Archives Marguerite Audoux

Archives Marguerite Audoux


Votre recherche dans le corpus : 630 résultats dans 630 notices du site.

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux
Mère de Charles-Louis

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur(s) : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1935
Auteur(s) : Fournier, Albert
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 370

Collection : 1935
Auteur(s) : Fournier, Albert
Archives Marguerite Audoux
Marrainage d'élèves de Cahors

Collection : 1920
Auteur(s) : Fournier, Albanie
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour L'Atelier de Marie-Claire - Alain-Fournier - Critique mitigée du livre reçu

Collection : 1923
Auteur(s) : Fournier, Albanie
Archives Marguerite Audoux
La Valserine

Collection : 1926
Auteur(s) : Febvre-Longeray, Blanche
Archives Marguerite Audoux
Courrier des lecteurs

Collection : 1911
Auteur(s) : Faure, Élie
Archives Marguerite Audoux
Regrets de ne pas êre avec les Jourdain et Marguerite à Saint-Jean-sur-Mer - Propos médicaux sur une femme, non identifiée, et sur sa propre santé

Collection : 1936
Auteur(s) : Fasquelle, Eugène
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1910
Auteur(s) : Fargue, Léon-Paul
Archives Marguerite Audoux
Raisons de l'ajournement du voyage à Plougasnou

Collection : 1911
Auteur(s) : Fargue, Léon-Paul
Archives Marguerite Audoux
Nous reproduisons les trois poèmes de Marguerite Audoux dont il est question dans cette letre, écrits de 1901 à 1902, et publiés dans La Phalange en 1911, puis le texte de Léon-Paul Fargue qui évoque son aversion pour les coquilles, ce dont il témoigne dans le quatrième paragraphe.



« Mon Bien‑Aimé
Mon bien‑aimé est parti, et la nuit descend sur moi. Elle ne peut être en moi, cardans mon cœur brûle une flamme claire que rien ne peut m'éteindre et qui m'éclaire toute. Dans le crépuscule léger, j'erre doucement par les sentiers, espérant toujours voir le bien‑aimé dans l'autre sentier.
Parfums doux des roses et des lis,
Parfums amers des peupliers et des lierres,
Vous passez dans mes cheveux et sur ma bouche ;
Mais ma bouche garde le souvenir des parfums vivants de son baiser.
Mon bien‑aimé est parti, et mon âme est pleine de sanglots.
Pleurez sur moi, saules pleureurs :
N'êtes‑vous pas ici pour pleurer sur les peines d'amour ?
Vous laissez pendre votre feuillage comme une douce et blonde chevelure ; mais la sienne est plus blonde et plus douce.
Fermez sur moi vos rideaux mystérieux, beaux ifs ; afin que mes soupirs ne troublent pas les amours des fleurs.
Les roses toutes parfumées s'ouvrent en frémissant à l'approche de la nuit, et les liserons frileux s'enroulent dans leurs pétales pour attendre la fraîcheur du matin qui déposera sa blanche rosée au fond de leur corolle blanche.
Douce nuit, tu chantes pour m'endormir.
Mais le sommeil s'en est allé avec le bien‑aimé.
Tu chantais aussi quand il était là,
Et silencieux nous t'écoutions.
Nos mains s'enlaçaient : nos fronts se touchaient et tu passais sur nos visages avec des caresses qui faisaient frémir nos âmes et remplissaient nos cœurs de tendresse.
Nous t'aimions, belle nuit,
Avec tes brises parfumées,
Avec tes arbres balancés,
Avec tes feuilles frissonnantes,
Avec le mystérieux chagrin de tes sources,
Et le chant de tes crapauds qui soufflent dans des flûtes de perles…
Ce soir, mon bien‑aimé est parti.
Dans l'ombre, mes yeux cherchent ses yeux,
Mes doigts s'ouvrent pour caresser son front et la douceur de son cou.
Mon visage se tend pour aspirer son souffle,
Et le doux lien de ses bras manque à ma ceinture.
Douce nuit si bonne à ceux qui souffrent mets un pan de ton voile sur mes yeux afin que je ne voie plus le sentier par où s'en est allé mon bien‑aimé.
Juillet 1901.
Nouveau Logis
L'ancien était mon bien ; j'en connaissais les plus petits recoins ; pas un bruit qui ne me fût familier. Je savais à quel moment mes meubles craquaient et les ombres qui couraient le soir sur mes murs étaient mes amies. Là tout était naturel, ici tout est suspect.
Le vent ricane près de la croisée et secoue la porte comme un voleur. L'ombre de l'étagère semble un mystérieux dragon prêt à se jeter sur moi. La flamme de la bougie, attirée par quelque chose que je ne vois pas, penche toujours du même côté. Le robinet de la cuisine gronde sans cesse comme une personne grincheuse. Mon lit mal arrimé crie à tout instant, et quand enfin je commence à sommeiller, une porte de placard s'ouvre brusquement.
Octobre 1901.
Petite Abeille.
Ah ! te voilà enfin posée sur le montant de ma fenêtre. Depuis un long moment tu étais là, dansant dans le soleil levant, le soleil d'automne encore tout frais de la fraîcheur de la nuit.
D'où viens‑tu, petite abeille jaune et noire ?
Quel chemin t'a conduite par la grande ville jusqu'à mon sixième étage, et quelle gaîté ou quel désespoir t'a fait danser si longtemps dans l'encadrement de ma fenêtre ouverte ?
Parfois tu t'élançais si fort qu'on eût dit que tu voulais atteindre le ciel, puis ta danse devenait triste et ton vol retombait.
Dis‑moi, petite abeille, viens‑tu d'un bal de nuit, ou reviens‑tu de guerre ?
Quand tu t'es posée sur le montant de ma fenêtre, tout ton petit corps tremblait de fatigue. Tes pattes se repliaient sans forces, tes ailes frissonnaient et ta tête ronde remuait et se balançait comme la tête d'une vieille femme dont le cou est devenu faible.
Maintenant tu dors, petite abeille.
Tes fines pattes sont agrippées au bois, mais ton corps est si lourd qu'il penche de côté et tu fais penser à un pauvre homme sans gîte, qui a erré toute la nuit, et qui s'est endormi au matin sur un banc.
Tout à l'heure tu t'envoleras, tu secoueras tes fines ailes qui ressemblent en ce moment à des parcelles d'écaille séchées.
Tu redescendras vers la terre, où tu trouveras encore des fleurs et des ruisseaux.
Mais maintenant, dors dans le rayon du soleil levant, dors tranquille sur la boiserie de ma fenêtre ouverte, car j'ignore d'où tu viens, petite abeille. Mais que tu viennes d'un bal de nuit ou que tu reviennes de guerre, dors jusqu'à midi, sous le doux soleil d'octobre.
Octobre 1902[1]. »
[1] La Phalange, 20 mars 1911, p. 206‑209



