Remercie l'Union comptable pour son offre, « mais fuit trop la publicité de son nom pour pouvoir accepter ».

Marie Moret prie la bibliothèque municipale de Lyon d'accepter le don de brochures et des numéros du Devoir de février 1896 à juin 1897 ; elle souhaite adresser régulièrement le Devoir à la bibliothèque. Elle regrette de ne pouvoir ajouter le numéro de janvier 1896, où se trouve la première partie d'une étude sur la représentation du travail. Elle justifie ainsi cette proposition : « L'œuvre du Familistère de Guise se rattachant étroitement à l'évolution sociale générale, les « Documents pour une biographie complète du fondateur J. B. A. Godin » comportent des enseignements pratiques dont la propagation devient plus nécessaire chaque jour. »

Réponse à la lettre de la bibliothèque municipale de Mâcon du 5 octobre 1897 demandant un exemplaire de l'Étude sociale n° 1 : la brochure est épuisée ; prend note de la demande de numéros du Devoir, qu'elle pourra envoyer dans 6 ou 7 mois.

Réponse à la lettre de la bibliothèque municipale de Mâcon du 13 août 1897 demandant un exemplaire des cinq numéros du Devoir parus avant juin 1897. Marie Moret promet à son correspondant de réunir ces numéros et envoie des brochures pour la bibliothèque.

Réponse à la lettre de la bibliothèque publique d'Aix-en-Provence du 18 septembre 1897. Envoie trois brochures à la bibliothèque, Féminisme, Sky scratchers et Robert Owen d'Auguste Fabre, ainsi que les Études sociales n° 2, 4, 6 à 10. Transmet les remerciements d'Émilie Dallet pour la proposition du bibliothécaire de donner ses deux petits traités d'enseignement de la lecture à la Bibliothèque d'instruction populaire d'Aix-en-Provence.

Accuse réception de l'état de son compte dans la Société du Familistère de Guise Dequenne et Cie au 30 juin 1897, dont elle reconnait l'exactitude : compte créditeur de 15 353,13 F.

Commande d'articles de soin et d'hygiène : miel surfin du Gâtinais en vente chez Potin au 99, boulevard Sébastopol à Paris ; élixir ozoné pour soins de la bouche en vente à la Société de l'ozonéine au 28, rue Saint-Lazare à Paris ; vaseline boriquée Rosat en vente à la pharmacie des Grands-boulevards au 178, rue Montmartre à Paris ; vinaigre de Pennès ; sirop de Raiford iodé de Grimault ; ammoniaque.

Demande à Colomb de venir chez elle se faire payer de la livraison de charbon faite le 10 avril 1897 avant son départ de Nîmes.

Demande une livraison de 1 220 kg de « chatilles » de charbon à livrer dans la matinée au 14, rue Bourdaloue à Nîmes. Demande à Colomb de se faire payer avant le départ de Nîmes de Marie Moret.

Marie Moret envoie à Louise Piret un manteau pour servir de modèle à la jaquette commandée. Marie Moret prévient Louise Piret qu'elle doit strictement s'en tenir aux mensurations du manteau, sinon elle s'adressera ailleurs à moindre prix. La lettre est suivi d'une note pour l'exécution de la jaquette.

Indique à Louise Piret qu'il suffira qu'elle lui renvoie le manteau en même temps que la jaquette faite d'après ses mensurations, vers le 20 avril 1897.

Accuse réception de l'envoi de Louise Piret ; Marie Moret demande la facture correspondante et quelques boutons de rechange pour la jaquette neuve.

Envoi d'un chèque de 232 F pour solde de la facture du 26 avril 1897 ; en attente des boutons envoyés par Louise Piret.

Marie Moret a besoin d'une jaquette en lainage noir souple, solide et résistante, notamment pour les voyages, sur le modèle d'un manteau exécuté il y a trois ans par madame Coussinet : demande le prix et un échantillon de tissu.

