FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Georges Coulon, 18 février 1888
Marie Moret accuse réception de la lettre de Coulon du 17 janvier 1888 et du télégramme de madame Coulon. Elle lui explique qu'elle est accaparée par la gérance de la Société du Familistère alors qu'elle voudrait se consacrer aux manuscrits de Godin et à l'achèvement de l'ouvrage que son mari évoquait dans sa lettre à Coulon du 3 décembre 1887. Elle fait référence au Devoir pour évoquer son élection à la gérance et la délégation de certains de ses pouvoirs à des conseillers de gérance. Elle lui demande d'intervenir dans la question soulevée par Godin dans sa lettre du 29 novembre 1887, relative à des poursuites en contrefaçon contre Faure père et fils à Revin, et Deville, Paillette et Cie à Charleville. Elle soutient que les deux affaires doivent être plaidées ensemble. Sur la succession de Godin : elle explique à Coulon que deux députés de l'Aisne, Ganault et Ringuier, ont été désignés exécuteurs testamentaires et que Ringuier est décédé. Elle transmet à madame Coulon les compliments d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Georges Coulon, 24 février 1888
Marie Moret demande à Coulon s'il lui est possible d'examiner les statuts de la Société du Familistère et le testament de Godin pour savoir si l'on peut introduire des modifications dans les statuts, devenues nécessaires. Elle lui communique l'adresse de monsieur Barberon, avoué chargé de ses intérêts dans une affaire dont il a été question entre eux. Elle le remercie pour sa lettre et lui indique qu'elle avait lu dans Le Temps comment il était intervenu à la Chambre sur la question du budget des Postes.
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