'administration de l'octroi de la ville de Guise, Godin demande à Delaunay son avis sur la différence entre une chaux vive de Tournai, à éteindre pour son utilisation, et une chaux hydraulique, qui lui semble une chaux travaillée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 18 mai 1865
Sur l'emploi de chef de comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Cantagrel d'obtenir des renseignements sur un candidat, J. Vidal-Naquet, auparavant marchand de vins à Bercy. Godin dresse la liste des personnes données comme références par Vidal-Naquet. Godin demande à Cantagrel de cesser de faire paraître l'offre d'emploi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Aaron Vidal-Naquet, 18 mai 1865
Sur l'emploi de chef de comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Vidal-Naquet qu'il n'a pas encore sélectionné des candidats à l'emploi, mais qu'il lui proposera un rendez-vous à Paris quand ce sera le cas. Il lui demande pourquoi il a déposé le bilan de sa maison de Bercy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 18 mai 1865
Sur une lettre du colonel Favé : Godin répond à Noirot qu'il suffit de la conserver comme témoignage de politesse en échange des soins pris par Noirot à l'égard de l'Empereur. Godin déclare qu'il ne veut pas utiliser le nom des personnes sans leur plein assentiment, à commencer par celui de l'Empereur.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 18 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise sur la chaux vive et la chaux hydraulique. Godin répond à la lettre du maire du 18 mai 1865 : « Vous me parlez de "l'esprit de justice (dont personne ne doute) que vous apportez à la solution des questions qui intéressent vos administrés". Je regrette bien vivement que cet esprit vous ait toujours fait voir d'une façon contraire aux propositions que j'ai pu vous faire et aux demandes que je vous ai adressées [...] » Godin ne se satisfait pas de la réponse du maire, considère que la question est d'intérêt général et demande au maire de la soumettre au conseil municipal, dont lui-même fait partie.
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