FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 5 résultats dans 19519 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0261v_H.jpg
Marie Moret remercie Henri Buridant de ses divers envois et revient sur les numéros de novembre 1899 du Devoir mis de côté : c'est à Raoul Maurin qu'il faut cesser l'envoi, et non à monsieur Martin de Saint-Didier (Vaucluse). Marie Moret a appris par Émile Venet qu'Émile Tettier avait commencé les travaux de jardinage dans sa propriété de Lesquielles avant d'être employé chez une autre personne temporairement, qu'il a préféré utiliser des plants [d'ifs] déjà présents dans un bosquet du jardin plutôt que d'en acheter de nouveaux et que le puisement de l'eau de la citerne par la mairie pour les travaux de l'école de Lesquielles se déroulent comme prévu. Marie Moret demande à son correspondant si sa fille Marie possède dans sa bibliothèque l'ouvrage La justice des choses et se propose de lui offrir. Dans le post-scriptum, Marie Moret signale à Henri Buridant que le journal Les États unis d’Europe indique que la correspondance doit être adressée à Émile Arnaud à Luzarches, mais elle souhaite continuer de servir à Berne Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0272_H.jpg
Marie Moret demande à Henri Buridant de procéder aux envois du numéro de décembre 1899 du Devoir dès sa réception, qu'elle espère avant les fêtes de Noël afin d'éviter les encombrements postaux ; elle indique dans le post-scriptum qu'elle a fait tirer Le Devoir à 340 exemplaires et demande à Buridant le nombre d'exemplaires qu'il recevra. Elle informe Buridant qu'elle va commander une édition si possible illustrée et reliée de La justice des choses chez Guillaumin et Cie pour Marie Buridant. Elle a pris note du mot sur la fonction de monsieur Bocheux et a biffé le département de l'intérieur à Lausanne [sur le registre des services du Devoir]. Elle donne des nouvelles du climat et de sa santé : froid et tempête de mistral à Nîmes, la santé est bonne.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0275v_H.jpg
Marie Moret passe commande de plusieurs ouvrages et périodiques : une édition si possible illustrée et reliée de La justice des choses à adresser à Marie Buridant chez Henri Buridant au Familistère de Guise ; pour elle-même au 14, rue Bourdaloue, Nîmes, Les vierges fortes par Marcel Prévost et le numéro de septembre-octobre 1898 des Annales des sciences psychiques contenant le discours de William Crookes au congrès de l'Association britannique pour l'avancement des sciences.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0279v_H.jpg
Venant d'apprendre par une lettre de Guillaumin et Cie que l'ouvrage La justice des choses est épuisé, Marie Moret propose trois autres ouvrages à offrir à Marie Buridant dont deux de Stahl « couronnés par l'Académie Française. » Elle prie Henri Buridant de mettre la circulaire du Musée social en réserve à Guise car Auguste Fabre l'a aussi reçue et lui demande des nouvelles de la voie ferrée reliant l'usine à la gare de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0284v_H.jpg
Marie Moret rappelle à Guillaumin et Cie qu'ils doivent envoyer à Nîmes l'ouvrage Les vierges fortes dès qu'il sera paru. À la place de La justice des choses, épuisé, elle passe commande du livre Histoire d'un âne et de deux jeunes filles de P. J. Stahl, à adresser à Marie Buridant au Familistère de Guise.

Mots-clés :

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2