Godin demande à Wallaert frères des renseignements sur monsieur Martin, élève de l'École centrale, employé en qualité de contremaître dans leur établissement.

Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin autorise Grebel à donner aux experts les albums qu'ils demandent. Il fait remarquer à Grebel qu'il aurait dû faire à Émile Godin les observations qui auraient pu lui permettre de réparer son inadvertance. Il fait des observations sur des dessins de modèles de cuisinières. Il reproche à Grebel de manquer d'exigence à l'égard de ses employés et il lui demande de signaler à Martin et à Chimot de ne plus différer l'étude du moulage mécanique qu'il leur a commandée avant son départ. Il évoque la difficulté de recruter de bons employés et il lui remet un bon pour l'augmentation de monsieur Hinaux.

Godin autorise Grebel à informer Chimot que ce dernier doit chercher un nouvel emploi à la fin du mois, mais de différer ce qu'il y a à faire pour Martin jusqu'à son retour à l'usine. Il l'informe que « M. Amédé (sic) » [Amédée Moret] a déposé le brevet la veille, 1er février 1873.

Godin répond à une lettre de Poëtte adressée à Marie Moret. Sur une hache en silex découverte dans la vallée de l'Oise : Godin demande à Poëtte d'en faire l'acquisition auprès de son propriétaire. Godin n'est pas favorable à ce que monsieur Martin donne les cours de dessin dans les écoles ; il propose à Poëtte de demander à Alphonse Grebel si monsieur Marcou peut venir l'enseigner. Sur les dimensions des tables des écoles : Godin avertit Poëtte qu'il attend de recevoir un livre sur le sujet avant de confirmer les mesures à Dequenne.

Godin demande à Amédée Moret d'acquérir auprès de monsieur Martin, ancien émailleur qui a fait des émaux applicables à la fonte, des échantillons de ses émaux. Godin informe Amédée Moret que Gripon lui a écrit que la mort de son père l'empêchera de reprendre les voyages et qu'en conséquence la circonscription autour de Paris est libre pour lui.