Sélection d'échantillons parmi ceux envoyés par Le Printemps pour la confection de deux jupes dont Marie Moret donne les consignes de confection dans une note jointe à la lettre. Demande le prix pour ces deux jupes, la date de livraison et l'envoi d'échantillons de surah glacé pour doublure.

Envoie un chèque de 24,15 F pour la commande de 6 alcarazes de 1 L et d'un bassin anglais. En post-scriptum, demande des indications sur le renouvellement de la mèche d'un réchaud à alcool acheté chez eux.

Envoie un chèque de 111 F pour la commande des deux jupes passée le 25 mai 1896 et de 5 mètres de surah glacé noir-violet.

Accuse réception des bottines commandées et envoie un chèque de 50,85 F pour solder la facture.

Envoie un chèque de 25,15 F pour une commande de plusieurs produits d'hygiène.

Envoie un chèque de 15,70 F pour la commande de 2 mètres de tulle pour voilettes.

Envoie un chèque de 25 F pour le réabonnement du Devoir à la Société des gens de lettres.

Envoie un chèque de 17,25 F pour la commande de plusieurs fournitures de bureau et de serviettes indispensables.

Sur proposition du magasin dans la lettre du 17 juillet 1896, Marie Moret retourne à La Ménagère les 4 alcarazas reçus en mai pour en recevoir de plus poreux. Elle joint à son envoi un chèque de 16,20 F pour la commande d'un seau de toilette en porcelaine blanche, de 4 anses de rechange et d'un beurrier, à expédier en même temps que les nouveaux alcarazas. Demande le prix de couvercles de rechange des seaux de porcelaine.

Précise à Émile Acker qu'il faut mentionner « Vve Godin au Familistère » dans l'adresse d'expédition pour éviter la confusion avec les autres veuves Godin de Guise. Envoie un chèque de 37,35 F pour la commande de 20 ramettes de papier pelure collée et satinée et de plusieurs fournitures de bureau et matériels d'écriture.

Envoie un chèque de 31 F pour solder la commande de plusieurs produits d'hygiène.

Demande de renseignements concernant la confiance que mérite la maison de banque Offroy, Guiard et Cie et sa solvabilité.

Accuse réception des bottines commandées et envoie un chèque de 53,85 F pour solder la facture. Informe que le numéro indiqué sur les bottines ne correspond pas au numéro indiqué sur la facture. Commande une nouvelle paire de bottines exactement semblables et donne les consignes de confection.

Envoie un chèque de 19,35 F pour la commande d'un mètre de tissu granite noir imperméable et un mètre de tissu imperméable noir dont elle retourne des échantillons.

Envoie un chèque de 18,95 F pour la commande de plusieurs produits d'hygiène : élixir ozoné, pommade au goudron de Norvège, vaseline boriquée, Le vrai coricide, camphre.

Envoie un chèque de 21,35 F pour la commande d'une jaquette des Pyrénées à col droit et d'une paire d'amazones-guêtres en jersey noir peluché.

Accuse réception des bottines commandées et envoie un chèque de 53,85 F pour solder la facture.

Informe du transfert prochain de 5 000 F depuis son compte chez Offroy, Guiard et Cie vers son compte chez Molines père et fils.

Demande le transfert de 10 000 F de son compte à la Société du Familistère sur son compte à la banque Offroy, Guiard et Cie. Joint son livre de compte pour inscrire l'opération.

Envoi un chèque de 27 F pour la commande de 12 cols Eden et de 12 paires de manchettes.

Marie Moret rappelle qu'il s'agit de sa 3e réclamation pour obtenir des échantillons de tissus pure laine loutre foncé et noir et de tissus jersey été et hiver. Retourne les échantillons dont elle n'a pas l'usage. Envoie un chèque de 19,15 F pour la commande de 10 mètres de tresse mohair loutre foncé, 10 mètres de galon tresse laine mohair noir et 6 cols droits pour dame.