Réponse à la lettre de madame veuve Laporte à propos du stock de feuilles de papier pour l'impression du Devoir : Marie Moret calcule qu'il ne devrait plus rester de papier en magasin après l'impression du numéro d'août 1897 du Devoir, de la brochure de Fabre sur le féminisme et du tiré à part des « Documents biographiques » ; question à réexaminer après impression. Sur la cession de l'imprimerie de veuve Laporte : Marie Moret indique qu'elle a étudié le transfert du Devoir à une autre imprimerie depuis la mort de Jules Laporte ; le départ de son fils aîné et la question du service militaire de son second fils, enfin la marche incertaine de l'imprimerie ont entretenu le désir d'un transfert, décidé dès que le fils aîné de madame Laporte lui a annoncé la cession de l'imprimerie. Marie Moret souhaite à madame Laporte de régler avantageusement ses affaires et de conclure leur collaboration en bon accord.

Réponse au télégramme de madame Laporte du 1er juillet 1897 : les manuscrits envoyés ne sont pas arrivés et se sont égarés en route. Envoi d'épreuves corrigées pour le numéro de juillet 1897 du Devoir. Sur la publication dans Le Devoir de la suite de Sans famille. Rappelle que l'imprimerie doit envoyer un exemplaire du journal à Pascaly et à Moret dès que le numéro sort de presse. Accuse réception de la 5e feuille des « Documents biographiques ». Sur l'avenir de l'imprimerie Veuve Laporte : « monsieur Émile » [fils aîné de madame Laporte] a informé Marie Moret de l'intention de madame Laporte de céder l'imprimerie et que lui-même avait l'intention de chercher un emploi dans une autre imprimerie, peut-être chez Dubois et Cie à Saint-Quentin (Aisne) ; Marie Moret indique qu'elle témoignera favorablement des qualités d'Émile Laporte si on lui demandait des renseignements sur son compte.

Envoie à veuve Laporte les épreuves des tirés à part des « Documents biographiques » et de « Féminisme ». Annonce l'envoi le lendemain des manuscrits pour achever la composition du Devoir d'août 1897. Elle joint à sa lettre une lettre d'Auguste Fabre demandant de livrer 100 exemplaires de sa brochure Féminisme avec le Devoir du mois d'août 1897, et les 900 autres à monsieur Tholozan. Marie Moret demande à veuve Laporte d'ajouter à l'envoi à Tholozan : 100 exemplaires du tiré à part des « Documents biographiques » et les 2 000 exemplaires du Livret de transition d'Émilie Dallet ; Tholozan réglera pour le compte de Marie Moret la facture des « Documents biographiques » d'un montant estimé de 36 F. Marie Moret précise qu'elle réglera la facture d'impression du numéro d'août 1893 Devoir à réception par Pascaly et par elle des exemplaires spécimens.

Envoie à veuve Laporte les manuscrits des articles manquants pour l'achèvement du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir. Demande à veuve Laporte de lui renvoyer avec les épreuves de Sans famille tout ce qui lui reste des pages du roman d'Hector Malot.

Renvoie à madame veuve Laporte les épreuves du numéro de juin 1897 du journal Le Devoir ; remercie veuve Laporte d'avoir fait les corrections demandées par télégramme ; demande l'envoi postal à elle et à Jules Pascaly d'un exemplaire du numéro dès sa sortie de presse.

Réponse à la lettre de madame veuve Laporte du 6 juillet 1897. Envoie un chèque de 197 F pour solde d'une facture du 6 juillet 1897. Demande de préparer une épreuve pour la brochure Le Féminisme. Accuse réception des exemplaires du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir. Fait référence aux réflexions de « monsieur Émile » [Émile Laporte] dans la lettre du 6 juillet et évoque le devenir de l'imprimerie veuve Laporte.

Confirme son envoi en recommandé du 8 juillet 1897 d'un chèque de 197 F. Envoi par recommandé des « pages Godin » à composer pour le numéro d'août 1897 du Devoir ; demande aussi de composer le dernier article d'Auguste Fabre sur le féminisme ; les épreuves seront corrigées par Fabre et Moret à Guise : demande l'envoi en recommandé pour éviter la perte des manuscrits. En attente d'une nouvelle feuille d'épreuve du tiré à part « Le Féminisme ».

