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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 14 avril 1872
Godin a appris par Grebel que Cresson a défendu sa cause à Rocroi non seulement en bon avocat mais aussi en ami. Il remercie Cresson d'avoir ainsi répondu aux attaques dont il est l'objet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 1er mai 1872
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À la suite de la menace d'un rachat des usines par Esther Lemaire, Godin demande à Cresson de presser la solution d'une licitation en masse des usines. Si la justice tenait compte des accroissements donnés depuis 1863, il pourrait racheter les établissements et poursuivre son œuvre ; dans le cas contraire, il reprendrait ses brevets et les nouveaux modèles qu'il a créés pour fonder ailleurs un nouvel établissement. Godin souligne l'importance d'une licitation rapide qui lui permette de faire les transformations nécessaires dans son usine. Sur l'expertise : Godin voit sa seule planche de salut dans l'évaluation de la plus-value des usines depuis 1863.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 9 mai 1872
Godin informe Cresson qu'il a demandé à Larue de surseoir au procès en contrefaçon contre les Fonderies de Sougland jusqu'au jugement du tribunal de Rocroi, et de lui adresser directement toutes communications touchant à ses intérêts. Godin précise qu'il en a convenu avec Coulon auparavant. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté. Il invite Cresson à chercher à obtenir rapidement la licitation immédiate et le droit des reprises proportionnelles sur le prix de la licitation. Il lui envoie 1 000 F en plus des 2 000 F qu'il lui a remis le lundi précédent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 13 mai 1872
Godin assure Cresson que c'est en entente avec Georges Coulon qu'il veut lui confier davantage ses intérêts. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin interroge Cresson sur les lenteurs de la procédure. Dans le post-scriptum, il le prie de confirmer qu'il a demandé à Larue de faire venir l'affaire de contrefaçon en même temps que le procès contre Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 27 mai [1872]
La note manuscrite résume le texte d'une lettre envoyée le 27 mai 1872 à Guillaume Ernest Cresson lui communiquant une lettre d'Édouard Larue relative à une affaire judiciaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 20 juin 1872
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Cresson que Larue l'a renvoyé vers lui pour obtenir une copie des conclusions d'Esther Lemaire. Il lui demande de lui envoyer à Guise ou bien à Versailles jusqu'à samedi matin. Il lui signale qu'il n'a pas reçu la visite de Lamy. Sur les lenteurs d'une procédure.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 23 octobre 1872
Selon Alphonse Grebel, Cresson sollicite l'avis de Godin sur l'opportunité de rédiger un mémoire dans ses procès en contrefaçon. Godin est d'avis de rédiger une mémoire uniquement pour l'expertise mais de faire imprimer les conclusions pour les faire ressortir aux yeux des juges : « Mais comme j'ai souvent perdu mes procès, je tiens à ce que votre opinion contrôle la mienne. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 20 novembre 1872
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur l'expertise et l'évaluation de la valeur des usines en 1863 et en 1872.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 20 décembre 1872
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise : Godin informe Cresson que la première visite des experts a eu lieu le lundi passé et que la seconde aura lieu le lundi suivant. Il l'avertit qu'il ira discuter avec lui de l'affaire le lendemain matin en retournant à Guise. Il lui envoie la copie de l'appel du jugement par Esther Lemaire à la date du 14 décembre, lui signale que Delpech est son avoué à Amiens et lui demande ce qu'il faut faire à ce propos.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 20 février 1873
Godin soumet à Cresson l'avant-projet d'une demande au procureur de la République.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 25 février 1873
Tisserant a informé Godin qu'il pourrait venir à Paris du samedi au lundi suivants. Godin demande à Cresson de lui confirmer sa disponibilité afin qu'il fasse venir Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 3 mars 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Cresson qu'une machine à vapeur faisant partie de la communauté de biens s'est brisée et qu'un expert nommé par le tribunal de Vervins a estimé à 14 000 F le préjudice. Il demande à Cresson quelles formalités il faudrait accomplir pour donner un caractère définitif à l'expertise à laquelle Esther Lemaire n'a pas assisté.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 10 mars 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que Boucher fait des démarches auprès de la Chambre syndicale de la quincaillerie pour obtenir un certificat attestant qu'il a été le premier à livrer au commerce des boutons de fonte émaillée, qu'il en a parlé à Charles Dietz-Monnin, son collègue à l'Assemblée nationale et président de cette chambre syndicale, qui lui a suggéré de faire à son tour une demande de certificat de manière à ce qu'il ne soit donné suite ni à l'une ni à l'autre. Godin soumet à Cresson le projet de demande de certificat.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 18 mars 1873