«COQUILLES

Écrire un livre, n'est pas tout. Il faut encore, comme disent les éditeurs, le fabriquer. C'est alors que commence le tourment de l'auteur.

D'un manuscrit qui, lourd et délicieux compagnon de vos nuits, témoin discret, complice assidu de vos fatigues et de vos ratures, vous était devenu un ami et un confident, on vous apporte un beau matin la copie dactylographiée. Ce n'est plus votre enfant, avec ses taches de rousseur et ses cheveux mal peignés, mais quelque chose de net, de sec et de froid, qui vous est totalement étranger et même hostile.

Une terreur vous prend. Vous songez aux bévues commises par les écrivains les plus illustres, aux pièges (en voici du galimatias) que vous tend la langue à chaque détour de la phrase. C'est Saint‑Simon écrivant : « Force gens de robe et de Paris étaient allés à la suite… » (Ces raccourcis, d'ailleurs, me plaisent.) C'est Voltaire, dans La Princesse de Babylone[1] : « Une multitude de gens à pied suivaient en cheveux gras et en silence ». C'est Verlaine, dans Vœu, des Poèmes saturniens, vantant pour commencer, d'une aimée dont il prétend se souvenir :

L'or des cheveux, l'azur des yeux, la fleur des chairs,

Mais qui devient, à la fin du sonnet :

Douce, pensive et brune, et jamais étonnée.

Vous avez beau dire, avec Montaigne, ils (les lecteurs) concluront à la profondeur de mon sens par l'obscurité. Vous préférez cependant vous montrer en pleine lumière, tel que vous êtes, et c'est aussi pour ne pas donner aux pédants l'occasion de rééditer pour vous, par lettre anonyme, et souvent dans un style moins choisi, la fameuse épigramme de Maynard :

Si ton esprit veut cacher

Les belles choses qu'il pense,

Dis‑moi, qui peut t'empêcher

De te servir du silence ?

Bref, vous êtes lu et relu. Vous avez dépouillé, clarifié, ébarbé, rogné, poli votre texte. Mais ce n'est pas fini. Et même, ça commence. On va vous livrer à l'imprimeur.

