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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 janvier 1871
Godin informe Émile des événements de la guerre survenus à Guise. Les Prussiens ont réclamé le lundi 23 septembre une contribution de 500 000 F de la part du canton de Guise. Ils ont enlevé trois otages – Delorme, Devillers et Azambre – et réquisitionné 8 chevaux, dont les deux de Godin. Ils ont laissé en échange à Godin deux chevaux tués de fatigue, dont l'un, s'il se remet, pourra peut-être servir à Émile. Mercredi, une colonne ennemie venue de Landrecies a logé à Guise. Jeudi, Godin est allé à Saint-Quentin voir ses collègues otages ; il n'a pu les faire libérer et ils ont été dirigés à Ham. Godin est obligé d'organiser l'accueil de 500 blessés transportés de Saint-Quentin, qu'il faut ensuite acheminer à Landrecies.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 7 novembre 1861
Godin explique à Dolot qu'il a constaté des irrégularités comptables dans sa gestion et lui demande de rembourser la somme de 156,35 F. Il lui indique en outre qu'il ne souhaite pas s'engager avec lui dans des affaires alors que de nombreuses affaires l'occupent déjà.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 14 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin revient sur son engagement à la mairie de Guise depuis 1870. Il proteste contre les conditions de sa révocation et reproduit le texte de sa lettre au préfet de l'Aisne du 10 février 1874. Godin indique à Levasseur qu'en l'absence de réponse de l'administration, il souhaite la publication de sa lettre dans le journal [Le Courrier de l'Aisne].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Émile qu'il aurait dû retourner une lettre sur des biberons à Besnard et non à lui, qui n'a pas le temps de faire des courses à Paris. Sur une lettre de Duverry. Sur les maux d'estomac d'Émile : il lui conseille de faire attention à son régime alimentaire et de suspendre ses expériences en fabrication de liqueurs. Il lui signale que le nécessaire a été fait auprès de Poëtte au sujet de Marchand. Il lui explique qu'il souffre de rhumatisme et que Marie Moret a pris la plume à sa place. Dans le post-scriptum, il lui demande de s'entendre avec Azambre pour monter un torréfacteur chez lui.
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