Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1935
Auteur : Wallon, H.
Archives Marguerite Audoux
Le docteur Wallon est un ami de Marguerite Audoux et de Léon Werth

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION des lettres 318 BIS et 384 BIS

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Lettre de Marguerite Audoux à Francis Jourdain
Sur le manuscrit de La Mère et l'Enfant de Charles-Louis Philippe

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION des lettres 318 BIS et 384 BIS

Collection : 1936
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
À propos de Suzanne Bauman‑Franchimont, évoquée dans la présente lettre, David Roe porte à notre connaissance un billet de la main de Francis Jourdain, écrit sur une feuille de papier quadrillé :
« Manuscrits de Charles‑Louis Philippe
prêtés pour étude (thèse) à
Madame S. Bauman‑Franchimont
Rijinstraat 100
Amsterdam (2)
13 .
10 33 »
(Collection David Roe, don de Mme Gubisch).
Le même jour que celui de la création de la présente lettre (ce 8 février 1936), Francis jourdain envoie cette carte‑lettre à Madame Pajault :
« Chère madame,
J'ai reçu ce matin votre lettre et hier soir celle de Madame Suz[anne] Bauman‑Franchimont (Rijinstraat 100 à Amsterdam 2) qui, en réponse à ma demande, m'avise que les manuscrits sont, bien entendu, à votre disposition.
J'ai cru bien servir la mémoire de mon cher vieil ami en facilitant le travail que Mme Bauman‑Franchimont entreprenait sur l'œuvre de celui‑ci et je veux espérer que ce travail est assez avancé pour n'être pas compromis par votre si juste et si naturelle réclamation devant laquelle mme B[auman‑] F[ranchimont] ne peut que s'incliner.
Attachant le plus grand prix aux documents qui lui ont été confiés, elle n'ose les expédier par poste et viendra me les apporter elle‑même à Paris. Étant professeur de lycée, il lui faut pour cela demander un congé qu'elle n'obtiendra sans doute que la semaine prochaine, et s'excuse auprès de vous de ce léger retard. M. Pajault aura‑t‑il, par son travail, l'occasion de passer à Paris la semaine suivante, c'est‑à‑dire dans la 2e quinzaine de février ? Ou préférez‑vous que je confie au chemin de fer le précieux paquet (ce qui comporte peut‑être quelque risque) ? J'attends à cet égard votre décision et vous prie en attendant de croire à la sincérité de ma très dévouée sympathie.
Francis Jourdain
Peut‑être serait‑il utile de transmettre à Buriot‑Darsiles[1] l'adresse de Mme B[auman‑] F[ranchimont] qui accepterait sans doute d'adhérer à la Sté des Amis de Charles‑Louis Philippe.
8.
2. 36. »
(Médiathèque Valery-Larbaud de Vichy [Ph.Jou 20])
[1] H. Buriot‑Darsiles est alors le Secrétaire Général et le rédacteur du Bulletin des Amis de Charles‑Louis Philippe. Le premier numéro va paraître le 21 décembre 1936, date anniversaire de la mort du romancier.

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Huguette et Jacques Lelièvre - Propos sur la santé - Les petits-neveux - Mariage de Lucile - Humeurs de Louise - Léon Werth - Douce Lumière

Collection : 1936
Auteur : Petiot
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Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 385

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-08-14 aud paul.bmp
- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.
- Many est la femme de Roger.
- Le petit Roger (prénommé comme son père), alias Jolibeau, est né le 21 février 1936 (il va sur ses six mois).

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
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Avec René Bonnet (le préfacier du Marguerite Audoux de Louis Lanoizelée) et Ferdinand Teulé, Henry Poulaille (1896-1980) est l'un des fondateurs et animateurs du « Musée du soir », bibliothèque installée dans un local du XIVe arrondissement de Paris, où des intellectuels et des ouvriers viennent lire et discuter. Il sera aussi directeur des services de presse chez Bernard Grasset. Sa correspondance avec Jehan Rictus (1924‑1931) a été éditée par l'association des amis d'Henry Poulaille et les éditions Plein Chant (16120 Bassac).
Eu égard à sa conception de la littérature populiste (écrite par, sur et pour le peuple), dont il est l'un des spécialistes, Poulaille s'est intéressé à Marguerite Audoux. Il lui rend visite en 1936, lui ayant déjà consacré un chapitre (p. 255‑258) dans la seconde partie de son Nouvel Âge littéraire (Valois, 1930), partie concernant « La littérature prolétarienne française. Œuvres et hommes ». Citons, parmi les autres écrivains qu'il évoque : Charles‑Louis Philippe, Jules Renard, Neel Doff, émile Guillaumin, Louis Pergaud, Henri Bachelin, et Lucien Jean (sur qui il comptait, avec Louis Lanoizelée, écrire une plaquette, projet que la Seconde guerre fit avorter).