Un éditeur digne de ce nom fait lire les épreuves, avant de les envoyer à l'auteur, dont après tout ce n'est pas le métier, par le correcteur de l'imprimerie, d'abord, et les fait lire par son correcteur particulier, ensuite, quand il ne les revoit pas lui‑même. Mais le correcteur, pour cause de déformation professionnelle, ne regarde qu'à la typographie, tandis que vous ne regardez qu'au sens. Le correcteur sait toujours, par exemple, que Clemenceau ne prend pas d'accent aigu sur l'e, mais il vous laissera passer, sans sourciller, l'anachronisme le plus honteux, la catachrèse la plus vicieuse et le pataquès le plus granuleux.

Parfois aussi, et c'est là le plus dangereux, le correcteur se mêle de vous corriger. Ce fut ce qui arriva à La Fontaine qui avait écrit : que la sage Minerve sortit tout armée de la cuisse de Jupiter. Le typographe flaira l'erreur, et fit sortir la déesse de la cuisine. Il y a aussi la pêche au cachalot devenue la pêche au chocolat, Albéric II pour Albéric Second, la pommade contre la chute des chevaux et autres gentillesses…

Je n'ai jamais donné le bon à tirer d'un de mes livres sans trembler. Mais je n'en ai pas un sur deux qui soit exempt de scories. Il arrive que l'on m'apporte quelque plaquette à signer. Croyez‑vous que cela me fasse toujours plaisir ? Je n'en profite pas pour évoquer les beaux jours de ma jeunesse. Je me saisis rageusement d'une plume et je commence par corriger pages 6, 8 ou 53, j'y vais naturellement « les yeux fermés », les insupportables coquilles dont je devrais avoir la sagesse de me dire que je suis seul, sans doute, ou à peu près seul à les connaître, pour en souffrir naïvement.

Je profite donc de l'occasion pour rétablir, dans un de mes derniers livres, Refuges, une phrase dont le corrigé n'avait pas été reporté par moi sur les dernières épreuves et qui m'empêche de dormir. Il faut lire, à la page 53, ligne 23 (si vous lisez…) : « Les formes d'une nuit qu'ils pourraient se flatter d'avoir percée à jour, » (etc.).

Mais ne croyez‑vous pas que la matière de l'imprimerie fait des blagues et qu'il y a, comme dans Samuel Butler, une révolte des machines ? Moi, je pressens des meetings : les caractères qui ne sont pas « de bonne composition » sortent de leurs composteurs, se groupent par affinités et commencent à parloter : « Et toi ? On t'a corrigé ? Et tu as cédé ? grand lâche ! Moi, je saute ! » Et il y a aussi les loustics‑fantômes qui changent les marbres de place, comme les étudiants farceurs du temps de Guy de la Farandole changeaient de porte les chaussures dans les hôtels.

Mais il y a peut‑être aussi une « reine » des caractères, comme il y a une reine des abeilles, des fourmis ou des termites… »

[Fargue (Léon‑Paul), Lanterne magique, Robert Laffont, 1943, p. 9‑15].

[1] in Romans et Contes.



Collection : 1920
Auteur(s) : Fabre, Émile
Archives Marguerite Audoux

Né à Metz le 24 mars 1869 et mort le 25 septembre 1955, Émile fabre, fils d'un régisseur de théâtre, monte à Paris pour devenir, en tant qu'auteur (révélé par Antoine), l'un des principaux représentants du courant réaliste. Il administre la Comédie française de 1913 à 1936 et, en 1916, fonde le fameux Théâtre aux armées, dont la première représentation, le 9 février 1916, a lieu dans une grange de la région de Beauvais avec Béatrix Dussane, Henry Mayer et Julia bartet (dont on avait parlé en février 1911, puisqu'elle jouait à la Comédie française dans Après moi d'Henri Bernstein, la pièce qui suscita des manifestations de l'Action française et vingt‑sept arrestations avant d'être retirée de l'affiche). On notera deux galas de soutien pour ce Théâtre aux armées : le premier le 27 décembre 1916 à l'Opéra comique (Saint‑Saëns y dirige sa Marche héroïque et Gabriel Signoret et Antoine se produisent dans un acte écrit par Tristan Bernard) ; le second en janvier 1917 – on y joue Pour le front, et Réjane interprète La Victoire en chantant. Voir Mémoires du XXe siècle, Bordas, tome deuxième (1910‑1919), 1991, p. 219 (sur cette même page, une gravure montre des actrices en costume donnant des fleurs aux soldats).

