FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Prévient Buridant du changement d'adresse de Jules Pascaly : il réside désormais au 41, avenue de Saxe à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Envoie à Chastanier des épreuves corrigées des pages du numéro de novembre 1898 du journal Le Devoir, lui demande de lui adresser dix exemplaires de ce numéro sorti de presse, ainsi qu'un exemplaire à Jules Pascaly au 41, avenue de Saxe à Paris, et fixe le tirage à 340 exemplaires. Elle demande à Chastanier de s'occuper ensuite de la brochure du compte rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère et d'en adresser l'épreuve à celle-ci.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception la lettre de Jules Prudhommeaux du 4 février 1899. Elle lui indique qu'elle envoie à Auguste Fabre, chez Jules Pascaly à Paris, la lettre qui lui est destinée, et lui donne des informations sur le voyage de Fabre : il s'est rendu à Paris le vendredi 3 février 1899 pour assister à une réunion coopérative qui s'est tenue le 5 février 1899 et pour donner une conférence illustrée de 50 vues du Familistère qu'il a emportées avec lui avec le texte de sa conférence « afin de pouvoir lire au besoin, vu son manque d'habitude de parler en public » ; Fabre doit répéter sa conférence à Lyon le jeudi 9 février et s'est entendu à ce sujet avec l'ami de Prudhommeaux, monsieur Godart ; Fabre ne pourra rencontrer Prudhommeaux à Gannat. Elle accuse réception de brochures icariennes envoyées par Prudhommeaux, félicite ce dernier pour l'acceptation de son sujet de thèse, et évoque la conférence avec vues qu'il va prononcer.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret donne des nouvelles d'Auguste Fabre à sa fille : Fabre doit prononcer aujourd'hui sa conférence sur le Familistère au Musée social avec projections à la lumière électrique ; il s'est rendu à Paris pour les besoins de la fédération coopérative et a assisté à l'assemblée coopérative le 5 février avec entre autres monsieur de Boyve ; il a séjourné chez Jules Pascaly à Paris ; il doit répéter sa conférence à Lyon jeudi 9 février avant de rentrer à Nîmes le 10 ou le 11 février ; il n'a pas reçu la lettre de monsieur Ronzier et n'a pas vu ce dernier à son départ de la gare de Nîmes le vendredi 3 février. Marie Moret informe Juliette Cros qu'Émilie a bien reçu sa lettre du 21 janvier 1899 et que Marie-Jeanne a bien reçu les photographies qu'elle a envoyées. Elle donne enfin une méthode de rasage à l'intention du mari de Juliette Cros : graisser la peau avec de la vaseline et utiliser du lait ou du savon mélangé au lait.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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En son nom et au nom d'Émilie Dallet, Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 25 février 1899 et les documents qui y étaient joints. Elle l'informe qu'Auguste Fabre a étudié ces documents et qu'il souhaiterait parler avec Colin de « cette grosse question ». Sur un rendez-vous manqué de Fabre et de Colin à Paris : Fabre s'était rendu à Paris pour une réunion coopérative, trois jours avant le jour fixé pour sa conférence au Musée social ; l'espoir de voir Colin à cette occasion a été déçu quand Fabre a appris qu'on avait télégraphié à Colin la nouvelle de la mort du comte de Chambrun ; Marie Moret regrette qu'il n'ait pas communiqué à Colin son adresse chez Jules Pascaly. Elle indique à Colin que Charles Robert a annoncé à Fabre que sa conférence ne pourra avoir lieu avant l'automne 1899. Elle joint à sa lettre à Colin une lettre de délégation pour qu'il la représente à l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère du 9 mars 1899.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À propos d'une erreur de compte par Buridant des exemplaires du numéro de mai 1899 du Devoir. Marie Moret retourne la deuxième épreuve des « Documents biographiques » et de l'article sur la fête du Travail, ainsi que l'épreuve du complément du roman pour le numéro de juin 1899. Elle demande à Chastanier d'adresser un exemplaire du numéro sorti de presse à elle-même et à Jules Pascaly, et de lui fournir l'épreuve de la 21e feuille des tirés à part des « Documents biographiques ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret commande pour Jules Pascaly l'ouvrage De la production industrielle. Association du capital, du travail et du talent par Paul Boilley, paru en 1899 chez Félix Alcan.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des épreuves de pages du prochain numéro du Devoir ; elle envoie le sommaire du numéro, ainsi que le « Mouvement des assurances » et l'« État-civil » ; elle demande l'envoi à Jules Pascaly de l'épreuve de l'article « Bibliographie », et à elle des manuscrits et la totalité des épreuves.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Juliette Cros que son père Auguste Fabre, en bonne santé, se trouve désormais à Paris, chez Jules Pascaly qui l'a retrouvé à la gare du Nord le matin, et qu'il la rejoindra après le congrès des femmes. Elle remercie Juliette Cros pour son information du 31 août 1900 sur l'état de réception de la brochure Le Familistère illustré, et pour un envoi de pêches, dont certaines étaient gâtées. Elle lui rappelle que les fruits abondent dans le pays [de Guise]. Elle lui indique que la fête de l'Enfance a été charmante et qu'elle en fera le compte rendu dans Le Devoir, qu'il fait un temps superbe à Guise, et que Marie-Jeanne Dallet va en profiter pour se promener « avec les compagnes en vacances ». Transmet les affectueuses pensées de la famille Moret-Dallet à Juliette et Antoine Médéric Cros ainsi qu'à Jules Fabre. Dans le post-scriptum, Marie Moret évoque la lettre à Antoine Médéric Cros jointe à sa lettre, le congrès de psychologie [dont Juliette Cros parle dans sa lettre à Marie Moret du 28 août 1900], et l'amélioration de la santé de Juliette Cros après la fatigue ressentie pendant son voyage à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret donne des nouvelles d'Auguste Fabre, parti de Guise pour Paris chez Jules Pascaly le 21 septembre 1901, qui avait bien reçu avant son départ la lettre d'Antoine Médéric Cros l'informant de son retour à Castelsarrasin. Elle remercie Cros pour la phrase cordiale que la lettre contenait au sujet de son travail. Elle remercie également Antoine Médéric et Juliette Cros pour l'envoi de 26 pêches soigneusement emballées. Elle l'informe que la situation de madame Pascaly s'aggrave. Elle évoque son travail sur les liens entre l'idéal philosophique et social de Godin et la science contemporaine, son étude de Lord Kelvin et de Kant, et le bénéfice des conversations à ce sujet avec Auguste Fabre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à l'imprimeur le compte rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère, à mettre en composition pour le prochain numéro du Devoir, après les « Documents biographiques ». Elle attire l'attention de son correspondant sur la mise en page du compte rendu qui doit être similaire à l'année précédente et demande l'envoi en double exemplaire de ces épreuves afin que l'un soit remis pour contrôle à la Société du Familistère. Même si les épreuves ne doivent pas lui être envoyées, Marie Moret prévient du retour de vacances de Jules Pascaly, domicilié au 41, avenue de Saxe à Paris. En post-scriptum, elle annonce retourner à l'imprimeur le bon à tirer de la 24e feuille du tiré à part des « Documents biographiques » dont elle demande l'envoi d'un exemplaire.
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