FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 11 août 1891
Projet d'une visite de Fabre et de Pascaly à Lesquielles. Émilie Dallet occupée aux examens scolaires ; Marie-Jeanne Dallet « fait de tout : ménage, couture, dessin, peinture, musique, moulage et modelage » pour l'initiation des élèves des écoles maternelles. Sur l'absence de volonté d'organiser un prochain congrès des sociétés coopératives au Familistère : « Ma conviction personnelle est que tant qu'il en sera ainsi de l'état intellectuel et moral nous ferons, au point de vue de l'enseignement social, bien meilleure figure vus de loin que vus de près. » ; le seul véritable coopérateur du Familistère, François Bernardot, n'y est pas populaire. L'Association du Familistère n'est pas en mesure de faire davantage que d'envoyer Bernardot comme délégué au Congrès coopératif de Paris [septembre 1891].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 9 décembre 1887
Marie Moret a bien reçu la lettre de Neale datée du 1er novembre 1887, dans laquelle il évoque les impressions d'Ernest Brelay à l'égard du Familistère. Elle indique que Brelay a exprimé dès 1885 dans L'Économiste français ses sentiments à l'égard de l'Association. Une réponse a été publiée dans le numéro du Devoir paru le 15 mars de la même année. Elle informe Neale qu'Anseele, le fondateur du Vooruit qu'elle et Godin apprécient, lui a écrit il y a trois semaines qu'il devait lui écrire. Elle lui explique qu'Anseele a été charmé par son résumé de l'Histoire des pionniers de Rochdale d'après Holyoake, qu'il lui a demandé l'autorisation de le publier en flamand et que l'association du Vooruit a voté l'impression de la brochure, qui paraîtra dans les colonnes du journal de l'association, puis en un volume qui sera offert au nouvel an de 1898 aux membres du Vooruit. Elle transmet à Neale les compliments de Godin, de sa sœur et de sa nièce et elle lui exprime son amitié.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Brelay, un ami de Godin a écrit à Bonard. Godin craint de ne pas avoir à proposer à Bonard un emploi correspondant à ses aptitudes, la mécanique semble-t-il. Il lui explique que l'usine de Guise emploie 1 000 ouvriers environ à la fabrication d'appareils de chauffage et de cuisson. La rémunération dépendra des services que Bonard pourrait rendre et qu'il doit lui préciser. Godin exige des références.
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