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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 30 août 1873
Godin demande à Heutte et Cie d'envoyer 100 exemplaires de l'édition in-18 de Solutions sociales à mademoiselle Guillaumin au 14 rue Richelieu à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Chabaud (1825-1883), 31 mai 1876
Godin adresse à Chabaud un extrait de son livre Solutions sociales édité par la librairie Guillaumin au 14 rue Richelieu à Paris. Il lui indique que les gravures de Solutions sociales pourraient l'aider. Il voudrait connaître les principes de la fondation que Chabaud voudrait faire pour lui donner des indications utiles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Dameth en lui adressant un exemplaire de La richesse au service du peuple. Il le renvoie pour de plus amples informations à son ouvrage Solutions sociales publié chez Guillaumin au 14 rue Richelieu à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Virginie Griess-Traut qu'il ne peut réaliser le travail qu'elle demande. Il lui indique qu'il a publié dans Solutions sociales des documents sur la nourricerie ou crèche du Familistère. Il regrette de ne pouvoir lancer dans Le Devoir un appel pour un ménage sociétaire, comme le souhaite Jean Griess-Traut : « J'ai éprouvé trop de déboires dans l'École sociétaire au sujet des appels au public pour me faire moi-même l'organe de nouveaux appels, surtout dans une question où les anciens phalanstériens sont tellement divisés. » Dans le post-scriptum, il accuse réception de l'abonnement d'un an de Virginie Griess-Traut au journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Éthiou-Pérou un chèque de 2 705 F en règlement de ses factures. Il lui demande d'envoyer 250 exemplaires à 5 F de son livre Mutualité sociale à Guillaumin et Cie au 14 rue Richelieu, de 50 exemplaires de même à Auguste Ghio au 1-7 galerie d'Orléans au Palais-Royal à Paris, et de lui expédier le reste.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Offroy et Cie l'étude sociale n° 1 sur le Familistère, dont la couverture présente le catalogue complet de ses ouvrages, parmi lesquels Mutualité sociale qui est en vente chez Guillaumin et Cie au 14, rue Richelieu à Paris.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Antoine Médéric et Juliette Cros pour leur lettre du 20 juin 1901. Elle explique que le retard de sa réponse est dû aux envois qu'elle a faits aux bibliothèques étrangères, à la reprise de son « vrai travail » et aux corrections des épreuves du Devoir. Elle les remercie pour la description de la scène de la réception [par le public de la conférence donnée par Cros] de la photographie de Marie-Jeanne Dallet. Leur mot sur Saint-Gaudens l'a poussé à ouvrir le livret d'ouvrier de son père. Elle nomme les étapes du parcours de son père : Paris, Meaux, Libourne, Bordeaux (où il est rejoint par Godin), Toulouse chez Daussonne jeune pendant deux mois à partir du 23 avril 1836, Montrejeau (toujours avec Godin) chez le serrurier Pierre Pic pendant trois mois à partir du 24 juillet 1836, Montpellier, Nîmes, Marseille (où Moret et Godin se séparent), Lyon, etc. Elle demande qu'Antoine Médéric Cros conserve les articles de journaux qui évoqueraient sa conférence [sur le Familistère] pour les communiquer à Auguste Fabre et à elle-même. Elle lui annonce que Marie-Jeanne Dallet lui écrira à propos des vues photographiques pour les conférences ; elle lui indique que Mutualité sociale se trouve chez Guillaumin et Cie et qu'elle peut lui fournir des exemplaires du Familistère illustré. Elle informe Juliette Cros que leur voyage [de retour à Guise] a été pénible à cause de la chaleur. Elle lui indique qu'Auguste Fabre devait s'occuper des travaux de maçonnerie ; le 16 juin dernier, il a écrit qu'il ne disposait pas encore du maçon. Elle lui fait part de sa satisfaction d'avoir retrouvé son grand cabinet de travail en comparaison de celui de Nîmes, tellement chauffé par la toiture qu'on ne peut plus s'y tenir à partir de 11 h 00. Elle transmet à Juliette et Antoine Médéric Cros les pensées d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et le souvenir de Flore Moret.
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