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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Félix Achard, préfet de l'Aisne, 24 novembre 1871
À propos du chemin de fer à Guise : Godin demande au préfet de l'Aisne d'autoriser la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et la Compagnie de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise de faire conjointement l'étude du raccordement des lignes provenant du Nord et de l'Est à une gare commune à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 5 octobre 1873
Godin demande au préfet de l'Aisne si le dossier relatif à la concession de chemins de fer faite à la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et Nord central a été transmis au ministre. Godin estime que le retard mis à régulariser cette concession va être la source d'une difficulté pour l'implantation de la gare de Guise qui ne pourra être faite d'un commun accord entre la Compagnie du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin et la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes, alors que les travaux de la voie de Saint-Quentin à Guise vont bientôt arriver à Guise. Il demande au préfet si la commission désignée par le conseil général de l'Aisne peut aller voir le ministre des Travaux publics.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 8 septembre 1875
Godin demande à Heutte et Cie de lui adresser les 2 000 exemplaires demandés de La politique du travail à Guise et non à Bohain, par le chemin de fer du Nord et celui de Saint-Quentin à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 5 décembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin accuse réception de la lettre d'Émile du 3 décembre ; il le félicite pour le travail qu'elle contient et lui demande s'il voudra se charger de la question le moment venu. Sur un projet de demande de réduction de prix à la Compagnie de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin conseille à son fils d'en parler au directeur de la compagnie plutôt qu'écrire une lettre. Il l'informe qu'il a renvoyé à Laeken une lettre de crédit. Sur la propriété d'une cave.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à René Goblet, 12 juillet 1876
Sur un procès avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin explique comment la mention « sans responsabilité » ajoutée à ses lettres de voiture par la compagnie lui cause du tort : il conteste le droit de la compagnie à modifier ses lettres de voiture. Godin demande à Goblet de s'entendre avec Delpech sur la conduite à tenir dans l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Ganault qu'ils avaient convenu de laisser Larue plaider à Vervins dans la première affaire avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, mais qu'il n'y a pas d'obligation de laisser Larue plaider le 8 août dans la nouvelle affaire. Sur la séparation des époux Godin et sur la liquidation de la communauté de biens : à propos des sommes revenant à Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Mariolle-Pinguet qu'il est prêt à recevoir le mardi ou le jeudi suivant les communications de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Mariolle-Pinguet que sa compagnie [du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise] lui propose un tarif plus élevé qu'auparavant. Il signale qu'il adresse à monsieur Bauchart un tableau présentant le tarif dans les directions de l'Est, de l'Ouest et du Nord, qui montre que sa compagnie demande 1,20 F de plus par tonne dans la direction de l'Est, 0,58 F de plus dans la direction du Nord et 0,26 F de moins dans la direction de Paris et de l'Ouest. Godin constate qu'il ne trouve pas dans la proposition de la compagnie les avantages promis par Mariolle-Pinguet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Bauchart du 30 septembre 1876 lui faisant part de la décision de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise sur le tarif de transport de marchandises. Godin informe Bauchart que ce tarif est moins avantageux que le tarif du transport actuel et ne lui permet pas de se défaire de son matériel de transport. Il adresse à Bauchart un tableau comparatif des prix anciens et nouveaux montrant que sa compagnie demande 1,20 F de plus par tonne dans la direction de l'Est, 0,58 F de plus dans la direction du Nord et 0,26 F de moins dans la direction de Paris et de l'Ouest. Godin considère que ce tarif ne lui donne pas la possibilité de faire transporter ses marchandises par sa compagnie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique au préfet que la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise a soumis à son homologation un tarif spécial pour les produits en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, suivant lequel la Compagnie est exonérée de toute responsabilité en cas de dommage causé aux marchandises. Godin proteste contre cette mesure, qui revient à une interdiction d'utiliser les services de la Compagnie. Godin demande au préfet de refuser d'homologuer ce tarif.