FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 27 août 1895
Auguste Fabre au Familistère depuis une semaine : il a attendu vainement l'américain Frankland, dont il n'a pas de nouvelles. Émilie et Marie-Jeanne Dallet occupées à la préparation de la fête de l'Enfance de dimanche prochain ; Marie-Jeanne a en charge la représentation théâtrale qui aura lieu le lundi suivant. Le temps à Guise est redevenu chaud après un été humide et froid. Sur la santé de Juliette Cros. Envoi à Corbarieu du numéro d'août 1895 du journal Le Devoir qui contient la fin du récit d'Auguste Fabre sur Robert Owen.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 28 août 1895
Envoi d'un billet de 50 F à Sophie Quet pour le règlement de ses appointements du mois d'août. De la part d'Auguste Fabre, qui se trouve au Familistère : si un américain du nom de Frankland se présente chez lui à Nîmes, lui demande de l'en informer par télégramme. La santé de Jules Pré ne s'améliore pas.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 4 septembre 1895
Réponse à la lettre de Juliette Cros en date du 1er septembre 1895. À propos d'un arrangement avec Sophie Quet [relatif à un séjour de Juliette Cros au domicile d'Auguste Fabre ou de Marie Moret à Nîmes]. Sur la fête de l'Enfance du 1er septembre 1895 : temps superbe ; Émilie et Marie-Jeanne Dallet écrasées de fatigue. Auguste Fabre a reçu une lettre de M. Frankland, qui s'est présenté chez lui à Nîmes le 28 août : Frankland parti pour la Belgique avant d'aller en Angleterre et de revenir à Paris. Salutations à madame Boudet, à la famille Ronzier-Joly et au mari de Juliette Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 9 septembre 1895
Réception de raisins : remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre. Chaleur à Guise comparable à celle de Nîmes. Auguste Fabre toujours dans l'attente du mot de l'Américain Frankland l'informant de son arrivée à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 13 septembre 1895
Réception « ce matin » de raisins ; Marie Moret souffre d'un mal de tête ; Auguste Fabre, toujours sans nouvelles de l'Américain Frankland, écrit à son hôtel à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 18 septembre 1895
Sur l'ennui qu'éprouve Juliette Cros. Auguste Fabre toujours dans l'attente de l'Américain Frankland : « Cet Américain me tient dans l'huile bouillante », dit-il. Auguste Fabre tient à voir Frankland « à cause des renseignements que cet homme peut fournir sur une société américaine qui a toujours excité au plus haut point l'intérêt de votre père. L'occasion est unique ; il y a peu de chance pour qu'elle se renouvelle ; c'est pourquoi votre père voudrait tant la saisir. » Juliette Cros attend son père à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 19 septembre 1895
Auguste Fabre a renoncé à attendre l'Américain Frankland. Il est parti de Guise aujourd'hui jeudi 19 septembre 1895 à 11 h 45 ; il sera à Lyon demain matin vers 8 h 50 pour y voir la famille Prudhommeaux au 26, cours Morand, avant de partir pour Nîmes. Marie Moret demande à Juliette Cros de ne plus lui envoyer de raisins car elle a des poires à manger « avant de retourner au pays du raisin ». Compliments à madame Boudet, à la famille Ronzier et à monsieur Cros.
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