FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 9 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0145.T.139r.jpg
Godin exprime sa satisfaction de savoir que Vavasseur va venir au Familistère pour étudier avec lui les statuts de l'association du Familistère. Il l'informe qu'Alexandre Tisserant lui apportera la présente lettre et lui fournira des renseignements sur son itinéraire jusque Guise. Dans le post-scriptum, il l'avertit que, finalement, il lui envoie la présente lettre par la poste.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0146.T.140r.jpg
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin regrette que sa santé ne lui permette pas d'aller le voir à Paris ; il lui signale qu'Alexandre Tisserant lui expliquera quelles sont les recherches qu'il doit faire. Il l'informe qu'une expertise a eu lieu sur les boutons de porte en fonte de fer et qu'elle lui a donné raison contre Boucher et Cie. À propos du brevet Scellier et de la fabrication des objets creux en fonte : Godin pense que le procédé contenu dans le brevet Scellier est utilisé couramment chez les fondeurs mais il n'a pu trouver un fondeur le mettant en œuvre à Paris. Il demande à Guettier de lui fournir les preuves de l'usage commun de ce procédé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0149.T.143v.jpg
Godin informe Fauvety que Champury lui a communiqué sa lettre annonçant son intention de venir à Guise le 20 juillet 1879. Godin est satisfait de sa visite mais lui fait observer que 24 heures constituent un temps trop court pour cela ; il invite madame Fauvety à se joindre à lui et met à leur disposition un appartement où ils seront tranquilles, « trop tranquilles peut-être, car vous n'y aurez pas tout votre monde d'Asnières ». Dans le post-scriptum, Il transmet à Fauvety et à sa femme les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0150.T.144r.jpg
Godin indique à François Cantagrel qu'il attend une réponse à sa dernière lettre à la suite des réunions de la commission [de la Chambre des députés] relative au projet de loi sur les associations.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0150.T.144r.jpg
Godin accuse réception d'une liste de noms que lui a communiquée le sous-préfet de Vervins. Il lui suggère de remplacer Jumeaux, maire de Bernot décédé, par son successeur Macaigne.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0151.T.145v.jpg
À propos d'un procès en appel.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0152.T.146r.jpg
Godin remercie Édouard de Pompéry d'être un des rares champions du Familistère et d'attirer sur celui-ci l'attention publique. Il lui signale que le journal Le Devoir va publier un article sur sa brochure Blanquistes et opportunistes. Il regrette que l'imprimeur ait différé l'insertion de la réclame pour Les jésuites et le jésuitisme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0153.T.147r.jpg
Godin annonce à Neale qu'il n'a pas eu le temps de lui communiquer les éléments demandés pour une notice, qu'il voulait lui envoyer avec les statuts de l'association du Familistère. Il lui explique que ces statuts devraient paraître en volume mais qu'ils ne seront imprimés qu'après que les difficultés légales qu'ils soulèvent seront réglées. Il lui demande de lui confirmer que le compte-rendu des opérations du Familistère a été publié dans l'American Socialist.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0155.T.149r.jpg
La lettre fait suite à une première lettre de Godin sur le même sujet. Godin explique qu'il veut recruter des jeunes gens d'une réelle valeur pour les former à la direction industrielle et administrative. Il précise qu'ils percevront à leur début les appointements conformes à leurs capacités mais que leurs positions futures dans l'établissement leur permettront à l'avenir de gagner 10 000 à 20 000 F par an. Il évoque les qualités requises des élèves et l'avantage de pouvoir devenir associés et participer aux bénéfices dans une association comptant 2 500 personnes. Il évoque la question du tabac : « On peut fumer et être un homme laborieux et intelligent, mais certainement on serait plus intelligent et plus laborieux encore, et surtout plus prévoyant, si l'on ne fumait pas. »
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2