Marie Moret envoie à Victor Poupin un mandat postal de 50 F pour l'érection du monument à Victor Considerant.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 20 juin 1901 et pour les cartes postales qui accusent réception du numéro mensuel du Devoir. Elle annonce qu'elle envoie à la bibliothèque du Trinity College deux colis postaux contenant les années 1896 à 1899 du Devoir pour pouvoir suivre l'histoire de la tentative de représentation libre du travail par Godin et l'histoire du mouvement fouriériste aux États-Unis, et plusieurs ouvrages.

Marie Moret envoie au British Museum les numéros du Devoir parus depuis janvier 1900 ainsi que deux brochures, Le Familistère illustré et Robert Owen, qui met en relation l'œuvre de Robert Owen et celle de Godin. Elle demande si le British Museum souhaite constituer et conserver une collection du journal.

Marie Moret remercie son correspondant pour ses deux lettres du 21 juin 1901. Elle annonce qu'elle envoie au British Museum deux colis postaux contenant les années 1896 à 1899 du Devoir pour pouvoir suivre l'histoire de la tentative de représentation libre du travail par Godin et l'histoire du mouvement fouriériste aux États-Unis, et plusieurs ouvrages.

Marie Moret envoie aux Grands magasins du Louvre un chèque de 75,90 F et commande divers articles : serviettes éponge, pantoufles pour homme, gants pour homme, camisoles, mouchoirs pour dames.

Marie Moret envoie un chèque de 72,45 F et commande trois mètres de velours de soie noire, de satin de soie noire et de moire de soie noire. Elle demande de veiller au soin de l'emballage dans la mesure où par deux fois, des tissus envoyés par les Grands magasins du Louvre lui sont arrivés froissés.

Marie Moret répond à la lettre de l'Alliance coopérative internationale à la Société du Familistère en date du 9 mai 1901 sollicitant l'envoi d'ouvrages pour sa bibliothèque. Marie Moret informe ses correspondants que Louis-Victor Colin leur a adressé plusieurs ouvrages et un numéro du journal L'Exposition de 1900, qu'elle leur en envoie d'autres, et qu'elle complétera cet envoi à son retour au Familistère, avec notamment les numéros du Devoir depuis 1898, quand a été publié le récit des aventures fouriéristes aux États-Unis. Elle demande si l'Alliance ne possède pas déjà ces numéros du Devoir qui étaient adressés au 49, Bedford Street Strand à Londres avant que le service gratuit du journal cesse, faute d'obtenir une réponse à une lettre expédiée à cette adresse.

Marie Moret accuse réception de la lettre du 17 mai 1901 de l'Alliance coopérative internationale et lui adresse par colis des numéros du Devoir et des ouvrages dont la liste est jointe à la lettre, et par la poste les Solutions sociales de Godin. Elle explique qu'elle souhaite compléter par son envoi la collection du Devoir de l'Alliance coopérative internationale ; elle signale que quelques numéros ont des couvertures défraîchies, défaut qui disparaîtra avec la reliure de la collection ; elle précise qu'elle ne dispose plus des numéros du journal pouvant compléter les années 1893 à 1897, et elle indique qu'à la page 264 de l'année 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis », dont Godin a tiré d'utiles leçons.

Marie Moret remercie l'Administration communale de Bruxelles pour sa lettre du 10 juin 1901 et pour l'intérêt qu'elle a porté à son envoi. Elle envoie au bibliothécaire archiviste de la ville l'année 1898 du Devoir, qui comprend, page 264, le début de la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui relate l'essai des fouriéristes belges, suisses et français au Texas en 1854, et concerne l'œuvre de Jean-Baptiste André Godin.

Marie Moret envoie 0,50 F en timbres postaux pour le changement d'adresse d'expédition des numéros de la Revue générale des sciences, désormais au Familistère de Guise.

Marie Moret répond à la lettre de son correspondant du 20 novembre 1900 qui lui demandait de compléter sa collection du Devoir avec les numéros antérieurs à janvier 1897. Elle envoie à l'Académie des sciences de Prusse les années du Devoir de 1893 à 1896 et deux brochures [non nommées], et signale qu'à la page 262 de l'année 1893 se trouve une conférence de Godin sur son expérience de représentation du travail par le suffrage universel.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 2 novembre 1900. Elle lui envoie l'année 1898 du Devoir et deux brochures [non nommées]. Elle lui signale qu'à la page 264 de l'année 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis ».