En attente d'une nouvelle feuille d'épreuve du tiré à part de « Le Féminisme ». Selon la lettre de veuve Laporte du 6 juillet 1897, la cession de l'imprimerie doit avoir lieu dans un mois. Demande à être informée spécialement par madame Laporte sur la situation de l'imprimerie afin de ne pas être prise au dépourvu pour la fabrication du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir.

Préparation du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir : demande les épreuves des « Documents biographiques » et de la brochure Le Féminisme. Dans le post-scriptum, Marie Moret accuse réception de l'exemplaire du numéro de juin 1897 du Devoir et de la facture ; elle joint à sa lettre un chèque de 197 F.

Sur le transfert des brochures d'Émilie Dallet et de Fabre à Théophile Tholozan. Sur le stock de papier pour l'impression du Devoir conservé par l'imprimerie avant de cesser son activité : Marie Moret évalue à 46,20 F le stock, après l'impression du numéro d'août 1897 du Devoir.

Préparation du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir : renvoi d'épreuves et en attente d'autres épreuves ; envoi du manuscrit des « Documents biographiques » ; Auguste Fabre remettra son manuscrit sur « Le Féminisme » directement à l'imprimerie.

Envoi d'épreuves corrigées du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir. Demande la facture des envois en recommandé du mois d'août 1897 et l'envoi à Pascaly et à elle-même du numéro sorti de presse. Rappelle la demande d'Auguste Fabre de joindre au ballot des exemplaires du Devoir 100 exemplaires de la brochure Le Féminisme. Demande l'envoi en grande vitesse du ballot en raison de l'achèvement tardif du numéro d'août du journal.

Renvoie l'épreuve du tiré à part de « Le Féminisme » avec le bon à tirer. Transmet ses meilleurs sentiments et ceux d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et d'Auguste Fabre.

Préparation du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir : sur les épreuves du numéro ; en attente des épreuves de l'article de Fabre sur « Le Féminisme ».

Accuse réception de la lettre de madame Laporte du 16 août 1897 et de l'exemplaire du mois d'août 1897 du Devoir. Informe madame Laporte qu'elle lui adressera un chèque lorsqu'elle aura reçu le ballot des exemplaires du numéro d'août 1897 du journal.

Accuse réception des épreuves du tiré à part des « Documents biographiques » et du tiré à part du « Féminisme ». Fabre demande de ne plus imprimer le tiré à part de « Féminisme » sans avoir envoyé l'épreuve à Marie Moret. Demande les épreuves des articles « Documents biographiques » et « Féminisme » du Devoir de juillet 1897. Matières envoyées par Pascaly : lui adresser l'épreuve de la « Chronique parlementaire » ; adresser à Marie Moret la totalité des épreuves et des manuscrits. Envoi du sommaire du numéro de juillet 1897 ; ne manque plus à ce numéro que le « Mouvement des assurances » et « L'État-civil » ; absence d'article sur la paix.

Sur la publication à cent exemplaires d'un tiré à part des « Documents biographiques » de Godin parus dans Le Devoir : Marie Moret précise les termes financiers d'un accord avec l'imprimerie Veuve Laporte, en prenant pour références les brochures d'Auguste Fabre qu'elle a imprimées.

Adresse un chèque de 199,05 F à madame Laporte. Marie Moret heureuse que les choses soient réglées entre madame Laporte et Théophile Tholozan, et que la question du papier du Devoir restant en magasin chez madame Laporte ait été résolue avec monsieur Chastanier.

Préparation du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir : en attente des épreuves d'articles, dont celui sur le féminisme, qu'Auguste Fabre doit pouvoir vérifier pendant son séjour à Guise, et qui sont nécessaires pour estimer l'espace disponible dans le numéro.

Envoie les articles « Mouvement des assurances » et « État-civil » pour Le Devoir de juillet 1897 duquel elle attend les épreuves.

Retourne les épreuves des 8 pages du tiré à part des « Documents biographiques » à imprimer en 100 exemplaires. Envoie le « Mouvement des assurances » et l'« État civil » pour le numéro du Devoir en composition.

