FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Fumouze frères, 9 décembre 1887
Envoi d'un mandat postal de 29,48 F pour le règlement d'une commande de 6 flacons de brillantine de Gœmmer, 6 brosses à dents, 500 g de vaseline blanche et 1 tube de 20 plombages en ciment.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 9 décembre 1887
Marie Moret a bien reçu la lettre de Neale datée du 1er novembre 1887, dans laquelle il évoque les impressions d'Ernest Brelay à l'égard du Familistère. Elle indique que Brelay a exprimé dès 1885 dans L'Économiste français ses sentiments à l'égard de l'Association. Une réponse a été publiée dans le numéro du Devoir paru le 15 mars de la même année. Elle informe Neale qu'Anseele, le fondateur du Vooruit qu'elle et Godin apprécient, lui a écrit il y a trois semaines qu'il devait lui écrire. Elle lui explique qu'Anseele a été charmé par son résumé de l'Histoire des pionniers de Rochdale d'après Holyoake, qu'il lui a demandé l'autorisation de le publier en flamand et que l'association du Vooruit a voté l'impression de la brochure, qui paraîtra dans les colonnes du journal de l'association, puis en un volume qui sera offert au nouvel an de 1898 aux membres du Vooruit. Elle transmet à Neale les compliments de Godin, de sa sœur et de sa nièce et elle lui exprime son amitié.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 9 décembre 1887
Marie Moret demande des nouvelles de son correspondant et s'il est délivré de l'affaire de Brouvelieures. Elle lui raconte que les affaires et les visites les ont obligées à quitter Lesquielles depuis longtemps et que le mauvais temps les emprisonne désormais. Elle évoque sa bonne réponse à une question d'intérêts soulevée par Godin. Elle lui indique que le numéro du 2 octobre du Devoir publie le compte-rendu de l'exercice 1886-1887 de l'Association et traite des « petits embarras que des anarchistes cherchaient à créer à l'Association ». Elle lui explique que des « attaques d'une certaine presse », qui durent depuis juin 1887, cherchent à exciter les rivalités, que monsieur Barbary a été évincé de l'Association, mais qu'il réside toujours à Guise, où les bruits courent qu'il serait devenu « le séide d'Émile ». Elle lui annonce que Godin prépare la rédaction de son volume La République du Travail, dont des extraits ont été publiés dans le Devoir depuis le 20 novembre 1887. Elle lui demande des nouvelles de sa famille et ce qu'il pense de l'avenir du pays. Elle lui transmet les amitiés de Godin (« André ») et d'Émilie Dallet ainsi que le souvenir de Marie-Jeanne Dallet, et elle présente ses respects à madame Tisserant et à Marguerite Tisserant.
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