FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur sa proposition de lui communiquer le moyen de se procurer un bulletin politique hebdomadaire et le montant de l'abonnement correspondant. Il demande à Levasseur s'il est mesure d'imprimer son journal, même si les relations entre Guise et Laon sont difficiles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le choix d'un appareil de cuisson. Loustalot a demandé à Godin l'envoi de l'album de la manufacture : Godin propose de choisir pour lui un fourneau en fonction de ses indications. Il lui annonce que dans le cas d'un achat, il adressera à Loustalot le journal Le Devoir à titre de remise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à madame Leveaux qu'il attend toujours les volumes dont elle devait faire imprimer les couvertures pour en achever le brochage.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Didier et Cie qu'il publie dans son journal Le Devoir le roman La Fille de mon père de Marie Howland, édité à New York chez John P. Jewett, éditeur de La Case de l'oncle Tom et de L'Allumeur de réverbères. Il a l'intention de publier en volume la traduction française du roman et il demande à Didier et Cie s'ils veulent s'en charger en tant que libraire. Il précise que l'ouvrage comprendra de 650 à 700 pages ; il demande à Didier et Cie s'il ne vaudrait pas mieux le publier en deux volumes, à quel prix il faudrait le vendre, quelle remise il faudrait lui consentir pour le vendre et quel devrait en être le tirage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention du président de la Société musicale du Familistère sur l'abus que certains des membres de la société font de leur instrument en dehors des répétitions et concerts. Il lui explique qu'à l'occasion de la dernière Fête du Travail, les musiciens ont joué « des airs de saltimbanque » dans la rue du Familistère après le bal. Cela constitue pour lui un tapage nocturne, et il ajoute que la police aurait pu "justement intervenir". Il suggère que la société musicale introduise dans son règlement un article encadrant l'usage des instruments, faute de quoi l'administration du Familistère pourrait infliger des amendes.
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