Collection : 1936
Auteur : Fasquelle, Eugène
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Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-10-20 aud paul (1).bmp
- Mme Bertrand est une habitante de Saint-Raphaël qui s'occupe de Marguerite Audoux, diminuée à quelques mois de son décès.
- Henri Philippon (1908-1981) est journaliste. Dans Aux Ecoutes, en 1961, il fera courir le bruit que Marguerite Audoux et Alain-Fournier étaient amants.
- "Chou" est le mari de Lucile Rimbert (fille de Rabat-Joie, la meilleure amie de la romancière). D'où "les Choux" pour désigner le jeune couple.

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION des lettres 318 BIS et 384 BIS

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
1936-11-15 aud paul (1).bmp
- Amélie Perrier est une amie de Marguerite Audoux.
- Louis Lanoizelée (1896-1990) est un modeste autodidacte nivernais. Il est d’abord valet de ferme, puis, à dix-huit ans, travaille comme mineur de fond à La Machine. Il monte ensuite à Paris, où il est maître d’hôtel – dans la même maison que son épouse, employée comme femme de chambre. C’est en 1936 qu’il réalise son rêve - obtient, comme il le dit, son « bâton de maréchal » - en ouvrant une boîte de bouquiniste quai des Grands-Augustins. Ses grands-parents ne savaient ni lire ni écrire, ses parents étaient quasi illettrés. Comme Marguerite Audoux, il dévore dès sa prime jeunesse tout ce qu’il trouve à sa portée, en particulier un livre auquel il manque le début et la fin et qu’il découvre ensuite être Pêcheurs d’Islande. Il finira d’assouvir sa passion en écrivant des monographies à compte d’auteur sur les petites gens comme lui qui sont entrés en littérature : Marguerite Audoux, Charles-Louis Philippe, Lucien Jean, Émile Guillaumin... Louis Lanoizelée est donc le deuxième biographe de la romancière (son Marguerite Audoux paraît en 1954). Un cinquième et dernier ouvrage, Souvenirs d’un bouquiniste (le seul qui ne soit pas à compte d’auteur), sera édité en 1978 à l’Âge d’Homme.
Quand il commence à faire ses visites bimensuelles à la romancière, en 1932, Louis Lanoizelée est donc encore maître d’hôtel rue de Varenne. Il ne peut s’échapper que deux heures dans l’après-midi et, très vite, remplace les fleurs par une grande tarte, car il sait que les petits-neveux de Marguerite Audoux viennent le dimanche.
À quatre-vingt-neuf ans, Louis Lanoizelée est invité pour une émission à France-Culture. Il s’éteindra cinq ans plus tard.
Lettres de Marguerite Audoux à Louis Lanoizelée : identifiants 360, 365, 367, 372, 384 et 396
- Maurice est le cadet des trois petits-neveux (frère de Paul et Roger).
- Many est l'épouse de Roger et Roger (prénommé comme le père), alias Jolibeau, est leur fils.

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION des lettres 318 BIS et 384 BIS

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Dans son ouvrage sur la romancière, où figure cette émouvante dernière carte qu'elle écrit avec peine, Louis Lanoizelée précise :
« Depuis le départ de Marguerite Audoux dans le Midi, j'étais en correspondance avec elle. Je reçus deux courtes cartes, où elle me disait que sa santé devenait bien mauvaise. Au commencement de décembre, je recevais une carte enclose dans une enveloppe où une écriture inconnue avait tracé mon nom et mon adresse. Sur la carte, il y avait ces quelques mots angoissants, tracés au crayon d'une main tremblante, comme par quelqu'un à bout de souffle.

« Peux pas écrire, dirai plus tard.

