Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Carte amicale

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
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Carte amicale

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
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Remerciements pour Fermina Marquez

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
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Sur "Baboulo" (fils des Jourdain)

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
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Maladies des Jourdain et de la romancière

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
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Buste de Charles-Louis Philippe

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
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Pèlerinage à Fontenay-aux-Roses - Fermina Marquez - Fargue - Enfantines - L'Atelier de Marie-Claire

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
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Vacances agréables - Article de Larbaud sur Mirbeau

Collection : 1932
Auteur : Audoux, Marguerite
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Voeux

Collection : 1934
Auteur : Audoux, Marguerite
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Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 318 BIS

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
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Voir la partie DESCRIPTION des lettres 318 BIS et 384 BIS

Collection : 1933
Auteurs : Audoux, Marguerite ; Perrier, Amélie
Archives Marguerite Audoux
Carte postale amicale

Collection : 1911
Auteurs : Audoux, Marguerite ; Yell, Michel
Archives Marguerite Audoux
Carte postale amicale - Transcription d'une chanson

Collection : 1910
Auteurs : Audoux, Marguerite ; Yell, Michel
Archives Marguerite Audoux
Carte estivale amicale

Collection : 1911
Auteurs : Audoux, Marguerite ; Yell, Michel
Archives Marguerite Audoux
Léon-Paul Fargue

Collection : 1910
Auteurs : Audoux, Marguerite ; Yell, Michel
Archives Marguerite Audoux
Pensée amicale de Bretagne

Collection : 1919
Auteur : Harry, Myriam
Archives Marguerite Audoux

Première lauréate du Prix Vie heureuse (en 1904) avec La Conquête de Jérusalem (la vie, romancée, de son propre père), Myriam Harry (1869‑1958) représente ainsi un jalon dans l'histoire du féminisme (ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle soit elle‑même féministe), en tant que représentante du tout nouveau Prix littéraire, réponse au « Pas de femmes parmi nous » de Rosny aîné, alors président du Goncourt. Myriam Harry est née à Jérusalem d'un israélite russe et d'une doctoresse allemande (luthérienne). Elle a une jeunesse cosmopolite (Londres, Berlin, Paris, les Indes, la Tunisie). Si elle écrit sous le pseudonyme de Siona, on pourrait penser que c'est en fervente sioniste. En réalité, c'est tout simplement parce qu'elle est née sur le Mont Sion.

Citons, de Myriam Harry, un extrait de « Souvenirs du Femina », article inclus dans une brochure de 1954 pour le cinquantenaire du prix [Louis Lanoizelée, dans son Charles‑Louis Philippe (Plaisir du bibliophile, 1953, p. 80‑81) mentionne déjà ce même fantaisiste passage comme figurant dans La Revue de Paris. Il s'agit donc, pour la brochure en question, de la reprise d'un article déjà édité]. On comprend que c'est à l'occasion du Prix 1910 que les deux femmes ont fait connaissance :

« Marguerite Audoux présente Marie‑Claire, en même temps que Péguy avec Le Mystère de la Charité, dont il avait vainement espéré le prix Goncourt.
C'est sous la présidence de Mme Alphonse Daudet, dans ses beaux salons de la rue de Bellechasse, sous les regards des portraits de Renoir, si mélancoliques, des Sisley, si clairs, des Manet, flamboyants, et des rutilantes études de Besnard, rapportées des Indes.
Je crois que je regardais beaucoup plus les tableaux que je n'écoutais les discussions. On soupçonnait Marguerite Audoux de ne pas avoir écrit son livre toute seule… Avait‑elle été pastourelle ? était‑ce une pauvre couturière ? Vivait‑elle avec… et patati et patata. Je ne savais rien d'elle, mais j'aimais son roman, et lorsqu'elle emporta nos suffrages, j'étais heureuse d'aller lui porter moi‑même la bonne nouvelle. Je ne la trouvai pas chez elle, mais mon mari alla la chercher pour déjeuner chez nous quelques jours plus tard. C'était une petite personne d'agréable tournure, enjouée, «naturellement naturelle» selon l'expression de Jules Lemaître, parlant avec aisance, clarté, pittoresque et très capable d'avoir écrit Marie‑Claire. Comment en avait‑elle eu l'idée ?
- Charles‑Louis Philippe me l'avait donnée. Il habitait une petite chambre mansardée au quatrième étage, qui voisinait avec celle où, venue à Paris pour chercher du travail, j'étais échouée en plein chômage. Lui, métrait les terrasses des cafés à cent francs par mois, et faisait un peu de journalisme (et, malicieuse, elle ajoute) : il rêvait de métrer les paratonnerres… Je lui racontais mes moutons. «Il faut écrire cela ! Je vous corrigerai.» En attendant il fallait vivre. Nous étions si pauvres que nous n'avions qu'une paire de bottines à nous deux, donnée à Philippe par Gustave Geoffroy, pour lequel le cordonnier les avait faites trop courtes. Elles sont beaucoup trop longues pour son pied. Et pour le mien, donc ! Vous souvenez‑vous combien l'hiver était glacial ? On ne pouvait pas sortir en savates. Il les mettait l'après‑midi pour aller à l'Hôtel de Ville, et moi le matin pour mes courses. Je les attachais à mes chevilles avec des ficelles. Pour descendre cela allait. Mais pour remonter !... la partie vide fléchissait sur les marches. J'essayais de monter de biais en sautillant de marche en marche, comme ça… mais je tombais sur les genoux. Alors je me suis retournée et je grimpais à reculons. C'est long quatre étages ! Avec un seau à charbon à une main et un cabas de pommes de terre dans l'autre. Je n'en finissais pas et les gens dans l'escalier se tordaient. Ils m'appelaient «l'écrevisse».
Et le rire de Marguerite Audoux sonne clair comme un rire de source.
- Heureusement cela n'a pas duré. Un matin, en ouvrant ma porte, je vois une ravissante petite paire à douze boutons. Je n'ai jamais su à qui je les devais. »