Godin annonce à Cresson qu'il est sans nouvelles de Tisserant et qu'il voudrait étudier avec lui et Alphonse Grebel le travail de Tisserant, ainsi que le catalogue explicatif des objets soumis à l'attention des juges et des notes sur la composition des émaux rédigés par Alphonse Grebel. Il lui demande de lui adresser sa réponse au 28, rue des Réservoirs [à Versailles].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 17 avril 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin communique à Cresson une copie de la réponse qu'il a faite au mémoire de Boucher à la demande de Tisserant. Il le prie de faire ses observations à Tisserant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 1er juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin adresse à Cresson une lettre de Tisserant. Il précise qu'il a déjà informé ce dernier que Guignet est à Paris, qu'Aimé Girard se trouve à Vienne et Ferdinand Barbedienne aussi probablement. Il lui demande de répondre aux questions posées par Tisserant et de lui indiquer le nom d'un avoué.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 31 juillet 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise des biens de la communauté : les travaux des experts touchent à leur fin ; Esther Lemaire n'a pas donné signe de vie pendant les visites des experts à l'usine ; il a versé deux fois 1 500 F à ces derniers et Esther Lemaire devrait s'acquitter de la même somme. Il remet 3 000 F à Cresson. Godin s'étonne que Guignet n'ait rien reçu concernant l'expertise et juge que Mercier, l'avoué choisi par Tisserant qui est voisin de Cresson au 33 rue du Sentier, manque de vigilance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 7 août 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Cresson que l'expertise est presque terminée et qu'Esther Lemaire n'a pas donné suite à la deuxième demande de provision de la part des experts. Il fait remarquer qu'Esther Lemaire ne semble pas avoir besoin d'une nouvelle provision dans la mesure où elle laisse en friche une partie des biens acquis avec les sommes versées par Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 17 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise des biens de la communauté : Esther Lemaire cherche les moyens de créer de nouveaux embarras alors que l'expertise touche à sa fin. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin envoie à Cresson des documents relatifs à l'expertise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 25 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise de la valeur des biens de la communauté : un expert a proposé à Grebel de déposer le double de tous les documents remis aux experts au greffe du tribunal de Vervins ; Godin est réticent car il devrait faire lui-même les copies ou se séparer des documents. Godin communique à Grebel la réponse qu'il a faite à une lettre de Christian.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 7 décembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise de la valeur des biens de la communauté : Godin remet à Cresson deux lettres relatives à des échantillons de fonte à adresser aux experts. À propos d'une lettre de Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 13 décembre 1873
Godin remercie Cresson pour son conseil dans l'affaire du Journal de l'Aisne signalée par Alphonse Grebel. Il lui demande conseil sur des faits présentés dans une lettre de Tisserant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 9 mars 1874
Godin envoie à Cresson une copie du procès-verbal des experts [dans l'affaire Boucher et Cie] et les lettres écrites par Tisserant à ce sujet. Godin laisse entendre qu'il croit que le procès est maintenant perdu. Godin annonce à Cresson que Grebel ira chez lui le lendemain pour avoir communication de ces documents et recueillir ses instructions. Il propose une réunion chez lui le mercredi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 24 mars 1874
