FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Juliette Cros pour l'envoi de pêches qui ont fait l'admiration de toutes au Familistère. Elle lui indique que Marie-Jeanne Dallet prépare la fête de l'Enfance pour laquelle « elle perfectionne ses procédés d'une année à l'autre ». Elle informe Juliette Cros qu'Auguste Fabre s'arrêtera à Paris pour assister au congrès des femmes avant d'aller la retrouver [à Castelsarrasin].

Auteurs : Moret, Marie (1840-1908) ; Fabre, Auguste (1839-1922)
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Marie Moret remercie Juliette Cros pour son nouvel envoi de pêches, lui demande de ne plus se créer d'embarras car les prunes ou poires du pays commencent à abonder, et l'assure que toute la famille, y compris Flore Moret, s'est délectée de son envoi. Elle lui adresse de la part d'Auguste Fabre un exemplaire de la brochure Le Familistère illustré. Elle lui confirme qu'Auguste Fabre quittera le Familistère le 4 septembre 1900, immédiatement après la fête de l'Enfance, pour se rendre au congrès des femmes avant d'aller la retrouver. La famille Moret-Dallet transmet son souvenir à Antoine Médéric Cros. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique à Juliette Cros qu'elle vient de recevoir un nouvel envoi de pêches splendides ; elle la remercie et lui signale qu'Auguste Fabre ose à peine toucher aux fruits pour en laisser le plaisir à la famille Moret-Dallet. Dans le message qu'Auguste Fabre ajoute à la lettre, celui-ci demande à sa fille de l'informer de la réception en bon état de la brochure Le Familistère illustré, et la prie d'envoyer des pêches à Jules Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Juliette Cros que son père Auguste Fabre, en bonne santé, se trouve désormais à Paris, chez Jules Pascaly qui l'a retrouvé à la gare du Nord le matin, et qu'il la rejoindra après le congrès des femmes. Elle remercie Juliette Cros pour son information du 31 août 1900 sur l'état de réception de la brochure Le Familistère illustré, et pour un envoi de pêches, dont certaines étaient gâtées. Elle lui rappelle que les fruits abondent dans le pays [de Guise]. Elle lui indique que la fête de l'Enfance a été charmante et qu'elle en fera le compte rendu dans Le Devoir, qu'il fait un temps superbe à Guise, et que Marie-Jeanne Dallet va en profiter pour se promener « avec les compagnes en vacances ». Transmet les affectueuses pensées de la famille Moret-Dallet à Juliette et Antoine Médéric Cros ainsi qu'à Jules Fabre. Dans le post-scriptum, Marie Moret évoque la lettre à Antoine Médéric Cros jointe à sa lettre, le congrès de psychologie [dont Juliette Cros parle dans sa lettre à Marie Moret du 28 août 1900], et l'amélioration de la santé de Juliette Cros après la fatigue ressentie pendant son voyage à Paris.

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre rappelle à Blanche Edwards-Pilliet qu'il l'a rencontrée à l'occasion de l'Exposition universelle de 1889 grâce à l'avocat Léon Giraud, et qu'il l'avait à nouveau sollicitée à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 pendant le Congrès des femmes organisé par La Fronde. Fabre sollicite un entretien et indique à Blanche Edwards-Pilliet qu'il sera à Paris du 22 au 24 septembre 1901. Il lui explique qu'il s'occupe depuis longtemps de « questions sociales expérimentales » et qu'il a enquêté sur une expérience portant sur l'hérédité humaine qui a duré trente ans, dont il voudrait lui parler. Il demande à Blanche Edwards-Pilliet d'envoyer sa réponse chez Jules Pascaly.
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