Commande de produits d'hygiène.

Commande de produits d'hygiène.

Commande de produits d'hygiène pour un montant de 24,80 F.

Réception de marchandises et paiement d'une facture du 6 janvier 1894 par l'envoi d'un chèque de 27,05 F.

Rectification d'une facture de Fumouze frère et envoi d'un chèque de 49,15 F.

Signale à Fumouze frères qu'une caisse de marchandises n'a pas été encore livrée.

Sur la rectification d'une facture suite à la remise accordée par Fumouze frère à Marie Moret ; commande d'articles de soin et d'hygiène et envoi d'un chèque d'un montant de 24,30 F.

Envoi d'un chèque de 29,50 F.

Informe Fumouze frères qu'elle a réceptionné la livraison attendue et qu'elle leur adresse un chèque de 61,20 F pour solde de leur facture.

Envoi d'un chèque de 22,15 F pour solde d'une facture du 14 avril 1894.

Commande de brillantine et de paquets de camphre pour un montant de 17,70 F.

Réception de la lettre de Glady Cavelier et du mandat de 10 F pour le réabonnement au journal Le Devoir. Départ prochain de Nîmes de Marie Moret.

Envoi de la deuxième édition du livre de Bernardot sur le Familistère, qui contient « la plus complète biographie parue jusqu'ici de J. Bte André Godin ».

Adresse des vœux de réussite à Gaston et Paul Piou de Saint-Gilles dans leur projet de devenir ingénieur et docteur en médecine. Antoniadès satisfait de ses études en Belgique. Temps froid à Nîmes.

Réponse à une lettre de Gaston Piou de Saint-Gilles en date du 11 novembre 1893 : changement d'adresse pour l'expédition du journal Le Devoir. Le numéro de décembre 1893 du Devoir est en préparation.

Réponse à une lettre de Glady Cavelier en date du 1er octobre 1893 : méprise sur la « grande fortune » de Marie Moret ; fortune de Godin léguée aux descendants de son fils et à la Société du Familistère, charge à cette dernière de verser une somme à Marie Moret pour la publication du journal Le Devoir et des œuvres de Godin ; sur la livraison gracieuse du Devoir à Glady Cavelier.

Réponse à une lettre de Glady Cavelier en date du 27 septembre 1893 : Marie Moret ne peut satisfaire la demande de sa correspondante, mais lui propose de recevoir gratuitement le journal Le Devoir.

A bien reçu le numéro de la Revue internationale de l'enseignement. Commande du livre Le passé et l'avenir des trade unions, par Howell, traduit par M. Le Cour Grandmaison, édité par Guillaumin et Cie. Sollicite l'état de son compte chez Guillaumin.

Réception de l'état de son compte chez Guillaumin et Cie, créditeur de 380,55 F, et du livre d'Howell sur les trade unions. Commande du livre de Nicolas Notovitch, Vie inconnue de Jésus-Christ.

État du compte de Marie Moret chez Guillaumin et Cie. Commande deux livres : Le crime à Paris par Louis Puibaraud et L'ubiquité de la conscience par Alfred Fouillée.

Réception du livre de Nicolas Notovitch, Vie inconnue de Jésus-Christ et commande du livre du docteur Baraduc, La force vitale.

Réception des livres commandés et commande du numéro du 15 janvier 1894 de la Revue internationale de l'enseignement.

Envoi de la deuxième édition du livre de Bernardot sur le Familistère, dont Marie Moret avait annoncé le 3 avril 1893 à Brocher la parution prochaine, et qui contient « la plus complète biographie parue jusqu'ici de J. Bte André Godin ».

Demande quel serait le montant des droits de reproduction dans Le Devoir de la traduction française de romans étrangers dont la Société des gens de lettres ne détient pas les droits. Demande le catalogue de la Bibliothèque des meilleurs romans étrangers.

Demande quel serait le montant des droits de reproduction dans Le Devoir de la traduction française de l'un des deux romans d'Edward Bulwer Lytton, Zanoni ou Pisistrate Caxton. Rôle des romans dans Le Devoir et œuvre désintéressée du journal.

Réponse à la lettre de Hachette et Cie en date du 20 février 1894. Les droits de reproduction des traductions françaises des romans d'Edward Bulwer Lytton, Zanoni et Pisistrate Caxton étant beaucoup trop élevés (50 F pour chaque volume), Marie Moret ne donne pas suite.

Hector Malot a communiqué son adresse à Marie Moret. Envoi du livre de Bernardot sur le Familistère et de plusieurs numéros du journal Le Devoir. Joint une lettre écrite par Auguste Fabre à Hector Malot après la lecture du roman En famille : « Vous comprendrez après avoir lu cette lettre, combien il m'est doux de présenter à vous qui nous paraissez si bien fait pour l'apprécier, l'œuvre du fondateur du Familistère. »

Demande le prix de confection de guêtres.

Commande d'une paire de bottines identique à la paire livrée précédemment.