Comme annoncé dans son télégramme, Marie Moret envoie à Pascaly de la part de la Société du Familistère : une lettre adressée à Pascaly, 2 reçus et un chèque de 545,85 F. Précise que le montant a été versé par la Société du Familistère sur le compte de Marie Moret pour Pascaly, que la Société du Familistère souhaite que Pascaly s'acquitte régulièrement des deux reçus envoyés, et qu'il leur accuse réception de cet envoi. Marie Moret annonce écrire la même chose pour Fabre. Remercie Pascaly des informations sur monsieur Crespin. Elle évoque des « pauvres turcos » dépeints par Pascaly.

Retourne au Bon Marché les échantillons de tissus qui ne lui conviennent pas, de qualité trop inférieure à ce qu'elle souhaite. Passe commande de 4 paires de bas noirs pour dame et envoie un chèque de 21,85 F pour solder la facture. Leur rappelle de bien mentionner « Familistère » sur l'adresse d'expédition.

Accepte les deux tissus jersey envoyés par Le Printemps. Au sujet de la jupe commandée : demande à ce qu'elle soit sans garniture. Envoie un chèque de 98 F pour solder la facture de la commande de la jupe et de deux jerseys loutre, un d'été et un d'hiver. Demande le prix pour deux jerseys noirs car elle en passera commande si les jerseys loutre lui conviennent. Insiste sur le respect des consignes de confection dans les notes envoyées en date des 24 et 25 octobre 1896. S'apprêtant à partir sur Nîmes, demande également le délai de livraison de la commande pour leur indiquer l'adresse d'envoi.

Envoie un chèque de 126,60 F pour la réservation de trois places à 42,20 F par personne pour le trajet Paris-Tarascon dans un même compartiment pour dames seules, par le train Nice-Express du 4 novembre 1896 à 7 h 44 du soir, ou du lendemain s'il n'y a plus de place disponible le 4 novembre.

Envoie un chèque de 58 F pour solder la commande des deux jerseys noirs passée en date du 24 octobre 1896. Rappelle les objets commandés : une jupe, deux jerseys loutre et deux jerseys noirs. Précise l'adresse de l'envoi de la commande au 14, rue Bourdaloue à Nîmes.

Accuse réception de la lettre du Bon Marché, envoyée à Guise au moment du départ de Marie Moret. Envoie 53 F pour solder la commande de la jupe passée le 30 octobre 1896, à expédier à Nîmes. Se réjouit de la garantie de bonne exécution de la jupe.

Envoie un chèque de 27,95 F pour la commande de plusieurs produits d'hygiène à envoyer au 14, rue Bourdaloue à Nîmes : brillantine, savons antiseptiques, brosses à dents, poudre savon, le vrai coricide, vaseline. Commande également deux brosses à tête avec manche d'une seule pièce et en demande le prix.

Envoie un chèque de 39,90 F pour solder la commande de 4 paires de guêtres amazones en jersey noir, 2 paires de gants mérinos jersey nuance loutre, un bachelick et une écharpe en cachemire.

Marie Moret sans nouvelle d'Émile Acker depuis le retour du bon à tirer corrigé de l'épreuve d'en-tête de lettre du 23 novembre 1896. Envoie un chèque de 10 F pour solder la commande des 500 feuille de papier à lettres avec en-tête.

Envoie un chèque de 25 F pour le réabonnement du Devoir à la Société des gens de lettres pour l'année 1897.

La famille Moret-Dallet et Fabre envoient leurs vœux de bonheur pour la nouvelle année à Piponnier et sa famille : Marie-Jeanne Dallet sensible au mot d'Antonia Piponnier ; Marie, Jeanne et Émilie embrassent madame Piponnier et espèrent qu'elle a reçu les fleurs peintes par Marie-Jeanne. Marie Moret remercie Piponnier pour les renseignements sur la banque Offroy et Cie. Piponnier en voyage à Laeken en janvier 1897. Marie Moret occupée à la correction des épreuves du journal Le Devoir de janvier 1897. Sur les élections municipales à Guise : Fabre du même avis que Piponnier sur les difficultés de la nouvelle municipalité à se soutenir. Analogie faite par Piponnier entre météorologie et politique ; Marie Moret fait référence aux immeubles de 29 étages [de New York].

Envoie un chèque de 27,60 F pour la commande de plusieurs produits d'hygiène : serviettes-éponge, éponge de Venise pour l'hydrothérapie et des boîtes spongia-sel.