Louis Lanoizelée (Ibid.) commente ainsi : « Madame Harry a beaucoup d'imagination. Il est certain que jamais Marguerite Audoux ne lui a dit de semblables racontars. »

On rappellera en effet que Marguerite Audoux est déjà depuis une vingtaine d'années à Paris quand elle fait la connaissance de Philippe par le truchement de Michel Yell. Elle ne vient donc pas de monter à Paris, et elle n'a d'ailleurs, si l'on excepte Vincennes et la rue de Lagny, jamais quitté le quartier Montparnasse. C'est en réalité depuis longtemps qu'elle emplit ses petits cahiers. Yell les découvre après 1900 (la future romancière arrive dans la capitale en 1881), qui en parle à Philippe, lequel s'enthousiasme. L'auteur de Bubu est bien le promoteur, mais non l'instigateur de Marie‑Claire.

Cela rectifié, il faut également se méfier de la romancière qui, elle aussi, « a beaucoup d'imagination ». D'où sans doute ces autres articles (où souvent, comme dans cette prosopopée, on lui prête la parole) qui se contredisent. Dans la lettre 32 à Giraudoux, fait non moins curieux, elle le remercie de sa préface qu'elle trouve parfaite (« Vous avez dit exactement ce qu'il fallait dire »), alors que cette présentation s'égare parfois dans des considérations discutables [« [E]lle songea alors, pour gagner sa vie, à écrire. » (Préface de la prépublication de Marie‑Claire dans La Grande Revue de Jacques Rouché, 14e année, n° 9, 10 mai 1910, p. 14‑15 – p. 14 pour ce passage ‑)].

Ce que dit Myriam Harry elle‑même, en revanche, est tout à fait exact, en particulier les propos des dames du Fémina. Le 25 novembre 1910, Alain‑Fournier écrivait à Péguy : « [U]ne des dames de la Vie heureuse répand le bruit imbécile que ce n'est pas Marguerite Audoux qui a fait son livre. Et les dix‑neuf autres dindes en sont tout effarouchées. » (Alain‑Fournier – Charles Péguy, Correspondance 1910‑1914, Fayard, 1973, p. 30). Tout en laissant à Alain‑Fournier la responsabilité de ses formules, on ne peut donc que constater que ces affabulations ont bien été (et sont encore) proférées.

Collection : 1930
Auteur : Larbaud, Valery
Carte postale de Valery Larbaud à Marguerite Audoux
Lettre amicale de remerciements et de voeux

Collection : 1912
Auteurs : Larbaud, Valery ; Bennett, Arnold
Carte postale de Valery Larbaud et Arnold Bennett à Marguerite Audoux








Arnold Bennett (1867-1931) est un romancier anglais dont Larbaud entreprend la traduction d'une des nouvelles, The Matador of the Five Towns. C'est également le préfacier de la traduction anglaise de Marie‑Claire par John Raphaël (voir infra). Arnold Bennett devient célèbre en 1908 pour son roman The Old Wives' Tale. Influencé par Zola et Goncourt, il participe à la vie littéraire française (dîners de La Plume, réceptions du Mercure, …). Son réalisme teinté de compassion humaine le rapproche de Charles‑Louis Philippe, qu'il n'eut pourtant pas le temps de connaître, mais dont il entendit parler par son ami Cipa Godebski, lequel avait des attaches avec La Revue blanche. C'est très probablement Léon‑Paul Fargue qui fit connaître Marguerite Audoux à Arnold Bennett. C'est lui, en tout cas, qui donne force détails à l'écrivain anglais pour la rédaction de la préface de Marie‑Claire, d'après ce qu'on apprend dans le journal de Bennett en date du 6 janvier 1911.



Collection : 1910
Auteurs : Larbaud, Valery ; Fargue, Léon-Paul
Carte postale de Valery Larbaud et Léon-Paul Fargue à Marguerite Audoux
Carte amicale

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
George Besson - Octave Mirbeau très malade - Docteur Albert Robin - Alice Mirbeau - Louise et Georges Roche - Lucile et René Dugué - Lette

Collection : 1923
Auteur : Audoux, Marguerite
1923-07-21 aud paul (1).bmp
- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à Madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul Fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre (identifiant 185) d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre (identifiant 247) adressée le 11 novembre 1917 à Antoine Lelièvre par la romancière.
- Les Courmaillot, Godet (lui chef de gare dans la région vendéenne) et Guillemin (logeurs) sont ou ont été des habitants de L'Île-d'Yeu.
- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul d'Aubuisson - Marguerite Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à Émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. Ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold-Robert (la mère de Léon-Paul Fargue ne devient elle pas « Farguette » ou « Farguinette » ?...).

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La Valserine - Voeux de Nouvel An - Alain-Fournier

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Carte amicale

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
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Une lectrice, sur laquelle nous ne possédons aucun autre renseignement

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux
Mère de Léon-Paul

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux
FAURE (Élie) (1873‑1937)
Élie Faure est à la fois médecin et auteur d'une Histoire de l'art (1909‑1921). C'est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigna Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui (Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281). C'est donc un familier du groupe de Carnetin, d'autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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