Godin informe Cresson que monsieur Barral quitte l'usine après avoir fait exécuter plus de cent pièces d'émail qui lui ont donné satisfaction et l'ont laissé convaincu du droit de Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 31 mars 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Cresson qu'il va recevoir la visite de Barral pour s'entendre avec lui du jour de sa visite à Guise. Godin voudrait avoir l'avis de Cresson sur ce que Grebel lui a écrit au sujet des recherches faites dans la correspondance pour établir la nouveauté du produit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson qu'il croit qu'il est important qu'il assiste aux expériences qui vont avoir lieu à Guise jeudi et vendredi prochains. Il lui indique que sa voiture le prendra avec Barral et Péligot à la gare de Saint-Quentin le jeudi à 10 heures du matin. Il lui remet un chèque de 3 000 F sur la Caisse commerciale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 13 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson qu'il va passer la semaine à Laon mais qu'il a expliqué à Grebel comment il comprend sa défense dans les débats de la cour de Nancy et entend tirer parti des articles 16 et 17 de la loi sur les brevets d'invention sur les changements apportés par un inventeur à son invention primitive brevetée. Il explique à Cresson l'évolution de sa méthode d'émaillage entre son brevet de 1852 et celui de 1862, que personne avant lui n'avait accompli le perfectionnement d'émailler avec des émaux opaques de toutes couleurs, et que le brevet de 1862 est en accord avec l'article 17 de la loi sur les brevets d'invention.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume-Ernest Cresson, 28 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que de Luynes a renouvelé les expériences faites par Barral et Péligot, et que les trois quittent Guise avec la certitude de son bon droit et espèrent lui donner le jeudi suivant les épreuves de leur rapport. Il signale à Cresson que les experts souhaitent qu'il aille rendre visite au président de la cour de Nancy, mais Godin indique qu'il est terriblement fatigué et qu'il doit être à Laon le 10 mai pour une session extraordinaire du conseil général de l'Aisne sur une grave question de chemin de fer. Il demande à Cresson si une lettre au président de la cour pourrait suffire et si un voyage à Nancy ne l'obligerait pas à rendre une visite de politesse à M. Godelle [alors procureur général à Nancy]. La copie d'une note (folio 98r) est jointe à la lettre : Godin rend compte de ses échanges avec de Luynes sur la nouveauté du procédé d'émaillage breveté en 1862.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, vers le 27 mai 1874
Dans une lettre copiée sur le folio 218v, Godin communique à Cresson des notes qu'il a rédigées après une conversation qu'il a eue avec lui. Dans une note intitulée « Nouveauté du produit », Godin justifie la nouveauté de son procédé d'émaillage breveté en 1862 et établit une liste de caractères qui distinguent ses émaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 1er août 1874
Godin annonce à Cresson qu'il ne peut plus échapper au procès qu'on lui fait sur les écoles du Familistère, que ni Bouton, directeur de l'Instruction primaire, ni le ministre ne lui proposent une solution définitive, et qu'il ne compte pas que le préfet arrête les poursuites. Le ministre de l'Instruction renvoie la question des poursuites au ministre de la Justice, qui la renvoie au préfet, qui la renvoie au procureur de la République. Godin explique à Cresson que Jules Simon a demandé un récit détaillé de l'affaire dont il faut faire ressortir le caractère politique, et qu'un journal de l'Aisne a déjà publié un article sur le sujet. Godin demande à Cresson son avis sur la place à donner à la presse dans cette affaire car il entend lui donner de la publicité pour défendre sa cause et la cause républicaine. Dans le post-scriptum, Godin informe Cresson qu'il part pour Guise et que le ministre de la Justice a écrit au tribunal de Vervins pour remettre l'affaire à quinzaine ; Godin émet l'hypothèse d'aller rendre visite au président du tribunal de Vervins, « un homme intelligent, et peut-être le moins mal disposé pour moi au tribunal de Vervins ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 12 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin confirme à Cresson sa lettre de Laon et son télégramme du matin. Il l'informe qu'il a vu le président du tribunal de Vervins qui ne s'est pas montré opposé à une remise de l'audience, et que ce dernier a demandé qu'une position soit prise rapidement car il veut citer à comparaître l'inspecteur d'académie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 11 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Larue a informé Godin que l'audience du procès des institutrices était prévue le 19 août 1874 et que seul Cresson pouvait demander une nouvelle remise au président avec des chances de succès. Godin envisage deux possibilités : donner lui-même des explications au tribunal pour essayer d'atténuer la condamnation, ou y aller assisté du talent de Cresson et tirer tout le parti possible de l'audience. Dans ce cas, écrit Godin, il faut que l'audience soit sténographiée et publiée dans les journaux. Godin estime que le procès est une belle occasion pour démontrer les mérites de la liberté de l'enseignement et les inconvénients des restrictions et des réglementations. Godin demande à Cresson s'il sera présent le 19 août et se fera accompagner d'un sténographe.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 17 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin informe Cresson qu'il ira lui-même à Vervins le 26 août 1874 pour défendre la cause de ses écoles, mais qu'une classe est déjà fermée par arrêté préfectoral ; il lui adresse un article de journal à ce sujet. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin informe Cresson que Boucher a fait une saisie descriptive à l'usine de Guise pour son brevet de boutons, alors qu'il ne lui a pas encore envoyé l'arrêt de la cour de Nancy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 10 octobre 1874
