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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 5 juillet 1874
Godin demande à Taupier de lui envoyer à Versailles le dossier de Grangeon. Dans le post-scriptum, il prie Taupier de demander à Émile Delacourt, négociant à Guise, ce que devient Grandgeon qui fut son associé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Taupier, 10 juillet 1874
Godin répond à la lettre de Taupier du 8 juillet 1874. Sur Grangeon : Godin s'est souvenu de lui à la lecture de la lettre de Taupier. Sur un conflit d'attributions à l'usine : Godin va confier à André la direction générale de l'usine et espère prévenir les conflits d'attributions ; il rappelle à Taupier les limites de l'action d'un chef de comptabilité, qui n'a pas à intervenir par voie d'affichage dans les ateliers. Sur Denisart et sur Grebel « qui connaît mieux que personne les conventions qui ont rapport aux dixièmes » et à qui il est naturel de confier la préparation des règlements à faire aux ouvriers ; il met Taupier en garde contre l'esprit de cabale et de compétition. Godin avertit Taupier qu'il emploie chez lui comme laveuse une personne de mauvaise réputation alors qu'il avait fait poser au Familistère une affiche menaçant d'expulsion quiconque la recevrait ; il demande à Taupier que cette personne ne remette plus les pieds au Familistère. Sur les amendes pour absence dans les écoles : Godin demande à Taupier si ces amendes sont retenues régulièrement, et si les mois d'école des élèves extérieurs au Familistère ou les cours de dessin sont régulièrement payés ; il demande quel arrangement est fait avec les élèves dont les parents ne travaillent pas au Familistère ou à l'usine.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 5 juillet 1874. Il lui communique un travail fait par Grangeon. Il alerte Godin sur la personne de Rodolphe Grangeon : bon employé mais faisant la noce quand l'envie lui en prend, avec un penchant pour l'absinthe ; envoyé par un ami diriger une maison de commerce à New York, il a causé des pertes financières et a eu des relations avec la femme de son ami ; Delacourt se souvient que Grangeon résidait rue Condorcet à Paris et indique que le frère de Grangeon est employé aux chemins de fer des Charentes, rue de Châteaudun. Sur la retenue d'un dixième appliquée aux salaires des apprentis : Taupier se plaint de l'ingérence de Grebel dans ses fonctions.
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