Lettre de Marguerite Audoux à Valery Larbaud
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
10, Rue Léopold Robert[1]
[Début mars 1911[2]]
Mon cher Valery,
Marguerite Audoux
[1] En dépit de cet en‑tête, la lettre provient de la Côte d'Azur, puisque la romancière fait allusion à une excursion à Nice.
[2] Marguerite Audoux évoque l'envoi à Royère de « Mon Bien‑aimé » , l'un des poèmes en prose qui paraîtront le 20 mars dans La Phalange. (Voir la lettre 111).
[3] Signe Garling-Palmér est une traductrice scandinave. Deux traductions de sa main sont répertoriées à la Bibliothèque nationale de France : Le Coup de feu, pièce en trois actes de Ernst Didring (1868‑1931) et Le Pèlerinage de Sainte Brigitte, de Verner von Heidenstam (1859‑1940). Sign Garling‑Palmér fut conservatrice de la Bibliothèque nordique (un département de la Bibliothèque Sainte‑Geneviève) de 1916 à 1926.
[4] Allusion codée qui nous échappe. Un ouvrage ou un auteur qu'elle a traduit ?
[5] Un qu' se trouve entre demande et un.
[6] Le pronom se trouve au‑dessus d'un vous.
[7] Le z de Tachez est barré.
[8] Le pronom suit un vous.
[9] Le mot est précédé d'un correspondance barré.
[10] Apparemment de la correspondance administrative concernant son roman, voire des réponses à des lecteurs
[11] Cette traduction verra le jour. Un volume se trouve au Musée Marguerite Audoux.
[12] Nous n'avons pu retrouver cette lettre.
[13] La suite de cette histoire nous montre la clairvoyance de la romancière.
[14] La Revue bleue est probablement celle du 24 décembre 1910 qui contient un article de Lucien Maury : « Les Lettres : œuvres et idées / Les jeunes et les prix littéraires. / Gaston Roupnel. Nono (Plon). / Louis Pergaud. De Goupil à Margot. Histoires de bêtes. (Mercure). / Marguerite Audoux. Marie‑Claire. Roman. Préface d'Octave Mirbeau (Fasquelle). », p. 822‑825 (p. 825 pour Marguerite Audoux). Quant aux Marges, il s'agit de la revue d'Eugène Montfort.
[15] Voir les lettres 36 et 63
[16] Pour mémoire, l'un des trois poèmes en prose (avec « Petite Abeille » et « Nouveau Logis » ), écrits en 1901 et 1902 et parus dans La Phalange de Royère du 20 mars 1911. Voir la lettre 111 pour la reproduction de ces trois poèmes
[17] Femme de ménage trouvée par Marguerite Audoux (la fille de madame Chasles, dont l'orthographe a ici été simplifiée, habite le même immeuble que la romancière)
[18] Les poèmes de Fargue (voir la note 8 de la lettre 71)