Réception des épreuves attendues, qui occuperont 29 pages dans le numéro d'août 1897 du Devoir ; annonce l'envoi de l'article suivant sur la coopération pour qu'il soit composé. Demande l'achèvement de la brochure sur le féminisme : Auguste Fabre va prolonger son séjour au Familistère pour mettre au point la mise en page et la couverture. Sur la cession de l'imprimerie Veuve Laporte : question administrative relative à l'article VII-3 de la loi sur la presse ; annonce qu'elle va cesser ses relations avec l'imprimerie Veuve Laporte après l'achèvement du numéro d'août 1897 et qu'elle souhaite achever le tiré à part des « Documents biographiques ».

Accuse réception des épreuves des « Documents biographiques » du numéro de juillet 1897 du Devoir et les retourne après correction. Sollicite une deuxième épreuve de ces pages. En attente des épreuves de l'article « Féminisme » et de la 5e feuille des « Documents biographiques ».

Préparation du numéro de juin 1897 du journal Le Devoir : confirme son télégramme du 26 mai 1897 indiquant de reporter au mois suivant l'article sur l'Australie ; envoie les épreuves corrigées des pages des « Documents biographiques » et d'autres articles ; enverra demain les épreuves de la fin de la « Chronique parlementaire » et des « Faits politiques » ; recommande d'apporter le plus grand soin aux corrections.

Envoie à madame veuve Laporte les épreuves corrigées de l'article « Le Féminisme » du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir. Adresse à Jules Pascaly le manuscrit et l'épreuve de l'article « Chronique parlementaire », en raison d'une lacune dans le texte.

Marie Moret a adressé hier à l'imprimerie les compléments des épreuves du numéro de juin 1897 du Devoir et a envoyé ce matin un télégramme pour effectuer une correction dans les « Documents biographiques ».

Envoie à madame veuve Laporte les épreuves corrigées des articles « Lutte contre l'alcoolisme », « Faits » et « Mouvement féministe » du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir. Demande de l'attention à la pagination du numéro du Devoir si les modifications apportées par Jules Pascaly à son article « Chronique parlementaire » venait à le rallonger d'une page. En attente de l'épreuve de la 5e feuille des « Documents biographiques ».

Envoi des épreuves corrigées des deux premières feuilles du numéro d'août 1897 du Devoir : « Documents biographiques », « Féminisme », partie de « La coopération ». Demande de tirer les feuilles puis de mettre en page le tiré à part de « Féminisme » et d'envoyer les épreuves à Guise à Auguste Fabre ; envoi de la table des matières du tiré à part de « Féminisme » et envoi prochain par Fabre du manuscrit de la couverture. Demande de s'occuper également du tiré à part des « Documents biographiques », avant de reprendre le travail sur le numéro d'août 1897 du Devoir.

Réponse à la lettre de mademoiselle Gurney du 10 mars 1897 : envoi du procès-verbal de l'assemblée générale de la Société du Familistère de Guise du 4 octobre 1896. Marie Moret demande à sa correspondante si elle est la même personne que mademoiselle Gurney, abonnée au Devoir au 8, Merton Street à Oxford.

Remercie Marie Dossogne de ses vœux pour la fête de Marie. Souvenirs ravivés par la lettre de Marie Dossogne. Beau temps à Guise. Émilie Dallet, occupée par les examens et la fête de l'Enfance, ne peut pour le moment répondre à la lettre que Marie Dossogne lui a écrite à la suite de l'envoi de vêtements par Émilie.

Annonce l'envoi d'un chèque de 104,75 F à Théophile Tholozan.

Annonce l'envoi d'un chèque de 152,25 F à mesdames Gaujoux de Nîmes. Dans le post-scriptum, annonce l'envoi d'un deuxième chèque de 197 F à madame veuve Laporte, imprimeur.

Annonce l'envoi d'un chèque de 197 F à madame veuve Laporte. Demande l'envoi d'un carnet de 24 chèques timbrés.

Annonce l'envoi d'un chèque de 14 F à monsieur Scipion Coulon. Rappelle sa demande d'un carnet de chèques.

Accuse réception du carnet de chèques [commandé le 10 juin 1897].

Annonce l'envoi d'un chèque de 326,65 F à Auguste Fabre à Nîmes.