Marie Moret envoie à la Société royale des sciences de Göttingen une série d'ouvrages.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 27 octobre 1900. Elle lui adresse l'année 1898 du journal Le Devoir où commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui se termine en 1899, année que possède déjà la Société royale des sciences. Elle lui annonce qu'elle lui enverra quelques ouvrages à son retour au Familistère de Guise, et lui confirme que « Le Devoir » lui est servi régulièrement.

Marie Moret envoie des brochures au président de La Ruche mancelle.

Marie Moret adresse à son correspondant l'année 1898 du journal Le Devoir. Elle précise qu'avec le numéro de mai 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui fait partie des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin ». Elle lui annonce qu'elle lui enverra quelques ouvrages à son retour au Familistère de Guise, et lui confirme que le « Le Devoir » lui est servi régulièrement.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 5 novembre 1900. Elle lui envoie les années 1893 à 1898 du Devoir et deux brochures [non nommées]. Elle lui signale qu'à la page 262 de l'année 1893 se trouve une conférence de Godin sur l'expérience de représentation du travail par le suffrage, et qu'à la page 264 de l'année 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis ».

Marie Moret envoie à l'Académie royale danoise des sciences une série d'ouvrages.

Marie Moret demande où elle peut se procurer la poire à chiens décrite dans le numéro de mai-juin 1896, page 671, du Bulletin de l'industrie française.

Marie Moret remercie son correspondant pour la notice consacrée à l'œuvre de Godin et au journal Le Devoir parue dans le supplément du Journal de Genève du 30 décembre 1900, et lui envoie deux exemplaires de la brochure Le Familistère illustré, l'un pour lui et l'autre pour l'auteur de la notice.

Marie Moret demande l'envoi d'échantillons de velours de soie noire, de satin de soie noire et de moire de soie noire.

Marie Moret envoie un chèque de 27,50 F aux Grands magasins du Louvre en paiement d'une commande de deux paires d'amazones cyclistes en jersey noir.

Marie Moret demande à son correspondant des renseignements sur un chapeau d'homme et des amazones d'autruche noires.

Marie Moret sollicite l'envoi d'une feuille du catalogue du comptoir de tricots et d'une feuille du catalogue des chaussures où se trouvent les amazones cyclistes en jersey d'été.

Marie Moret envoie un chèque de 26 F aux Grands magasins du Louvre et commande un tub rond en tissu caoutchouté.

Marie Moret demande l'envoi du catalogue des boutons de jais pour garniture de corsage.

Marie Moret envoie un chèque de 16 F aux Grands magasins du Louvre en paiement d'une commande de quatre paires de gants en soie. Elle demande à son correspondant si les Grands magasins du Louvre vendent des amazones cyclistes en jersey noir d'été et quel en serait le prix.

Marie Moret envoie 0,25 F aux Grand magasins du Louvre pour solde d'une facture. Elle demande l'envoi du catalogue des tapis en caoutchouc pour salles de bains.

Marie Moret envoie à la librairie Chaix 1 F en timbres postaux et commande le numéro le plus récent de l'Indicateur des chemins de fer.

Marie Moret envoie à la Librairie Chaix 1 F en timbres postaux et commande le numéro de L'Indicateur des chemins de fer présentant les services d'été des compagnies de chemins de fer du Nord et de Paris, Lyon, Méditerranée.

Marie Moret demande à la librairie de lui envoyer non à Nîmes mais au Familistère le numéro du 29 juillet 1901 de L'Indicateur des chemins de fer, qui présente le service d'été des réseaux de la Compagnie de chemins de fer du Nord et de la Compagnie Paris, Lyon et Méditerranée.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 2 août 1901, envoie un chèque de 16 F et commande un réchaud-bougie Eureka en nickel pur avec bougeoir. Elle recommande de prendre soin de l'emballage.

Marie Moret demande à son correspondant le prix de l'envoi du réchaud-bougie Eureka au prix de 15,50 F. Elle demande si la compagnie, qui s'occupe de cyclisme, peut lui fournir une poire à chiens ou poire à ammoniaque inventée par Crouzet.

