Godin accuse réception des lettres de Manier des 21 et 24 septembre 1883. Il lui explique qu'il lui est difficile de l'aider, car il est écrasé par les affaires du Familistère, qu'il revient de Belgique où il est allé décider l'emplacement d'un Familistère à Laeken, mais qu'il ne refusera pas son concours par la suite.

Sur le recrutement d'un directeur des constructions du Familistère de Laeken. Sur l'école de Laeken : Godin voudrait discuter des conditions d'installation d'une école avec Bokstaël de la commune de Laeken.

Sur le procès de la Société du Familistère avec la municipalité de Bruxelles relatif au droit de passage sur la digue du canal de Willebroek. Godin souhaite trouver un arrangement avec la municipalité de Bruxelles, qui a la prétention d'empêcher la Société du Familistère de sortir ses marchandises de l'usine de Laeken et empêche ainsi la construction d'une habitation et d'une école.

Le conseil municipal de Bruxelles doit examiner la demande d'alignement de la Société du Familistère pour l'édification d'habitations ouvrières près de l'usine de Laeken : Godin recommande le projet à l'attention du bourgmestre de Bruxelles.

Godin répond à la lettre que Kaÿser a écrite à Laeken à Bourgeois au sujet de la Société du Familistère. Il lui envoie Mutualité sociale, l'étude sociale Le Familistère et un numéro du journal Le Devoir contenant le bilan de l'exercice de 1886-1887 de la Société.