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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 15 mai 1872
Sur le robinet Boutin. Sur un robinet à faire breveter. Godin demande à Grebel s'il a pu faire les recherches sur des antériorités. Il demande à Grebel de faire l'expérience de mettre le robinet sous une pression d'eau et il décrit le dispositif de l'expérience. Godin signale à Grebel qu'il accepte la demande de Viney relative à son bureau, et il lui demande de s'entendre avec Denisart pour adapter le grenier au bon classement des papiers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 15 mai 1872
Godin a été averti par une lettre de son fils Émile que des conflits subsistent dans les fonctions au sein des bureaux de l'usine. Godin regrette que l'amour du prochain et la raison ne s'expriment pas davantage : « À vous surtout, je crois pouvoir dire combien il m'est pénible de voir que ces deux guides dans la voie du bien ne puissent marcher de concert parmi vous. » Il explique à Denisart que celui-ci a besoin d'un employé pouvant le seconder en toute chose pour le bon développement des affaires, et que monsieur Viney, sous-chef de comptabilité, doit remplir ce rôle. Il demande à Denisart d'accepter la collaboration de Viney pour la surveillance générale de la comptabilité. Il souhaite que Denisart sacrifie son amour-propre : « Pénétrez-vous davantage des principes de la doctrine de la vie et songez que nous avons autre chose à conquérir que les glorioles éphémères de ce monde. » Dans le post-scriptum, Godin évoque une question de logements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 15 mai 1872
Godin répond à une lettre de Loisy. Sur des mésententes dans l'usine en l'absence de Godin. Il reproche à Loisy de ne pas s'exprimer franchement dans les réunions de la commission. « Combien je désirerais vois voir tous animés d'un plus grand amour du prochain et de moins de préoccupations personnelles ! » Sur Dury : Godin préconise de l'accepter définitivement. Sur la fonderie : le coulage de pièces en fonte dure est une faute de direction. Sur le procédé de Grebel pour le moulage de lanternes pour boutons : Godin recommande d'en faire usage. Sur une machine à découper les rondelles : Godin indique à Loisy qu'il aurait dû faire des plans raisonnés pour la faire admettre. Sur les approvisionnements : Godin l'encourage à attirer l'attention du conseil sur ce sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viney, 15 mai 1872
Godin répond à une lettre de Viney. Il le met en garde contre l'esprit de cabale. Il lui rappelle qu'il avait été convenu avec Alfred Denisart qu'il serait sous-chef de comptabilité, et donc chargé de surveiller l'exactitude du travail comptable dans tous ses détails. Aussi, Godin est-il étonné d'apprendre par son fils Émile qu'il n'a pas eu communication en temps convenable des lettres sur le chemin de fer, alors qu'il lui revient de prendre connaissance des lettres à l'ouverture du courrier. Il lui demande des éclaircissements et des renseignements sur des négligences commises à l'égard de la caisse. Il souhaite également avoir des renseignements sur la tenue de la caisse de secours. Il l'encourage à exerce sa surveillance sur la comptabilité et de proposer à Denisart ou à lui-même les changements à effectuer. Godin juge enfin que le bureau de la caisse de secours doit rester dans l'atelier de comptabilité et non être installé dans la fonderie, mais il soumet la question à la commission administrative.
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