Marie Moret répond à la lettre de son correspondant du 25 mai 1901. Elle envoie à la bibliothèque de l'Université de Leipzig une série d'ouvrages.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 21 décembre 1900. Elle lui adresse par colis postal les années 1896, 1897 et 1898 du journal Le Devoir. Elle précise que les numéros de l'année 1896 et celui de janvier 1897 du journal comprennent le récit de la tentative par Godin de la représentation du travail par le suffrage, que certains numéros de 1897 sont défraîchis et qu'avec le numéro de mai 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis, 1840 à 1852 », qui se termine en 1899, année que possède déjà la bibliothèque de l'Université de Leipzig. Elle lui annonce qu'elle lui enverra quelques ouvrages à son retour au Familistère de Guise, et lui confirme que Le Devoir lui est servi régulièrement.

Marie Moret explique à la banque qu'il lui arrive de recevoir des lettres en allemand comme celle qu'elle joint à sa lettre, et lui demande si elle peut lui en faire la traduction.

Marie Moret remercie la banque pour ses lettres des 22 et 27 avril 1901. Elle envoie à la banque le certificat des obligations Fribourg 1887 d'une valeur de 100 000 F et des obligations Soleure 1894 d'une valeur de 125 000 F pour y inscrire la radiation d'obligations Soleure 1898 amorties. Elle lui demande de porter sur ce certificat la description du timbre français dont les obligations Soleure et Fribourg ont été revêtues le 13 décembre 1898.

Marie Moret informe la banque qu'elle quitte Nîmes pour retourner au Familistère de Guise.

Marie Moret informe la banque qu'elle retourne au Familistère de Guise et demande qu'on y adresse les cours de la bourse et la correspondance.

Marie Moret accuse réception de la lettre de la banque du 19 avril 1901 l'informant qu'elle a vendu ses obligations Jura-Simplon et racheté 38 000 F d'obligations 3,5 % des chemins de fer de la Confédération suisse. Elle demande à la banque d'indiquer sur le certificat le détail du timbre français lorsque ses nouvelles obligations en seront revêtues. Elle précise que le certificat doit mentionner son domicile au Familistère de Guise.

Marie Moret interroge la banque sur les droits de succession de ses titres des cantons de Soleure et de Fribourg, si elle venait à décéder.

Marie Moret remercie la banque pour sa lettre du 11 avril 1901. Elle explique à son correspondant qu'elle ferait volontiers ce qu'il demande, mais qu'elle est absorbée par le travail de publication des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin » et qu'elle vit « à peu près en recluse » en partie au Familistère de Guise et en partie à Nîmes. Elle demande à la banque de vendre ses obligations Jura-Simplon et d'acheter en échange 18 obligations de l'emprunt 3,5 % des chemins de fer de la Confédération suisse de 1899. Elle demande d'acheter en plus sur son crédit à la banque 20 obligations du même emprunt, soit en tout 38 titres d'une valeur de 1 000 F qui doivent être revêtus du timbre français de 1 %.

Marie Moret remercie la banque pour sa lettre du 11 mars 1901 et lui retourne un bulletin de décharge. Elle interroge la banque sur le droit de timbre de ses 18 obligations Jura-Simplon 1898.

Marie Moret répond à la proposition de la banque d'échanger ses obligations Jura-Simplon contre des obligations de l'emprunt 3,5 % des chemins de fer de la Confédération suisse. Elle fait référence à un article d'Alfred Neymarck paru dans le numéro du 7 avril 1901 du journal Le Rentier, « Les dépôts de fonds et de titres à l'étranger », qui soulève la question des droits de succession à payer sur ces valeurs. Elle demande à la banque de lui confirmer que ses héritières, Émilie et Marie-Jeanne Dallet, n'auront aucun droit de succession à payer sur ses obligations suisses si elle venait à décéder.

Marie Moret accuse réception d'un certificat de dépôt de valeurs boursières.

Marie Moret informe son correspondant que Louis-Victor Colin lui a transmis sa lettre du 14 décembre 1900, indiquant que seul le numéro d'octobre du journal Le Devoir, qu'il reçoit à titre gratuit, lui est parvenu depuis le début de 1900. Marie Moret lui explique que le journal est envoyé régulièrement et elle fait l'hypothèse que deux établissements homonymes existent à Rome.

Marie Moret commande 200 kg de bûchettes en sacs à livrer en matinée.

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