Godin informe Rhein qu'il ne peut s'entendre avec lui sur la représentation des produits Godin-Lemaire car il ne veut pas modifier la tournée de ses voyageurs.

Godin informe Gomel que les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ont suffisamment de voyageurs de commerce et qu'il ne peut utiliser ses services.

Godin informe Galmard que les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ont suffisamment de voyageurs de commerce et qu'il ne peut utiliser ses services.

Godin demande à Debetz des renseignements complémentaires sur son expérience professionnelle.

Godin informe Lassérée que les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ont suffisamment de voyageurs de commerce et qu'il ne peut utiliser ses services.

Godin informe Potvin, qui s'apprête à visiter le Familistère, que le 1er et le 2 janvier 1873 les enfants des écoles du Familistère sont en vacances, qu'ils reviennent en classe le 3 janvier, et que lui-même repart à Versailles le 6 janvier.

Godin informe Truchy et Vaugeois qu'il a reçu une demande d'emploi de comptable de la part de Debetz, qu'ils ont employé. Il leur demande si Debets n'est pas parti de chez eux à la suite d'un procès avec sa femme, et il les prie de lui donner des renseignements sur ses capacités de comptable.

Godin demande à Tisseron s'il accepte de représenter la maison Godin-Lemaire en limitant son action à certaines villes dans un premier temps.

Godin fait observer à Blanc qu'il a peu travaillé pour la métallurgie et que son activité porte sur les liquides. Aussi se demande-t-il si son travail de représentation actuel est compatible avec le placement des produits Godin-Lemaire, dans la mesure où les maisons à visiter sont différentes.

Godin a appris par Amédée Moret qu'Allez frères s'interrogeaient sur la suite de la décision qu'ils ont prise dans le différend l'opposant à Besnard. Godin les informe qu'il a donné satisfaction à Besnard conformément à leur décision et il les remercie pour leur intervention.

Sur la conception et la fabrication de robinets.

Godin donne suite à la lettre de Despret en date du 22 décembre. Il l'exhorte à sortir de l'inaction pour permettre l'ouverture de l'enquête [sur la voie de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme passant par Guise].