AUDOUX. »

C'est le dernier mot de son écriture que je recevais de ma regrettée amie. Jusqu'à sa fin, ce sera l'infirmière qui me répondra par quelques lignes dictées par la grande malade. »

[Lanoizelée (Louis), Marguerite Audoux, Plaisir du bibliophile, 1954, p. 116]

N. B. : Les « deux courtes cartes » et les lignes dictées à l'infirmière n'ont pas été retrouvées.

Collection : 1936
Auteur : Infirmière de Marguerite Audoux
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1937
Auteur : Poulaille, Henry
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Avec René Bonnet (le préfacier du Marguerite Audoux de Louis Lanoizelée) et Ferdinand Teulé, Henry Poulaille (1896 – 1980) est l’un des fondateurs et animateurs du « Musée du soir », bibliothèque installée dans un local du XIVe arrondissement de Paris, où des intellectuels et des ouvriers viennent lire et discuter. Il sera aussi directeur des services de presse chez Bernard Grasset. Sa correspondance avec Jehan Rictus (1924‑1931) a été éditée par l’association des amis d’Henry Poulaille et les éditions Plein Chant (16120 Bassac).

Eu égard à sa conception de la littérature populiste (écrite par, sur et pour le peuple), dont il est l’un des spécialistes, Poulaille s’est intéressé à Marguerite Audoux. Il lui rend visite en 1936, lui ayant déjà consacré un chapitre (p. 255‑258) dans la seconde partie de son Nouvel Âge littéraire (Valois, 1930), partie concernant « La littérature prolétarienne française. Œuvres et hommes ». Citons, parmi les autres écrivains qu’il évoque : Charles‑Louis Philippe, Jules Renard, Neel Doff, émile Guillaumin, Louis Pergaud, Henri Bachelin, et Lucien Jean (sur qui il comptait, avec Louis Lanoizelée, écrire une plaquette, projet que la Seconde guerre fit avorter).

La Guilde du Livre (1936–1978) est créée par Albert Mermoud, licencié en droit et en sciences économiques de l’Université de Lausanne, qui rentre en Suisse après avoir travaillé comme directeur commercial dans un emploi qui lui a permis d’acquérir une formation dans l’impression, le papier et le brochage. En octobre 1935, il avait contacté Charles-Ferdinand Ramuz, dont le roman Derborance deviendra le premier ouvrage publié par la Guilde. En mars 1936, Mermoud envoie le premier Bulletin de la Guilde du Livre à dix mille personnes susceptibles d’être intéressées par son club. Le bulletin contient un manifeste, dans lequel Mermoud dit son amour du livre, présente sa vision du métier d’éditeur et pose les jalons du fonctionnement de la future Guilde : promotion et démocratisation du livre, apolitique et aconfessionnel. La Guilde est présentée comme « une communauté du livre, une grande famille groupant lecteurs et auteurs dans un même effort d’expansion culturelle et dans un même amour de la belle édition ». Le système se fonde sur un abonnement qui implique une cotisation mensuelle donnant droit à un volume relié tous les trois mois et au bulletin mensuel. Les livres sont vendus au coût de revient, tout bénéfice étant reversé aux membres. Les premières publications annoncées concernent des auteurs contemporains ainsi que des rééditions de classiques de la littérature. En une semaine, Mermoud reçoit entre mille et mille cinq cents inscriptions. À la fin de 1937, la Guilde réunit trois mille huit cent quatre-vingt-cinq membres ; en 1944, elle en compte vingt-cinq mille, puis dix mille en 1957. Le bulletin, d'une vingtaine de pages, présente le catalogue, des extraits des livres à paraître et des informations littéraires et culturelles. Il sera distribué en Suisse, mais aussi à l'étranger (France, Portugal, Belgique et Canada).

Louis Lanoizelée (1896‑1990) est un modeste autodidacte nivernais. Il est d’abord valet de ferme, puis, à dix‑huit ans, travaille comme mineur de fond à La Machine. Il monte ensuite à Paris, où il est maître d’hôtel – dans la même maison que son épouse, employée comme femme de chambre ‑. C’est en 1936 qu’il réalise son rêve ‑ obtient, comme il le dit, son « bâton de maréchal » ‑ en ouvrant une boîte de bouquiniste quai des Grands‑Augustins. Ses grands‑parents ne savaient ni lire ni écrire, ses parents étaient quasi illettrés. Comme Marguerite Audoux, il dévore dès sa prime jeunesse tout ce qu’il trouve à sa portée, en particulier un livre auquel il manque le début et la fin et qu’il découvre ensuite être Pêcheurs d’Islande. Il finira d’assouvir sa passion en écrivant des monographies à compte d’auteur sur les petites gens comme lui qui sont entrés en littérature : Marguerite Audoux, Charles‑Louis Philippe, Lucien Jean, émile Guillaumin... Louis Lanoizelée est donc le deuxième biographe de la romancière (son Marguerite Audoux paraît en 1954). Un cinquième et dernier ouvrage, Souvenirs d’un bouquiniste (le seul qui ne soit pas à compte d’auteur), sera édité en 1978 à l’âge d’Homme.

