Godin informe Ernest Leroux qu'il demande à Heutte de lui envoyer 30 volumes in-18 de Solutions sociales. Il lui signale que les grands journaux ont reçu un exemplaire de l'ouvrage et l'invite ainsi à limiter le nombre d'exemplaires à placer auprès d'eux.

Sur le règlement de la faillite de L. Toinon et Cie, imprimeur de Solutions sociales : différence d'estimation du nombre de volumes subsistant chez Heutte et Cie.

Godin informe Rabatel qu'une différence en sa défaveur subsiste entre le compte [des volumes de Solutions sociales] qu'il a établi et celui établi par Heutte et Cie. Godin souhaite terminer l'affaire et il fait part de ses récriminations à l'égard de Toinon et Cie : sur le prix des corrections engendrées par le désordre des caractères typographiques utilisés et sur le papier non employé. Dans le post-scriptum Godin établit le montant de ses réclamations.

Godin conteste le compte présenté par Rabatel pour l'impression du livre Solutions sociales. Toinon et Cie est débitrice à son égard, aussi estime-t-il qu'il ne peut adresser aucun versement à Rabatel.

Sur le solde du compte de Godin chez Toinon et Cie. Godin conteste le compte présenté de mémoire par Rabatel et conclut à un solde en sa faveur. Godin propose à Rabatel de considérer le compte comme terminé ou d'accepter un arbitrage.

Godin accuse réception de la lettre du 10 août 1875 de Victor Poupin et du mandat postal de 75 F. Il l'informe qu'il demande à Heutte et Cie de lui envoyer encore 500 exemplaires [de La politique du travail].

Godin explique à L. Bourdon, liquidateur de la succession Heutte et Cie, que dans l'imprimerie se trouve une grande quantité de volumes de Solutions sociales et de La politique du travail et un grand nombre de gravures, et qu'il a écrit à ce propos à monsieur Bardin, qui ne lui a pas répondu. Godin demande à Bourdon si l'imprimerie a arrêté ses opérations et quelle suite peut être donnée à l'achèvement de ses volumes et à leur restitution.

Godin informe Bourdon qu'il n'honorera pas sa traite de 382,95 F car il attend toujours que Bardin lui restitue ce qui lui appartient dans l'imprimerie de Heutte et Cie.

Godin envoie à Bourdon un chèque de 581,95 F réclamé dans la succession de Heutte et Cie.