Godin adresse à Fauvety, son « cher coreligionnaire », un mandat postal pour deux abonnements d'un an à la Religion laïque, à adresser à Toffin, conseiller général à Bohain et à Parmentier, conseiller général au Nouvion.

Godin répond à une lettre de sa correspondante en l'informant qu'il va prendre des renseignements sur elle et qu'elle peut venir le voir à Guise à partir du mardi suivant.

Godin répond à la lettre de Dameth en lui adressant un exemplaire de La richesse au service du peuple. Il le renvoie pour de plus amples informations à son ouvrage Solutions sociales publié chez Guillaumin au 14 rue Richelieu à Paris.

De retour du conseil général de l'Aisne, Godin répond à la lettre de candidature à un emploi de Chivoret du 22 août 1876. Il l'informe qu'il pourrait remplir les fonctions de sous-chef de la comptabilité aux appointements de 4 000 F par an. Il lui propose de venir à Guise examiner la comptabilité de l'établissement puis de rédiger une note explicative à ce sujet. Il précise qu'il lui paierait les frais de voyage de Lille, 50 F environ, dans le cas où il ne le recruterait pas.

Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Richon qu'il doit renforcer l'enveloppe des paquets des échantillons de sol qu'il lui envoie car la poste se plaint qu'ils se déchirent. Il lui demande s'il sait quelque chose du sondage de Cuzy et s'il a reçu la visite de monsieur d'Aunay, député.

Godin remercie l'inspecteur d'avoir répondu à sa lettre du 28 août. Il lui demande s'il peut le mettre en relation avec un instituteur qui percevrait au Familistère 400 F d'appointements par mois sans bénéficier d'un logement.