FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 16 décembre 1892
À propos des études d'Antoniadès à l'École centrale des arts et manufacture : « Nous ne doutons pas de votre bon succès à vous parce que vous avez - ce qui est l'essentiel - l'amour du travail. » Marie Moret touchée par le mot d'Antoniadès sur Le Devoir. Sur l'exposition de chrysanthèmes que la famille Moret-Dallet a vu aux arènes de Nîmes. Sur les soirées passées en famille à Bordeaux et à Paris. Affirme avoir fait passé le mot d'Antoniadès à Ladislas Sekutowicz, fils de Jules, qui en est très heureux. Précise qu'il n'y a pas besoin de taire la nouvelle adresse de Marie Moret et demande à Antoniadès de prévenir Gaston Piou de Saint-Gilles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 5 février 1893
En réponse à la demande de Gaston Piou de Saint-Gilles, Marie Moret décrit les arênes de Nîmes : « si imposantes et si variées d'aspect » qui changent en fonction de l'heure de la journée, « sa forme elliptique si douce et ses caves noires et profondes ». Sur la température constatée à Nîmes et Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret confirme la réception de la lettre d'Eugénie Louis adressée à Marie-Jeanne Dallet, datée du 28 décembre 1899, et souhaite revenir dans cette lettre sur des choses discutées avec elle en pensée. La famille Moret-Dallet s'est rendue à la maison où Jacques-Nicolas Moret et Jean-Baptiste André Godin ont travaillé ensemble lorsqu'ils étaient serruriers à Nîmes, pendant leur tour de France en 1836. La maison est située au 1, rue des Trois Maures et 1bis de la rue Jean Reboul, du nom du poète qui a établi sa boulangerie à la place de l'atelier de serrurerie du rez-de-chaussée, désormais vide. Le balcon du premier étage porte toujours les insignes des ouvriers compagnons. Marie Moret raconte qu'elle aime contempler les arènes et s'imaginer son père et Godin dans ces lieux, regardant les mêmes choses. Marie Moret est peinée du décès de la voisine d'Eugénie Louis, madame Legrand-Duchemin, et demande des nouvelles de sa correspondante et du Familistère. Elle la prie de faire lire cette lettre à madame Roger et de lui transmettre ses meilleures amitiés, ainsi qu'à sa famille et aux personnes habituelles.
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