Godin confirme à Gobelet qu'il juge que sa prétention à des appointements de 250 F par mois est élevée car il n'est pas certain des services qu'il peut rendre dans l'usine. Il l'invite à venir à Guise afin qu'il puisse voir les ateliers et pour discuter avec lui de la fonction qu'il pourrait prendre ; il propose de lui rembourser ses frais de voyage et d'hôtel. Il lui communique les horaires de train de Reims à Saint-Quentin et de la diligence de Saint-Quentin à Guise. Dans le post-scriptum, il lui demande d'éviter de venir les 5, 6 et 7 septembre car les ateliers seront fermés à cause de la fête.

Godin répond à la lettre de Nadaillac du 23 août 1869 qu'il pense qu'il peut à son âge acquérir les connaissances propres à l'emploi d'économe. Il lui demande s'il se sent en capacité d'occuper un emploi qui demande une grande activité. Il lui demande à quel montant d'appointements il prétend pour occuper l'emploi.