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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 février 1874
Godin informe Émile qu'il ne faut pas accepter les propositions comme celle de monsieur Berlinguet et qu'il fait respecter les règles communes à tous les marchands. Il lui annonce qu'il a répondu à Amédée Moret sur l'affaire avec la maison Jouin et Cie. Il autorise à livrer dès maintenant aux clients les marchandises constituant la remise de fin d'année, dans la mesure où beaucoup de marchandises se trouvent actuellement dans les magasins. Sur une réponse à Vison. Sur un changement dans les heures de repas et de travail : obtenir l'assentiment des ateliers. Sur l'éclairage de la ville de Guise par Chenest. Sur le conseil donné aux voyageurs d'annoncer de fortes baisses, attribué à Delaruelle. Godin approuve l'augmentation des appointements de Dequenne à 300 F par mois et l'augmentation de 25 F par mois des appointements de Lesne ; il suggère à Émile d'annoncer à Lesne qu'un autre que lui doit prendre la place d'Alfred Denisart en qualité de chef de la comptabilité. Sur le tarif. Godin souhaite qu'Émile dise à Denisart qu'il s'occupera lui-même de la répartition concernant le personnel ; il demande que le compte de Denisart lui soit soumis en détail afin de savoir s'il est possible de lui faire cadeau d'un album avant son départ ; il demande à Émile s'il s'est entendu avec Denisart au sujet de ses jalousies. Dans le post-scriptum, Godin demande à Émile quel est le prix de location des logements de Denisart, de Grebel et de Pernin ; il indique que le logement de Denisart est demandé par plusieurs personnes et qu'il compte l'attribuer au plus offrant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 10 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie. L'usine de Guise a transmis à Godin une question posée par Amédée Moret au sujet de la maison Jouin et Cie : Godin répond en indiquant qu'il est possible de livrer dores et déjà les marchandises de bonification de fin d'année.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 10 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin demande à Delorme de ne rien changer à la formule administrative de signature « Pour le maire » ; il estime que « Pour le premier conseiller municipal » serait illégal. Il l'avertit qu'il va écrire au préfet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 10 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin annonce au préfet de l'Aisne que Delorme, son premier adjoint de la municipalité de Guise l'a averti qu'il avait reçu une lettre du sous-préfet de Vervins du 6 février 1874 , qu'il cite intégralement : en l'absence de maire ou d'adjoint nommé par le gouvernement, le premier conseiller municipal, c'est-à-dire Godin, se trouve à la tête de la municipalité en vertu de l'article 4 de la loi municipale de 1855 ; il faut substituer la signature « Le conseiller faisant fonction de maire » à celle-ci : « Le maire » ; Delorme doit désormais signer « Pour le premier conseiller municipal absent (ou empêché), le conseiller municipal faisant fonction d'adjoint » ; le sous-préfet demande à Delorme d'en avertir Godin. Godin juge que la demande du sous-préfet est maladroite et illégale et considère qu'il ne doit pas s'y conformer : il estime qu'il restera maire de Guise tant que le gouvernement ne l'aura pas remplacé.
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