FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 5 août 1864
Sur les voussures en fonte du vieux Louvre. Après réception d'une lettre du secrétaire de César Daly, Godin demande à Cantagrel de ne plus s'occuper de la question car son information sur la présence de fonte dans la charpente du vieux Louvre était sans doute erronée. Il lui explique que le mémoire de son nouveau brevet serait utile à Cantagrel dans son étude des cheminées. Il compte développer de nouvelles affaires avec ses travaux sur la chimie. Godin demande à Cantagrel quel est le plus ancien édifice de Paris dans lequel on pourrait trouver de la fonte, pour pouvoir l'évoquer dans son mémoire descriptif du brevet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 9 janvier 1866
Godin informe Cantagrel qu'il est constamment à l'étude des questions d'avenir, sociales et industrielle. Il lui annonce qu'il va lui envoyer la photographie du Familistère par le chemin de fer entre deux planches, car Cantagrel l'a oubliée à son départ de Guise et qu'Émile l'a oubliée également. Cantagrel a proposé à Godin de faire paraître un article sur le Familistère dans la revue de César Daly [Revue générale de l'architecture et des travaux publics] : Godin pense qu'il y aurait davantage de profit à publier un article dans Le Magasin pittoresque ou dans L'Illustration. Godin demande à Cantagrel qui est Maurice La Châtre et ce qu'est le Dictionnaire universel qu'il publie, et s'il est vrai qu'il a demandé à Oyon un article de 300 lignes résumant sa brochure. Il lui annonce qu'il a choisi son économe, A. Barry de Brest. Il l'avertit que la location du magasin de la rue de la Coutellerie n'a aucune utilité pour lui et qu'il voudrait l'abandonner ; il pense que pour écouler ses marchandises à Paris, il lui faudrait d'abord un homme capable, et que peut-être il pourrait organiser un concours comme il l'a fait pour trouver son économe. Il transmet ses vœux de nouvelle année à Cantagrel, à sa femme et à son fils Simon. Le post-scriptum est relatif à l'affaire Corneau frères.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 20 janvier 1866
Godin rappelle à Cantagrel sa lettre du 9 janvier 1866 au sujet de Maurice La Châtre. Il lui annonce que Jacquet lui intente un procès et lui réclame 800 000 F. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur une lettre de Vigerie demandant à Godin s'il veut s'attacher ses services, que convoitent les partisans d'Esther Lemaire, ce qui ressemble selon Godin à une tentative de chantage ; il demande à Cantagrel d'étudier Vigerie quand il le verra. Sur le bail du magasin de la rue de la Coutellerie à la suite de la faillite de Milloche. Godin demande à Cantagrel s'il a renoncé à son article pour la revue de César Daly et s'il attend pour cela la photographie du Familistère.
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