Précisions sur les guêtres désirées par Marie Moret : « vraies » guêtres descendant sur le dessus des bottines, et remontant, comme pour les guêtres d'enfants, au-dessus des genoux qui la font souffrir de rhumatisme ; dimensions des guêtres à confectionner. Signale son adresse à Nîmes (Gard).

Marie Moret ajoute à sa commande d'une paire de bottines deux paires de semelles en paille et douze paires de lacets.

Commande d'une paire de bottines plus larges que la paire commandée précédemment.

Commande d'une paire de guêtres au prix de 40 F. Indication des mesures pour leur confection.

Commande une paire de bottines identique à la dernière fabriquée par Henry Herth pour Marie Moret.

Envoi d'un chèque de 53,85 F en règlement de la facture du 16 septembre 1893. Commande d'une paire de bottines identique à la paire reçue.

Annonce l'envoi d'un chèque de 53,85 F à Henry Herth.

Envoi d'un chèque de 63,85 F à Henry Herth pour solde de la facture datée du 18 janvier 1894.

Presse Herth de lui livrer les guêtres commandées.

Réception et paiement de guêtres au prix de 40,85 F que Marie Moret juge exorbitant.

Envoie un chèque de 53,85 F en règlement de la facture du 25 septembre 1893. Accuse réception des bottines.

Réception des bottines et semelles commandées ; envoi d'un chèque de 54,85 F.

Réception du mandat postal de 10 F pour le réabonnement d'Irénée Priqueler à Plancher-Bas (Haute-Saône). Remerciements pour les encouragements de Priqueler partagés avec Jules Pascaly qui se trouve à Nîmes. Envoi de trois exemplaires de l'Almanach de la coopération.

Réponse à la lettre d'Isanie Ducruet en date du 30 décembre 1893. Vœux de bonne année à Isanie, Joseph et Maria Ducruet. Temps froid à Nîmes et ailleurs en France. Amélioration de la santé de madame Lavabre. Informations communiquées par Isanie Ducruet sur les commandes de fourneaux.

Réponse à une lettre d'Isanie Ducruet en date du 10 octobre 1893. La famille Ducruet de retour chez elle après avoir assisté à la fête de l'Enfance du Familistère de Guise le 3 septembre 1893. Prochain départ de Marie Moret pour le midi. Sur madame Lavabre et ses petits-enfants. Sur les ouvriers mineurs et l'École professionnelle de Charleroi. Compte rendu de la fête de l'Enfance dans le numéro d'octobre du journal Le Devoir. Sur les manifestations franco-russes à Guise.

Réponse à une lettre d'Isanie Ducruet en date du 3 mai 1894. Sur l'Almanach de la coopération apprécié par Isanie Ducruet. La famille Moret-Dallet de retour au Familistère. Le mari d'Élise Pré en séjour pour des raisons de santé chez un paysan en lisière de la forêt du Nouvion-en-Thiérache. Élise Pré a reçu une lettre d'Isanie Ducruet. Elle et son mari ne pourront aller voir les Ducruet à la Saint-Médard. Sur la famille Lavabre ; Marie Moret a donné de l'ouvrage à madame Lavabre. Compliments d'Auguste Fabre.

Envoie à Johnston deux gravures représentant Jean-Baptiste André Godin dans sa maturité et à la fin de sa vie, ainsi qu'une photographie d'elle-même datant d'une dizaine d'années. Complimente Johnston pour l'article paru dans The Labour Prophet.

Réponse à la lettre de James Johnston en date du 10 avril 1894. Félicitations pour la récompense obtenue par Johnston à la « World's Fair ». Demande d'une biographie de Godin : Marie Moret a déjà transmis à Johnston la seconde édition du livre de Bernardot sur le Familistère, où se trouve la biographie la plus complète de Godin, révisée par Marie Moret. Envoi possible pour reproduction d'un portrait en photogravure de Godin et d'un portrait photographique de Moret au retour de cette dernière au Familistère. Les vues du Familistère que Johnston a utilisées dans ses conférences de l'hiver dernier sont à demander à l'administrateur-gérant François Dequenne.

Envoi de la deuxième édition du livre de Bernardot sur le Familistère, dont Marie Moret avait annoncé le 23 août 1893 à Johnston la parution prochaine, et qui contient « la plus complète biographie parue jusqu'ici de J. Bte André Godin ».

Abonnement de Marie-Jeanne Dallet au Magasin d'éducation et de récréation pour 1894, au prix de 16 F.

Marie Moret met en relation Jules Prudhommeaux et Émile Massoulard, élève à l'École du service de santé militaire, « fils d'un homme que M. Fabre et moi avons connu au Familistère en 1879-1880 et qui nous a inspiré autant d'estime que d'attachement ». Disparition inexplicable d'Antoine Massoulard. Émile Massoulard souhaite connaître ceux qui ont connu son père. Prudhommeaux viendra-t-il à Nîmes cet hiver ?