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin est inquiet de voir que les experts de la licitation ne déposent pas leur rapport après deux ans d'expertise. Il informe Cresson que son avoué lui avait dit il y a 8 mois qu'il fallait faire assigner les experts. Il lui demande de voir avec Alphonse Grebel ce qu'il y aurait lieu de faire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 7 novembre 1874
Cresson a indiqué à Alphonse Grebel que Godin était son débiteur : Godin demande à Cresson quelle somme il doit lui verser, avec un état des versements déjà perçus et des causes plaidées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume-Ernest Cresson, 3 décembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin souhaite que Cresson étudie plus profondément la question de la licitation pour qu'ils puissent en parler utilement, mais lui fait dores et déjà des observations à ce sujet. Godin fait des hypothèses de répartition entre sa femme et lui du montant de la licitation pour démontrer à Cresson qu'elle est ruineuse pour lui. Godin souhaite avoir un conseil juridique bien étudié « afin que je puisse voir comment ma ruine sera le moins triste ». Il pose à Cresson une série de questions précises sur la licitation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 5 décembre 1874
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Cresson s'il ne faut pas faire établir un nouveau rapport en vue de la licitation plus précis que celui des experts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 28 décembre 1874
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin examine les comptes de la liquidation provisoire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 11 février 1875
Sur des modifications à apporter aux conclusions que Cresson doit adresser à un tribunal.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 14 février 1875
Sur des conclusions à adresser à Édouard Larue.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 12 novembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur un jugement du tribunal de Vervins concernant la répartition financière de la valeur de la communauté de biens entre Godin et la communauté Godin-Lemaire : Godin évalue la répartition en supposant une licitation à 3 millions de francs ; il considère qu'il serait « ruiné industriellement » ; il regrette que le tribunal n'accorde ni place ni valeur à ses brevets d'invention ; il estime que le tribunal a pris dans le rapport des experts ce qu'il a trouvé de plus défavorable à son égard. Godin souhaite en parler avec Cresson.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume-Ernest Cresson, 13 novembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Cresson la copie du jugement [du tribunal de Vervins]. Godin souhaite voir Cresson à ce sujet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 7 janvier 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que l'affaire avec Boucher et Cie se complique d'une nouvelle contrefaçon : ces derniers ont contrefait un brevet déposé par Godin deux ans auparavant relatif à la protection des émaux de couleur par un émail transparent. Godin ne voit pas comment une transaction est dès lors possible, d'autant que Boucher et Cie lui a aussi intenté un procès pour avoir contrefait ses boutons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 27 février 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Cresson que Bozérian va faire copier l'arrêt de la cour et le faire signifier à Boucher à Cie. Sur le procès en contrefaçon intenté à Godin par Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. À l'invitation d'Édouard Larue, Godin prévient Cresson que l'affaire Boucher sera plaidée à Vervins dans trois semaines. Sur les indemnités à obtenir de Boucher et Cie : Godin cite une lettre d'Alphonse Delpech, son avoué à Amiens.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue en possession de Cresson selon Godin, qui cite une réponse de Cresson à la lettre qu'il lui avait adressée le 12 novembre 1875.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Cresson un chèque de 5 000 F en paiement de ses honoraires, qu'il a demandé à Alexandre Tisserant. Godin demande à Cresson si la somme couvre les frais de la suite du procès avec Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Cresson un chèque de 5 000 F, comme convenu avec Alexandre Tisserant, pour les deux procès dont il s'est chargé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.
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