FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 19 avril 1897
Remercie Buridant pour ses lettres des 12 et 17 avril 1897 et ses envois. Émilie Dallet a écrit à Buridant à propos de son jardin. Diverses questions touchant au Devoir : arrêt d'abonnement de Manuel Navarro ; remercie Buridant pour les informations sur la fête du Travail et en attente de la liste des récompenses exceptionnelles ; succession d'événements au Familistère ; départ d'Albert Louis du Familistère : cesser de lui donner Le Devoir ; départ de François Bernardot du Familistère : lui donner le numéro d'avril du journal puis lui envoyer au titre des services gratuits au 3, place de la République à Nantes. Sur l'indisponibilité de monsieur Rousselle et la charge supplémentaire de travail que doit assumer Buridant. Transmettre son meilleur souvenir à la famille Rousselle et à mesdames Roger, Louis et Allart.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 24 avril 1897
Accuse réception de la lettre de Buridant du 21 avril 1897. Marie Moret en accord avec Buridant pour sa réponse aux demandes de monsieur Le Soudier et du Groupe d'études socialistes de Beaune. Marie Moret va envoyer au Groupe d'études socialistes de Beaune des brochures, dont Contrat de salaire et Concurrence asiatique. Adresse à Buridant les remerciements d'Émilie Dallet pour les informations touchant monsieur Bertrand (au Cateau) et son jardin. Sur « l'affaire Albert Louis » : demande si le ménage Louis est encore au Familistère et questionne Buridant sur une plainte pour menace envers un supérieur.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 3 mai 1897
Complément à la lettre à Buridant du 1er mai 1897 : Marie Moret demande à Buridant d'acheter pour son compte tout journal qui évoquerait l'affaire Albert Louis.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 14 mai 1897
Remercie Piponnier pour sa lettre du 12 mai 1897. Marie Moret discute les articles 99 des statuts et 53 du règlement de l'Association coopérative du capital et du travail, relatifs à l'expulsion d'un associé ; se réfère à l'exemple de Barbary, congédié sans approbation de l'assemblée générale des associés ; l'article 53 du règlement s'applique sans restriction à tous les travailleurs, employés ou fonctionnaires de l'Association. Incertitude sur la solution de l'affaire Albert Louis : un tribunal pourrait condamner l'Association à verser plusieurs milliers de francs à Albert Louis et créer un précédent que d'autres pourraient imiter ; Marie Moret pressée de connaître le résultat du vote. Sur les nouvelles de Guise : décès de monsieur Flamant ; Marie Moret plaint « la famille Charade et le cocher ». Marie Moret informe Buridant que le jour de son départ de Nîmes n'est pas encore fixé. Marie Moret termine sa lettre après la réception d'une dépêche de Piponnier donnant le résultat du vote de l'assemblée générale des associés : 157 voix contre l'exclusion d'Albert Louis et 111 voix en faveur de son exclusion ; demande à Piponnier de la tenir informée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 16 mai 1897
Remercie Buridant pour sa lettre du 14 mai 1897. Au sujet de l'assemblée générale extraordinaire des associés du 13 mai 1897. Remercie Buridant de lui avoir communiquer des documents relatifs à l'affaire Albert Louis et lui demande de recueillir d'autres pièces, comme le numéro du 13 mai de L'Écho de Guise. Marie Moret prévoit de partir de Nîmes vendredi prochain [21 mai 1897] pour arriver à Guise le samedi suivant dans l'après-midi ; demande à Buridant de prévenir madame Louis ; indique qu'elle paiera à son retour monsieur Pourrier pour le démontage et remontage des rideaux de son appartement au Familistère. A pris note des encaissements réalisés sur le compte du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Jules Prudhommeaux de sa lettre du 5 octobre 1899 et du mot concernant Auguste Fabre. Elle lui demande de prévenir Auguste Fabre de nouveaux ennuis avec Albert Louis et de la convocation d'une assemblée générale de la Société du Familistère le 21 octobre 1899 pour décider de l'expulsion de celui-ci. Marie Moret s'excuse pour la précipitation forcée de sa lettre et pour avoir laissé la lettre de Jules Prudhommeaux du 26 août 1899 sans réponse, de sorte que certains évènements mentionnés sont terminés (service militaire de Jules Prudhommeaux) et d'autres sont en voie d'accomplissement (professorat à Nîmes), tandis que demeure la communion spirituelle qui « échappe ou doit échapper au temps comme à l'espace ». Elle prévient Jules Prudhommeaux qu'elle le sollicitera pour régler des questions touchant le service gratuit du Devoir à Lyon et demande confirmation de l'adresse d'expédition de ses numéros d'août et septembre 1899 gardés en réserve : 14, rue Cart à Nîmes, avec précision de la mention « chez madame Hetzel ». Au sujet d'une lettre de Marie-Jeanne Dallet adressée à Auguste Fabre évoquant l'intérêt de la famille Moret-Dallet pour les travaux de Jules Prudhommeaux. Marie Moret imagine Auguste Fabre très heureux de pouvoir enfin partager son « effusion débordante des visées sociales » avec Jules Prudhommeaux. Elle demande à son correspondant d'informer Auguste Fabre de la réception par la bibliothèque de Nîmes des ouvrages de Godin qu'elle lui a envoyés pour compléter la collection déjà versée par Auguste Fabre. Elle espère recevoir prochainement un mot d'Auguste Fabre et donne des nouvelles de Jules Pascaly.
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