Carte postale de Marguerite Audoux à Léon Werth
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
[Carbonat, juillet 1912]
Mon cher vieux,
Marguerite
[1] Cela reste une tradition pour le groupe de Carnetin de se retrouver sur cette île. C'est là qu'avec ses amis écrivains Marguerite Audoux vit pour la première fois la mer, en 1903.
[2] Amis de Saint‑Cyr‑sous‑Dourdan (dans l'Essonne, alors Seine‑et‑Oise, dans la vallée de Chevreuse, à cinq kilomètres au nord de Dourdan). Marguerite Audoux se trouvera chez eux en 1924. Le 10 novembre de cette année, Paul d'Aubuisson lui écrit en effet : « Nous avons appris […] que tu te plaisais chez Mme Müller, nous en sommes bien contents ». En octobre 1925, toujours chez ces mêmes amis, elle recopie De la ville au moulin. L'évocation, dans la présente lettre, de Régis Gignoux et de Charles Müller n'a rien de surprenant quand on sait qu'ils cosignent Mil neuf cent douze.
[3] Au cœur du Trégor finistérien (voir la lettre 45, adressée de ce lieu)
[4] Jeanne Gignoux
[5] juillet est ajouté dans l'interligne supérieur.
[6] Suit un m raturé (faute de place pour poursuivre sur le bas de la carte). Le reste du texte se trouve en surcharge (en une colonne horizontale) au‑dessus de la formule d'appel.
[7] Voir la lettre 175, qui inclut, dans le post‑scriptum, la même demande
[8] C'est‑à‑dire les Jourdain
[9] Allusion aux soucis d'éducation (les Jourdain, aux dires de Marguerite Audoux, auraient tendance à surprotéger leurs enfants.)
[10] La revue de Jacques Rouché, où Marie‑Claire a paru en prépublication en mai 1910 avec une préface de Giraudoux
[11] Carte non retrouvée