Envoie un chèque de 24,80 F pour la commande plusieurs produits d'hygiène : vaseline, brillantine, poudre savon Raspail, savons antiseptiques.

Envoi d'un chèque de 19,50 F et commande d'articles de soin et d'hygiène : brillantine, mixture dessicative, poudre de savon Raspail.

Envoie un chèque de 10 F pour le renouvellement de son abonnement au journal Le Lotus bleu, à adresser au Familistère de Guise.

Envoi d'un chèque de 34 F et commande d'un corset de soie noire dont Marie Moret indique les mensurations.

Envoie un chèque de 50,95 F en paiement d'une paire de bottines. Expédie à la demande de Herth les bottines défectueuses livrées en octobre 1896 : elles ont fait usage deux mois seulement ; l'étoffe n'a pas résisté ; impossibilité de les donner après les avoir portées une saison comme Marie Moret le fait habituellement.

Envoie un chèque de 12,10 F et commande trois paires de gants en satin de soie jersey.

Envoi d'un chèque de 33,25 F et commande d'articles de soin et d'hygiène : vaseline blanche, brillantine Delabarre, mixture dessicative, savon antiseptique, camphre, poudre de savon Raspail, préparation Raspail pour eau quadruple.

Accuse réception des bottines envoyées par Henry Herth. Envoie un chèque de 50,95 F. Envoie une paire de bottines à réparer et la nouvelle paire de bottines sur laquelle elle demande qu'un cuir soit monté le long de la couture. Commande une nouvelle paire de bottines exactement semblables aux précédentes ; description du modèle souhaité.

Renvoi de plusieurs cols reçus en octobre 1896 dont l'encolure est trop petite. Commande d'une douzaine de cols pour un montant de 10 F.

Envoi d'un chèque de 232 F pour solde de la facture du 26 avril 1897 ; en attente des boutons envoyés par Louise Piret.

Accuse réception de bottines et envoie un chèque de 50,95 F à Henry Herth.

Accuse réception de la lettre de Buridant du 29 avril 1897. Marie Moret a remboursé à Émilie Dallet les 125 F que Buridant a perçu pour elle, aussi les dépenses à venir pour Le Devoir sont-elles couvertes. Diverses questions relatives au Devoir : versement de 3 dollars de monsieur Morrill de Vineland, que doit encaisser Offroy et Cie ; le nom de Martin Reymond biffé du registre des abonnés ; information de Buridant sur les récompenses exceptionnelles à distribuer à la fête du Travail, dont Marie Moret regrette le faible nombre ; la totalité du tirage du numéro de mai 1897 du journal sera expédié à Guise, sauf 4 exemplaires ; « le peu qui est à dire en ce moment touchant la fête du Travail » paraîtra dans le numéro de juin dont Marie Moret livrera les manuscrits à l'imprimeur avant son départ de Nîmes. Faute de temps, Marie Moret n'a pas répondu à la lettre de madame Louis du 5 avril 1897 : les appartements de Marie Moret et d'Émilie Dallet sont probablement remis en état. Compliments adressés à mesdames Louis, Roger, Allart et à la famille Rousselle. Dans le post-scriptum, demande à Buridant de lui écrire comment s'est déroulée la fête du Travail.

Envoie un chèque de 58 F pour son réabonnement au journal Le Temps, la différence avec la valeur réelle de l'abonnement, 68 F, étant couverte par le service gratuit du Devoir au Temps.

Envoi d'un chèque et commande d'articles de soin et d'hygiène d'une valeur de 12,75 F à expédier au Familistère de Guise : vaseline blanche ; brosses à dents ; camphre.

Envoi d'un chèque de 42 F et commande de bas noirs pour dames.

Réponse à la lettre d'Adolphe Rainal du 4 juin 1897 : satisfaite par la proposition de Rainal, Marie Moret lui demande si le prix de 40 F, qu'elle compte régler par chèque, comprend les frais d'envoi du corset.

Renvoie à Émile Acker le bon à tirer de l'épreuve des cartes qu'elle vient de recevoir. En l'absence des échantillons de papier promis, elle commande : 100 cartes « deuil n° 1 » sur bristol français et 100 cartes « deuil n° 1 » sur ivoire anglais. Adresse un chèque de 13,75 F à Émile Acker.