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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Levasseur un article qu'il voudrait voir publier dans le numéro du dimanche du Courrier de l'Aisne. Le manuscrit de l'article intitulé « Chemin de fer du Cateau à St Erme » est copié à la suite de la lettre sur les folios 25r à 30r : l'article soutient la réalisation de la ligne de chemin de fer qui permettrait de relier les ports de mer du Nord à Marseille en passant par Lille, Valenciennes, Le Cateau, Guise, Marle, Reims, Châlons, Chaumont, Dijon et Lyon ; Godin passe en revue les avantages de la nouvelle ligne pour les cantons de l'Aisne qu'elle traverserait, et pour le département de l'Aisne qui pourrait faire l'économie de frais d'entretien des routes ordinaires ; il appelle le gouvernement à donner la possibilité aux capitaux inactifs de s'employer dans une entreprise d'utilité publique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin avoue à Seydoux ne pas comprendre l'opposition du département du Nord au prolongement de la ligne de Valenciennes au Cateau jusqu'à Saint-Erme. Il explique que cette ligne mettrait directement en communication les bassins houillers du Nord avec les départements de la Marne et de l'Est, mais que la Ville de Reims promeut actuellement auprès du gouvernement une ligne allant de Reims à Hirson pour relier les chemins de fer allant à Mons et à Charleroi. Il lui envoie la carte de la pétition de la Ville de Reims au ministre des Travaux publics. Godin demande à Seydoux si le département du Nord préfère le tracé de Reims à Mons ou Charleroi au lieu d'un tracé de Reims à Valenciennes ; il fait valoir que la ville du Cateau aurait beaucoup à perdre avec le tracé de Reims.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin informe Seydoux qu'il se joindrait volontiers à lui pour aller à Paris, mais il le prévient que la visite à monsieur Mantion de la Compagnie du chemin de fer du Nord pourrait ne pas être fructueuse car celle-ci pourrait préférer le tracé de Reims à Hirson et Mons dans la mesure où Rothschild est propriétaire de houillères dans le bassin de Mons.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à son fils des exemplaires de son projet de loi et de sa proposition d'amendement. Il lui demande d'apporter une robe à Marie Moret et une grande malle. Sur le report d'un voyage d'Émile à Reims : Godin récrimine contre la paralysie des opérations de l'usine en raison du défaut d'organisation des ressources humaines. Il lui signale qu'il s'est mis en rapport avec le Comité alsacien pour obtenir un ingénieur et des comptables. Il incite Émile à approuver la mesure consistant à faire appeler Marie « madame Marie » par les enfants des écoles. Sur la santé d'Émile. Il informe Émile qu'il a télégraphié à Grebel que le brevet est régularisé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Loisy a annoncé son arrivée à Guise le dimanche suivant. Godin l'avertit qu'il l'attendra à Guise au lieu de se rendre à Versailles, où son état de santé lui permettait d'aller, et il attire l'attention de Loisy sur les changements de trains à effectuer à Châlons, à Reims et à Tergnier.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Divers sujets relatifs au journal Le Devoir : donner à Louis-Victor Colin le numéro de février du journal ; informe Buridant qu'elle écrit à monsieur Braillon pour le remercier de lui avoir signalé qu'un numéro de la revue manquait à la Bibliothèque de Reims ; établir le compte des dépenses du Devoir. Marie Moret rend compte à Buridant de sa correspondance avec Émile Venet au sujet de l'entretien de sa propriété de Lesquielles par monsieur Tettier. Elle indique qu'Émilie Dallet le remercie pour la lettre qu'il lui a écrite. Elle transmet son souvenir à mesdames Louis, Roger et Allart, et demande dans le post-scriptum si Buridant a des nouvelles de monsieur Pierquet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant pour sa lettre du 6 avril 1899 et ses envois. Divers sujets relatifs au Devoir : l'informe que le numéro d'avril « pèse 6 centimes » et est imprimé sur un beau papier ; demande le « Mouvement des assurances » pour le prochain numéro ; l'informe que madame Cavelier accepte de recevoir gratuitement Le Devoir ; remercie Buridant des nouvelles de monsieur Pierquet ; lui indique qu'il ne faut pas répondre à la lettre de Mothe, de Reims, car le journal ne publie pas d'actualités et n'a pas besoin de correspondants en province. Marie Moret remercie Buridant pour son mot sur monsieur Tettier de Lesquielles qui va se mettre au travail si le temps est propice.
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