FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret continue à travailler sur les manuscrits de son mari. Elle s'est installée à Lesquielles avec Marie-Jeanne et Émilie Dallet mais retourne au Familistère pour Le Devoir et les réunions du Conseil. Elle travaille sur la correction des épreuves du Devoir et rédige des brouillons de lettre qu'elle donne à copier à Buridant II [Jules Buridant] à cause de son mal à la main droite. Précise que les choses avec Pascaly s'arrangent et qu'il rendra bientôt visite à Fabre. Elle ne prévoit pas de voyager à cause de son travail et des études de Marie-Jeanne Dallet, sauf si les évènements politiques tournent à la guerre, alors elle pense se rendre en Suisse. Remercie pour l'invitation à venir séjourner dans sa future maison à Nîmes. Se réjouit de l'amélioration des relations entre Fabre et sa fille. Au Familistère et à l'usine tout va pour le mieux. Marie Moret est préoccupée par l'Exposition de 1889 où la société du Familistère est conviée au Congrès d'Économie sociale. Elle craint qu'on lui demande d'intervenir alors qu'elle souhaite qu'on la laisse tranquille (vit en dehors du monde et n'est que "le porte-plume de M. Godin"). Recommande Fabre pour le congrès et le remercie pour les informations sur la Société des jeunes amis de la paix dans le prochain numéro du Devoir. Demande de renseignements d'Édouard de Boyve au sujet du service du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont au Familistère. Parle de la météo et prend des nouvelles des proches. Demande à Pascaly s'il préfère recevoir les 200 francs sur son lieu de vacances ou à son retour à Paris. Au sujet des articles pour les prochains numéros du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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En attendant sa voiture pour aller à Guise, Marie Moret explique qu'elle ne retrouve pas le portrait de son mari et qu'elle envoie une revue anglaise où se trouve un autre portrait qui pourra être utilisé par la Société des jeunes amis de la paix. Elle envoie le chèque de 200 francs et la lettre qu'elle a reçue d'Épaulard en résumant la réponse qu'elle a donnée. Sur l'édition du Devoir. Répond aux questions et à la dernière lettre de Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Envoie ses vœux pour la nouvelle année. Année 1888 très difficile qui se finit par la faillite de la Compagnie du canal de Panama. Godin a également acheté quatre actions mais la perte dans sa fortune est insignifiante. Marie Moret est obligée de restreindre ses dépenses pour continuer à soutenir Le Devoir et éditer les manuscrits de son mari. Elle a dû se séparer de ses appartements, ne garde qu'un cheval et supprime les abonnements de propagande. Remercie pour les renseignements sur la loi de la liberté de la presse du 29 juillet 1881 et informe le procureur de la République que Le Devoir devient mensuel. Envisage de passer l'hiver prochain dans le sud pour la bonne santé de Marie-Jeanne et Émilie Dallet.
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