Collection : 1928
Auteur(s) : Direction littéraire du Petit Parisien
Archives Marguerite Audoux
Parution d'un conte

Collection : 1926
Auteur(s) : Descaves, Lucien
Archives Marguerite Audoux



Fils d'un graveur, Lucien Descaves (1961-949) passe une enfance modeste dans un quartier pauvre de Montrouge. En 1882, il publie son premier roman, Le Calvaire d'Héloïse Pajadou, dans lequel il s'affirme déjà comme un observateur amer de la société. Sa satire du milieu militaire, notamment avec Sous‑offs (1889), lui attire poursuites judiciaires (pour outrage aux bonnes mœurs et injures à l'armée) et acquittements. La position qu'il défend contre Zola dans le Manifeste des Cinq (Le Figaro du 18 août 1887) lui ferme les portes de la Société des Gens de Lettres. Le monde officiel des lettres, cependant, lui accorde un siège, en avril 1900, à la « Société littéraire des Goncourt », dont les statuts sont publiés au Journal officiel le 26 janvier 1902, le premier prix étant remis le 21 décembre 1903 au restaurant Champeaux. Là est bien la grande affaire, puisque, en novembre 1910, Marguerite Audoux est « goncourable », et Descaves toujours dans le jury… Si la romancière conçoit des craintes par rapport à ses concurrents, ses amis, eux, se méfient au plus haut point de Descaves (qui deviendra président de l'Académie Goncourt en 1944). Le 11 novembre 1910, Fargue écrit à Larbaud :
« Ah ! le bon accueil fait par Descaves à Marguerite ne m'inspire qu'une médiocre confiance. Je me rappelle les bonnes paroles et les promesses prodiguées à Philippe. Et j'ai bien peur que ce vaguemestre de L'A[cadémie] G[oncourt] ne lui ouvre les bras que pour l'étouffer. Timeo Danaos. »
[Léon‑Paul Fargue – Valery Larbaud, Correspondance (1910‑1946), texte établi, présenté et annoté par Th. Alajouanine, Gallimard, 1971, p. 35].

Descaves n'est donc pas en odeur de sainteté parmi les amis écrivains de Marguerite Audoux. Philippe lui‑même, à l'instigation d'Eugène Montfort, a manifesté une réaction écrite qui a fait du bruit dans la république des lettres. Si Léautaud s'en fait l'écho dans son Journal, citons Francis Jourdain, l'un des membres du groupe de Carnetin, qui relate les suites du malencontreux papier cosigné par Philippe et Montfort :
« Ce mauvais article eut pour conséquence une missive acerbe de Descaves, suivie de deux ou trois autres, dont je veux espérer que leur hargneux auteur eut bien vite honte de les avoir écrites. Je ne sais quelle obscure rancune lui faisant perdre toute mesure et tout sentiment des réalités, Descaves n'allait‑il pas jusqu'à accuser Philippe – à la fois bien trop timide et bien trop orgueilleux pour avoir jamais rien sollicité – d'avoir, vil arriviste, usé le paillasson et tiré la sonnette des Chers Maîtres ! Indigné d'une aussi scandaleuse injustice, Gide conserva ces lettres que Descaves, assurait‑il, n'emporterait pas en paradis – (Une perquisition en Enfer permettrait peut‑être la saisie de ce document). »
(Jourdain, Francis, Sans remords ni rancune, Corrêa, 1953, p. 192)


Collection : 1926
Auteur(s) : Descaves, Lucien
Archives Marguerite Audoux
Invitation à passer le voir

Collection : 1920
Auteur(s) : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Cette lettre de Léon Denis (sur lequel on ne possède aucun renseignement autre que ce qui transparaît dans sa correspondance), ainsi que les deux suivantes (276 et 277) s'inscrivent dans le courrier des lecteurs.


Collection : 1920
Auteur(s) : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Annnonce d'une réponse

Collection : 1920
Auteur(s) : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Arguments en faveur de sa future œuvre - Propos badins et amicaux, notamment sur l'argent

Collection : 1910
Auteur(s) : Delaw, George
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la littérature

Collection : 1910
Auteur(s) : Davilly, Élisabeth
Archives Marguerite Audoux
Critique acerbe de Marie-Claire

Collection : 1935
Auteur(s) : d'Aubuisson, Roger
Roger MA 1.jpeg
Paul est l'aîné de Roger, et Maurice son cadet.
Francis Jourdain est le peintre, décorateur et écrivain du Groupe de Carnetin, l'un des plus fidèles amis de la romancière.

Collection : 1935
Auteur(s) : d'Aubuisson, Maurice
Maurice MA 1.jpeg
Paul d'Aubuisson est le frère aîné de Roger et Maurice.
Mme Giraldon n'a pu être identifiée.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2