Quand il commence à faire ses visites bimensuelles à la romancière, en 1932, Louis Lanoizelée est donc encore maître d’hôtel rue de Varenne. Il ne peut s’échapper que deux heures dans l’après‑midi et, très vite, remplace les fleurs par une grande tarte, car il sait que les petits‑neveux de Marguerite Audoux sont chez elle le dimanche.

À quatre‑vingt‑neuf ans, Louis Lanoizelée est invité pour une émission à France‑Culture. Il s’éteindra cinq ans plus tard.

Lettres de Marguerite Audoux à Louis Lanoizelée : 360, 365, 367, 372, 384 et 396.

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Prépublication de Marie-Claire dans La Grande Revue

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Discussion quant au tarif des contes

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Impossibilité d'aller avec le correspondant chez Mirbeau

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Rétractation de Marguerite Audoux quant à la signature d'une pétition

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de restitution d'une page manuscrite

Collection : 1922
Auteur : Lefranc, Marie
Archives Marguerite Audoux
Marie Le Franc est née en 1879 dans une famille de douaniers. Après des études à l'école normale de Vannes, elle devient institutrice. Éprise d'un héros de Fachoda, le capitaine Jean-Baptiste Marchand, elle se rend à Paris sur son invitation mais l'idylle tourne court et cette blessure sentimentale explique partiellement son envie de partir. En janvier 1906, elle s'embarque pour le Canada où elle séjournera trente ans, avec de courts séjours à Sarzeau. Enseignante dans la région de Montréal, elle publie en 1925 son premier roman, Grand-Louis l'innocent dont l'édition parisienne est primée en 1927 par le jury Femina. Le succès de ce roman décide de sa carrière et son inspiration fait alterner figures bretonnes et québécoises dans une fascination qui remonte à son enfance : celle de la mer, des plages et des dunes [Le Poste sur la dune (1928), Dans l'île (1932), Pêcheurs de Gaspésie (1938), Pêcheurs du Morbihan (1946)]. Mais il y a aussi en elle ce goût breton de la ruralité et comme son compatriote brestois Louis Hémon, elle est attirée par ces figures emblématiques que sont les coureurs des bois (Hélier, fils des bois, 1931) et les défricheurs (La Rivière solitaire, 1934)…
Durant l'un de ses séjours en Bretagne, auprès de sa mère, la guerre de 1939 éclate et la retient à Sarzeau. A partir de cette époque, elle ne retournera au Canada qu'épisodiquement. D'abord de 1947 à 1950 où elle effectue de longues randonnées en forêt d'où sortira Le Fils de la forêt, publié en 1952. Lorsqu'elle revient en France elle est fatiguée et malade, elle songe pourtant à repartir et retrouve Montréal pour un séjour d'un an de 1953 à 1954, puis en 1957. De retour à Sarzeau, épuisée et affaiblie par son dernier voyage elle continue pourtant à écrire et achève un récit autobiographique, Enfance marine, publié en 1959. Elle se prépare pour une nouvelle traversée mais la maladie lui fait annuler son voyage. Hospitalisée à Vannes à la clinique Sainte-Claire, elle est opérée à deux reprises sans résultat. C'est à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye qu'elle décède le 29 décembre 1964, laissant une œuvre double, bretonne et québécoise, marquée par le double imaginaire de la mer et de la forêt.
(Renseignements fournis par le Professeur Marc Gontard)



Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Alitée - Invitation à venir la voir

Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Non-adhésion à la Société des Gens de Lettres - De la ville au moulin

Collection : 1932
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Annonce de sa villégiature

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voeux

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Coordonnées d'un oculiste

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur un remède

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voeux
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