FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 8 janvier 1897
Accuse réception des envois et de la lettre de Buridant et confirme avoir pris note du renouvellement de l'abonnement de Gaétan Leymarie au Devoir pour lequel elle retourne le mandat complété. Sur la coopération en Angleterre : si « les Anglais ont un demi-siècle d'avance sur nous dans les faits coopératifs », ils n'ont rien de comparable au Familistère en termes d'œuvre aussi complète. Marie Moret pense que les exemples d'association complète comme le Familistère se multiplieront en Angleterre car « les esprits seront beaucoup mieux préparés. » Retourne à Buridant le « Mouvement des assurances » d'octobre 1896 dans lequel des nombres ont été intervertis : le signaler à monsieur Houdin. Demande à Buridant d'acheter 10 exemplaires du livre de Bernardot Le Familistère de Guise, à mettre sur son compte et à expédier à Nîmes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception de la lettre de Buridant du 27 janvier 1898 et de ses divers envois. Arrêt de service du Devoir pour Marie Goegg, malade. Lettre d'Hector Malot en tête du roman En famille publié dans Le Devoir dès le numéro de février 1898. Présenter une quittance d'abonnement au Devoir à madame veuve Herbin de Laon qui désire reprendre l'abonnement au Devoir de feu son mari. Salue mesdames Roger, Louis et Allart, ainsi que monsieur Pierquet, à qui Marie Moret demande à Buridant de poser deux questions sur son expérience au Texas : son âge lorsqu'il a été nommé chef de la ferme le 7 mai 1856 et sa profession avant de venir au Texas.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant de ses divers envois et l'informe qu'elle a écrit à Émile Tettier et Émile Venet pour avoir des nouvelles [des travaux de jardinage dans sa propriété de Lesquielles]. S'il n'est pas trop tard, Marie Moret demande à son correspondant de ne pas envoyer d'exemplaire du numéro de novembre 1899 du Devoir à messieurs Houdin, Raoul Maurin de Cette [Sète] et Ruyssen de La Rochelle qu'elle envisage de supprimer du service gratuit. Lorsque la brochure du compte-rendu de l'assemblée générale [de la Société du Familistère] sera parue, Marie Moret prie Henri Buridant d'en acheter cinq exemplaires ainsi que cinq exemplaires de la brochure de l'année précédente et de les expédier à Nîmes. Elle transmet ses compliments à mesdames Roger et Louis.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant de ses divers envois et revient sur les numéros de novembre 1899 du Devoir mis de côté : c'est à Raoul Maurin qu'il faut cesser l'envoi, et non à monsieur Martin de Saint-Didier (Vaucluse). Marie Moret a appris par Émile Venet qu'Émile Tettier avait commencé les travaux de jardinage dans sa propriété de Lesquielles avant d'être employé chez une autre personne temporairement, qu'il a préféré utiliser des plants [d'ifs] déjà présents dans un bosquet du jardin plutôt que d'en acheter de nouveaux et que le puisement de l'eau de la citerne par la mairie pour les travaux de l'école de Lesquielles se déroulent comme prévu. Marie Moret demande à son correspondant si sa fille Marie possède dans sa bibliothèque l'ouvrage La justice des choses et se propose de lui offrir. Dans le post-scriptum, Marie Moret signale à Henri Buridant que le journal Les États unis d’Europe indique que la correspondance doit être adressée à Émile Arnaud à Luzarches, mais elle souhaite continuer de servir à Berne Le Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des divers envois d'Henri Buridant et le remercie pour ses renseignements concernant la voie ferrée de raccordement de l'usine à la gare de Guise et la construction de la passerelle. Au sujet du journal Le Devoir, elle explique vouloir rémunérer monsieur Houdin à hauteur de 0,50 F l'article pour la préparation du « Mouvement des assurances » et de l'« État-Civil » car « tout travail du reste mérite salaire. » Elle prie donc son correspondant de remettre 4 F à monsieur Houdin pour les articles parus depuis janvier 1900 et de lui indiquer le numéro de l'appartement de monsieur Houdin au Familistère afin qu'elle puisse le contacter si besoin. Sur le compte financier du Devoir : au 13 janvier 1900, le compte était créditeur de 138 F mais les abonnements n'ayant pas rapporté assez, Marie Moret envoie 100 F à Henri Buridant pour éviter d'être à découvert à la fin de mars 1900. Elle félicite Marie et Victoire Buridant pour le rétablissement de leur santé et transmet les pensées de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet les remerciements de la famille Moret-Dallet pour les divers envois d'Henri Buridant. Plusieurs points concernant le journal Le Devoir : Marie Moret s'occupera des étiquettes ; le numéro de mars 1900 est parti en retard de Nîmes ; elle souhaite offrir à monsieur Houdin l'ouvrage de son choix parmi ceux disponibles. Marie Moret préfèrerait déposer la collection du Devoir à la bibliothèque municipale de Saint-Quentin plutôt qu'à la Société de la libre pensée, ne sachant si elle pourra la conserver. Elle se réjouit de la bonne marche des affaires des magasins et comptoirs du Familistère sous la responsabilité d'Henri Buridant. Sur la crise de croissance de Marie Buridant qui fragilise sa santé. Elle remercie son correspondant de leur avoir donné des nouvelles de monsieur Franqueville et transmet l'approbation d'Émilie Dallet pour l'utilisation de scolymes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret suppose qu'Eugénie Louis a dit à Henri Buridant que la famille Moret-Dallet est bien arrivée à Nîmes. Elle informe celui-ci qu'un employé de la gare de Guise lui a réclamé 0,25 F pour un envoi de livres en Norvège, et qu'elle lui a dit que c'est à lui qu'il devait s'adresser. Elle l'informe également que le voiturier monsieur Marchand lui a dit qu'il fallait repeindre le landau, qu'elle lui a demandé qu'un monsieur Lesage fasse l'évaluation du prix de la peinture et de communiquer ce prix à Buridant. Elle lui demande de lui envoyer des exemplaires du numéro de novembre du journal Le Devoir dès leur réception. Elle l'informe qu'elle a prié Césaire Louis de demander à monsieur Houdin de communiquer à Buridant l'« État civil » et le « Mouvement des assurances » du mois de septembre 1900. Elle lui demande le numéro du logement de monsieur Vaudois, et des nouvelles de la santé de monsieur Henquet. Elle espère que tout se passe bien au Familistère, accuse réception de ses envois et transmet son souvenir aux personnes du Familistère, dont madame Roger.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant pour sa lettre du 8 mai 1901. Elle lui demande qu'il prie monsieur Houdin de lui remettre le « Mouvement des assurances » et l'« État civil » du mois de mars 1901. Elle l'informe qu'elle a écrit à Louis-Victor Colin pour lui demander la liste des récompenses distribuées à la fête du Travail, et le remercie pour les renseignements qu'il lui a donnés sur la fête. Elle lui indique qu'elle est satisfaite du règlement par Per Lamm [de l'abonnement de monsieur Cammermeyer], et lui communique une demande d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.
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