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Mariolle-Pinguet qu'il n'a pas eu le temps de lui envoyer ce qu'il demandait depuis leur entrevue à la préfecture et qu'il ne pourra le recevoir que le mercredi prochain en raison de son absence. Il estime qu'ils peuvent s'entendre sans être convoqués au tribunal de Vervins. Il expose les conditions débattues avec monsieur Bauchart sur le tarif du transport des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : 0,16 F par tonne en direction de Paris et de l'Ouest ; 0,08 F par tonne en direction de l'Est et du Nord ; réduction du tarif à 0,14 F et 0,07 F par tonne pour des wagons complets ; 0,20 F de droits de gare perçus par la gare de Guise ; la manufacture fournit les hommes et la paille nécessaires au chargement ; la Compagnie compte 0,55 F par lettre de voiture ; la Compagnie s'engage à ne pas laisser la manufacture manquer de wagon ; un traité serait fait avec ces conditions pour une durée de 6 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le président du tribunal de commerce de Vervins qu'il lui sera impossible de se rendre à sa convocation car il se trouve à Amiens jusqu'au mercredi suivant pour une affaire devant la cour d'Amiens. Il le prévient qu'il ne lui semble pas possible qu'un arrangement ait pu être conclu sous les yeux du tribunal, alors que 5 ou 6 longues conférences entre l'administration du chemin de fer et lui n'ont pu aboutir à un accord, et il souhaite que le tribunal rende son jugement. Il annonce qu'il serait prêt à conclure une convention avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise si celle-ci offrait des conditions acceptables comme celles que propose aux industriels la Compagnie du chemin de fer du Nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au président du tribunal sa lettre du 22 janvier 1877. Le tribunal a reporté d'une quinzaine la comparution de Godin et du représentant de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, Godin s'est rendu à Vervins le lundi précédent, mais la comparution a été à nouveau reportée car l'ingénieur de la Compagnie n'était pas disponible. Godin estime que sa comparution est inutile. Dans la mesure où la Compagnie lui interdit depuis un an l'accès à la gare de Guise, qu'il s'agit d'une situation inédite faite à une industrie employant 1 200 ouvriers située à l'entrée d'une gare de chemin de fer et ne demandant que l'application des règles de droit commun, Godin demande au tribunal de rendre son jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Larue que Tisserant ne pourra se rendre à Vervins le jeudi suivant et que lui ne pourra réunir d'ici-là les documents sur les opérations des notaires. Sur le travail fait par Bernier pour Esther Lemaire. Il signale à Larue qu'il a écrit le 10 février dernier au président du tribunal de commerce de Vervins pour lui demander de délivrer son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un projet de traité avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, que Mariolle-Pinguet est venu présenter à Godin. Godin demande à Mariolle-Pinguet si la Compagnie consent à accepter le jugement du tribunal de Vervins pour éviter de nouveaux frais. La copie de la lettre est suivie (folios 249r et 250r) de la copie du projet de traité intitulé « Bases des conditions d'un traité entre la Compagnie du chemin de fer de Guise et Mr Godin ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Larue qu'il lui fait parvenir dix exemplaires de ses conclusions. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin informe Larue que la cour d'Amiens rendra son arrêt le 5 mars 1877 ; Godin demande à Larue s'il peut faire le nécessaire pour lui dans l'affaire Diet, Tisserant ne devant revenir à Guise que le 1er mars. Sur l'affaire avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin demande à Larue s'il faut signifier le jugement à la Compagnie. Sur l'affaire Graillot : Godin informe Larue qu'Eugène André se rendra le 27 février 1877 à Vervins.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Larue de signifier le jugement à la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté : il l'informe que l'arrêt de la cour d'Amiens est remis à huitaine ; sur l'affaire Diet et les frais dus au notaire Barnier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin fait des observations sur deux articles du nouveau projet de tarif spécial des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire par la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise. Il lui retourne une version amendée du projet de tarif et lui propose d'aller la présenter à la Compagnie à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Sadi Carnot qu'une pétition des habitants de Guise au sujet du tracé à travers Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon a été adressée au ministre des Travaux publics et que lui-même s'est rendu à Paris pour essayer sans succès de lui en parler. Le maintien d'un projet considéré à l'origine comme impossible tient selon Godin à deux cause : les intérêts de la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ; l'opposition du parti de la réaction. Il évoque les importants intérêts industriels qu'il a personnellement dans cette affaire, et il demande rendez-vous à Sadi Carnot.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin communique à Tisserant une lettre du ministère qui ne donne pas droit à ses réclamations. Godin accuse le préfet de faire traîner les études pour obtenir en août 1880 le consentement du conseil général au tracé en tunnel sous le fort de Guise favorable à la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

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