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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Barthélémy Godin, 9 mai 1846
Godin propose à son frère cadet de travailler avec lui. Il évoque avec lui la possibilité de créer un autre établissement industriel, par exemple sur les bords de la Loire, facilement accessibles par le chemin de fer, dont ils partageraient les bénéfices ; Godin imagine qu'ils pourraient diriger en alternance ce deuxième établissement et « l'établissement définitif » qu'il s'apprête à construire à Guise sur la propriété qu'il a achetée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Gripon, 27 avril 1864
Godin propose à Gripon d'aller explorer [à l'essai] les localités se trouvant le long de la Loire et dans la contrée comprise entre la Loire et la Seine, avant de l'admettre comme voyageur de commerce de la maison Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Gripon, 30 avril 1864
Godin répond à la lettre écrite à Rouen par Gripon en lui confirmant qu'il peut lui confier immédiatement une région à visiter s'il accepte ses conditions : 6 F par jour, 0,10 F par kilomètre, commissions de 3 % jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus. Godin pourrait lui confier un itinéraire traversant 12 à 16 départements, de l'endroit où il se trouve jusqu'à la Loire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 février 1875
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin félicite Émile d'avoir été voir les notaires de Nevers. Il lui demande de faire la même chose dans les autres villes qu'il visitera. Il lui rappelle qu'il cherche une propriété de 400 à 500 hectares près d'une voie de chemin de fer et d'un canal. Il lui recommande de s'informer sur l'approvisionnement en charbon, en coke et en fonte. Il lui demande de s'informer si la raison de la fermeture des hauts-fourneaux de la Nièvre est l'épuisement des minerais et s'il en va de même dans le Cher. Il souhaite qu'Émile se renseigne sur la situation des propriétés dont on lui parlera : Godin avance que la propriété de 484 hectares au sud de Nevers devrait être située à la jonction de l'Allier et de la Loire, près du fleuve et près du chemin de fer qui passe à la Guerche sur l'autre rive de l'Allier.
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