FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 10 résultats dans 19519 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0128v_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour sa lettre du 10 juillet 1900, par laquelle elle lui renvoie une des deux photographies d'Auguste Cros. Elle remercie Juliette Cros pour l'envoi de pêches parfumées : après un épisode de froid digne d'un mois de novembre, il fait chaud à Guise, et les pêches se sont abîmées. Nouvelles du Familistère : Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont remises [de leur séjour à Paris] et s'occupent des examens scolaires et de la fête de l'Enfance. Marie Moret a reçu une lettre de Jules Pascaly lui annonçant l'arrivée prochaine d'Auguste Fabre à Paris pour assister au congrès des société coopératives de production. Elle exprime à Juliette Cros sa satisfaction de la savoir à nouveau en bonne santé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0147_H.jpg
Marie Moret accuse réception de la lettre de Sophie Quet du 2 juillet 1900. Elle lui envoie un billet de 50 F pour ses appointements du mois de juillet. Elle informe Sophie Quet que Fabre est arrivé au Familistère le 27 juillet au matin, qu'il fait très chaud à Guise, qu'elle ne supporterait pas la chaleur encore plus forte de Nîmes, et que Marie-Jeanne Dallet est remise de son indisposition et s'occupe de la préparation de la fête de l'Enfance. Elle transmet ses compliments à mademoiselle Pintard. Elle remercie Sophie Quet d'avoir fait des confitures. Elle suppose que Jules Prudhommeaux sera rentré chez lui à l'arrivée de sa lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0169v_H.jpg
Marie Moret souhaite une bonne fête de Marie à Marie Dossogne. Elle lui donne quelques nouvelles de la famille : elle travaille aux « Documents biographiques » qu'elle publie dans Le Devoir ; Émilie et Marie-Jeanne Dallet préparent la fête de l'Enfance. Elle envoie [un billet de banque] à Marie Dossogne.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0186_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour l'envoi de pêches qui ont fait l'admiration de toutes au Familistère. Elle lui indique que Marie-Jeanne Dallet prépare la fête de l'Enfance pour laquelle « elle perfectionne ses procédés d'une année à l'autre ». Elle informe Juliette Cros qu'Auguste Fabre s'arrêtera à Paris pour assister au congrès des femmes avant d'aller la retrouver [à Castelsarrasin].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0188_H.jpg
Marie Moret remercie Justin Antonin pour l'envoi de raisin. Elle adresse sa lettre à Fons, à la suggestion d'Auguste Fabre, plutôt qu'à Nîmes ; elle constate que le journal Le Devoir lui est envoyé au 36, rue Pavée à Nîmes bien qu'il habite boulevard de la République, et elle lui demande de préciser à quel numéro. Elle lui signale que la fête de l'Enfance est en préparation au Familistère et lui souhaite de réussir les vendanges en cours.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0193_H.jpg
Marie Moret envoie à Sophie Quet un billet de 50 F pour ses appointements du mois d'août 1900. Elle joint à sa lettre une lettre d'Émilie Dallet demandant à Sophie Quet de lui envoyer des citrons ; elle ajoute un bon de poste de 5 F à son envoi dans le cas où celle-ci ne disposerait plus de fonds. Elle accuse réception de la lettre de Sophie Quet du 31 juillet 1900, à laquelle Auguste Fabre a répondu le 2 août. Nouvelles de Guise : les grandes chaleurs sont passées, les hirondelles commencent à partir, la fête de l'Enfance se prépare. Marie Moret charge Sophie Quet de transmettre son souvenir à mademoiselle Pintard.

Auteurs : Moret, Marie (1840-1908) ; Fabre, Auguste (1839-1922)
M0787_2005-00-123_0197_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour son nouvel envoi de pêches, lui demande de ne plus se créer d'embarras car les prunes ou poires du pays commencent à abonder, et l'assure que toute la famille, y compris Flore Moret, s'est délectée de son envoi. Elle lui adresse de la part d'Auguste Fabre un exemplaire de la brochure Le Familistère illustré. Elle lui confirme qu'Auguste Fabre quittera le Familistère le 4 septembre 1900, immédiatement après la fête de l'Enfance, pour se rendre au congrès des femmes avant d'aller la retrouver. La famille Moret-Dallet transmet son souvenir à Antoine Médéric Cros. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique à Juliette Cros qu'elle vient de recevoir un nouvel envoi de pêches splendides ; elle la remercie et lui signale qu'Auguste Fabre ose à peine toucher aux fruits pour en laisser le plaisir à la famille Moret-Dallet. Dans le message qu'Auguste Fabre ajoute à la lettre, celui-ci demande à sa fille de l'informer de la réception en bon état de la brochure Le Familistère illustré, et la prie d'envoyer des pêches à Jules Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0209_H.jpg
Marie Moret demande à Louis-Victor Colin le texte du discours qu'il a prononcé à l'occasion de la fête de l'Enfance du Familistère pour qu'il soit reproduit dans le journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0212_H.jpg
Marie Moret informe Juliette Cros que son père Auguste Fabre, en bonne santé, se trouve désormais à Paris, chez Jules Pascaly qui l'a retrouvé à la gare du Nord le matin, et qu'il la rejoindra après le congrès des femmes. Elle remercie Juliette Cros pour son information du 31 août 1900 sur l'état de réception de la brochure Le Familistère illustré, et pour un envoi de pêches, dont certaines étaient gâtées. Elle lui rappelle que les fruits abondent dans le pays [de Guise]. Elle lui indique que la fête de l'Enfance a été charmante et qu'elle en fera le compte rendu dans Le Devoir, qu'il fait un temps superbe à Guise, et que Marie-Jeanne Dallet va en profiter pour se promener « avec les compagnes en vacances ». Transmet les affectueuses pensées de la famille Moret-Dallet à Juliette et Antoine Médéric Cros ainsi qu'à Jules Fabre. Dans le post-scriptum, Marie Moret évoque la lettre à Antoine Médéric Cros jointe à sa lettre, le congrès de psychologie [dont Juliette Cros parle dans sa lettre à Marie Moret du 28 août 1900], et l'amélioration de la santé de Juliette Cros après la fatigue ressentie pendant son voyage à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-123_0271v_H.jpg
Marie Moret remercie Juliette Cros pour la nouvelle caisse de pêches, arrivées en parfait état. Elle indique à Juliette Cros que la famille Moret-Dallet s'apprête à déguster la courge envoyée par Auguste Fabre et arrivée trois jours auparavant, au moment où madame Louis avait justement fait provision de courges du pays. Elle souhaite que le temps soit aussi superbe à Castelsarrasin et à Nîmes qu'il l'est à Guise. Elle attend une lettre d'Auguste Fabre à propos de clichés se trouvant à Nîmes. Elle a bien reçu les lettres de Juliette Cros et de Fabre expédiées de Castelsarrasin les 15 et 17 septembre 1900, et elle évoque le travail fait sur des chaises par Auguste Fabre et Antoine Médéric Cros. Elle signale à Juliette Cros que le numéro d'octobre du journal Le Devoir contient le compte rendu de la fête de l'Enfance [à laquelle cette dernière a assisté]. Elle l'informe qu'elle n'a encore rien lu d'intéressant à lui communiquer sur le Congrès de psychologie. Le texte manuscrit au crayon bleu sous la signature de la copie de la lettre est un post-scriptum par lequel Marie Moret remercie Juliette Cros pour un nouvel envoi de pêches arrivé après qu'elle ait achevé sa lettre et lui signale que les fruits murissent rapidement.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2