Guizot épistolier

François Guizot épistolier :
Les correspondances académiques, politiques et diplomatiques d’un acteur du XIXe siècle


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Auteurs : Twiss, Travers (1809-1897)

Auteurs : Twiss, Travers (1809-1897)

Auteurs : Twiss, Travers (1809-1897)

Auteurs : Twiss, Travers (1809-1897)

Auteurs : Vaillant, Jean-Baptiste Philibert (1790-1872)

Auteurs : Vaillant, Jean-Baptiste Philibert (1790-1872)

Auteurs : Van Praet, Jules (1806-1887)

Auteurs : Van Praet, Jules (1806-1887)
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Annotée de la main de Guizot " -adressée au Prince de Chimay, - le prince de Lieven m'a apporté mardi matin 10 mai le paquet cacheté des lettres du Roi Léopold, et mon fils l'a porté le même jour de ma part au Prince de Chimay"

Auteurs : Van Praet, Jules (1806-1887)

Auteurs : Van Praet, Jules (1806-1887)

Auteurs : Vernon Harcourt, William (1827-1904)

Auteurs : Vernon Harcourt, William (1827-1904)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)
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Malgré mon respect et mon admiration et le dévouement ancien qui est resté dans mon cœur, je me sens si loin de vous de toutes façons que je n'ose en vérité ni marquer la distance en vous parlant des œuvres si graves que vous nous donnez, ni vous la faire apprécier en vous adressant mes médiocres écrits. J'éprouve une vraie douleur quand je vous considère hors de nos dogmes, et je ressens une sorte d'embarras à vous faire entendre des pensées, des convictions et un accent si différents des vôtres. Veuillez me tenir compte de cette situation cruelle, et qu'elle vous fasse excuser les silences qui me font un véritable tourment. En me tenant à l'écart de vous jusqu'à l'impolitesse, je suis certainement du nombre des hommes qui vous ont le plus honoré et aimé. Souffrez que je me donne la consolation de vous le dire une fois. Sur le couvert de ce sentiment profond, je prends la liberté de vous offrir un livre auquel j'ai souvent et longtemps remis la main sans réussir à le faire tel que je l'aurais voulu.

Auteurs : Veuillot, Louis (1813-1883)
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Chaque fois que je fais paraître quelque volume j'ai un mauvais moment à passer. c'est lorsque je délibère si je peux me permettre de vous le présenter où s'il convient mieux que je m'en abstienne. Je connais votre indulgence ; mais je vois votre gravité. Encore que j'écrive toujours Dieu merci, avec le sentiment d'un chrétien et pour prouver une chose, toujours la même chose, je crains que vous ne trouviez là dedans trop de frivolité littéraire, et que ce ne fait quelque cas de lèse-majesté de vous attirer vers cet amusement.

Auteurs : Viard, Victor (1814-1886)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Mon cher ami, Si j'avais été moins occupé, je serais allé à votre cours, et je me serai chargé de ce que vous désirez. Mais j'avais une énorme sténographie à revoir. Je suis fort perdu, je suis perdu dans le Moyen-Âge. Je me noye, je vais a fond. Si je n'ai pas occasion de vous voir d'ici à peu, j'irai vous chercher un de ces soirs. Car je suis toujours chez moi jusqu'à 2 heures, et ensuite je vais à l'Institut compuler des textes. Qu'avez-vous à me dire que ne puisse s'écrire ? Je n'attends plus rien dans ce monde que votre élection. Je vais à 3 heures, passer au journal, pour voir, s'ils ont quelque chose, car la leçon de samedi, comme j'en suis sur, et indiquera ce qui est convenable.

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Mon cher ami, recevez mes compliments bien sincères d'un succès prévu autant que souhaité. Voilà la carrière ouverte. Elle sera je crois bien rude. Mais personne n'y portera plus d'élévation d'esprit et de talent. Puisse tout cela être efficace !

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Je ne vous parlerai pas de votre discours qui m'a paru si éminent comme acte, et comme talent. Mais où allons-nous ?

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Mon cher ami, je vous remercie de vos questions qui marquent votre attention académique, dont nous sommes fiers. Ce n'est pas la commission pour le prix sur la Charité qui est convoquée aujourd'hui. C'est seulement la commission pour les ouvrages utiles aux moeurs. Jeudi prochain, si vous le voulez bien, vous serez convoqué pour la charité.

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Vous travaillez beaucoup m'a-t-on dit, et vous allez pendant ce court repos à achever un morceau très important d'histoire et de politique. C'est un noble emploi, en attendant non pas plus grande, mais autre chose.

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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Mon cher ami, je vous remercie de votre excellente lettre, et de la confiance entière avec laquelle vous me parlez. Je ne vois rien dans les circonstances qui contrarie ma disposition naturelle à approuver ce que vous faîtes. Le parti que vous avez pris me parait bon surtout par les inconvénients qu'aurait eu le parti par contraire. Le bien d 'ailleurs que vous pouvez faire au pays dans une occasion prochaine est une considération qui supprime toutes les autres. Ce que je regrette, c'est ce qui vous est étranger. C'est l'appui donné à une formation dont les conséquences se développent.

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)

Auteurs : Villemain, Abel-François (1790-1870)
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