Informe du changement d'adresse pour l'envoi de L'Indicateur des chemins de fer du 3 au 10 novembre 1894 à partir du samedi 3 novembre.

Accuse réception des deux produits commandés et envoie un chèque de 8,45 F.

Envoie un chèque de 6,35 F en règlement de la facture envoyée le 20 décembre 1894. A pris note de l'indication concernant les goupilles de cristal. En post-scriptum, accuse réception des produits.

Envoie un chèque de 34,50 F pour la commande d'un stérilisateur pour le lait et une chaise marchepied six marches, à expédier franco à Nîmes.

Envoie 0,50 F en timbres postaux pour recevoir La Mode Illustrée à Nîmes.

Demande de faire envoyer à Paris chez Pascaly La Revue mutualiste avec laquelle Le Devoir pratique l'échange.

Demande l'envoi de plusieurs échantillons de voilages en tulle.

Accuse réception des échantillons de tissus demandés qu'elle leur renvoie accompagnés d'un chèque de 12,20 F pour une commande de 2 mètres de tulle.

Demande l'envoi d'échantillons de tulle pour voilettes.

Envoie un chèque de 10,70 F pour la commande de 2 mètres de tulle pour voilettes ainsi que les échantillons des tulles qui ont été envoyés.

La famille Moret-Dallet remercie Devillers pour ses vœux de fin d'année envoyés le 6 janvier 1895 et lui envoie les siens en retour. Touchée par le mot de Devillers concernant Godin et son oeuvre. Sur la publication des Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste-André Godin dans Le Devoir depuis 1891 : la fondation du Familistère, la période 1870-1871, la vie politique. Sur le froid qu'il fait à Nîmes et la peur d'avoir à appeler un autre médecin que «le bien cher, l'affectionné Monsieur Devillers ». Sur les occupations de la famille Moret-Dallet et de Fabre : Jeanne fait de la peinture ; Émilie s'occupe des écoles du Familistère ; elle et Fabre réunissent des documents sur les faits sociaux dans les pays anglo-saxons. Leurs pensées tournées vers « notre patrie dans la patrie ».

Envoie un chèque de 10 F pour solder la facture du 18 décembre 1894. Demande un accusé de réception.

Accuse réception à Guise, fin septembre, de la jaquette garnie skungs et prie Louise Piret de lui faire expédier à Nîmes sa jaquette de velours noir en fourrure, également en garde chez elle.

Rappelle à Mme Piret qu'elle a mis en garde chez son fourreur une jaquette et un vêtement, tous deux garnis skungs ; demande le retour de la jaquette en drap noir bouclé au Familistère, l'autre sera à envoyer plus tard à Nîmes. Mme Piret de passage à Guise : déplacement non nécessaire si les Moret-Dallet sont ses seules clientes de la ville car elles s'apprêtent à partir à Nîmes.

Au sujet de la conférence de Lucien March dont le compte-rendu est paru dans L'Université de Paris : Marie Moret rapporte l'avis d'un de ses amis [Fabre, probablement] ; sur l'importance croissante de l'implication des machines dans l'économie et le travail. Propose à March de lui envoyer plusieurs ouvrages.

Envoie plusieurs ouvrages dont elle détaille l'intérêt. Fait part des réflexions de Fabre sur l'opinion de March sur la condition actuelle du mouvement coopératif et ses idées politiques et économiques.

La famille Moret-Dallet adresse ses condoléances à Lucy Latter et aux dames Pagliardini pour le décès de Tito Pagliardini. Marie Moret remercie Lucy pour les notes qu'elle lui enverra et la prie de lui adresser les journaux donnant des renseignements biographiques sur « notre bien cher ami ». Tito Pagliardini a retrouvé Godin et « bien d'autres amis qui étaient partis avant lui », ainsi que sa femme dans le monde spirituel.

Marie Moret compatit à la douleur de Lucy Latter dont « l'ami qui était comme un second père » pour elle est décédé. Sur son intérêt pour le voyage de Lucy en Allemagne et son ravissement quant à la bonne appréciation des méthodes et travaux de Lucy à l'Exposition éducationnelle de Londres. La remercie pour les nouvelles de la famille Pagliardini et espère que Le Devoir arrive bien à Londres. Dans le numéro d'octobre, article sur la Fête de l'Enfance et dans celui de novembre le compte-rendu annuel des opérations de la Société du Familistère. Sur les choses qui suivent leur cours au Familistère, sa sœur et sa nièce qui travaillent pour les écoles et elle-même qui travaille au Devoir.

Pascaly et Marie Moret accusent réception du numéro de juillet du Devoir. Confirme l'impression de la brochure de Fabre, Deux épisodes de la vie de Robert Owen, dont les frais sont à porter sur la facture du Devoir.

Pascaly et Marie Moret accusent réception du numéro de juillet du Devoir. Confirme l'impression de la brochure de Fabre, Deux épisodes de la vie de Robert Owen, dont les frais sont à porter sur la facture du Devoir. 100 exemplaires de la brochure seront à joindre aux exemplaires du Devoir expédiés, les autres seront à remettre directement à Fabre.

Envoie un chèque de 197 F en règlement de la facture de septembre 1894. Confirme la réception des étiquettes pour Le Devoir ; retourne des épreuves corrigées pour le prochain numéro du journal ; sur la composition et les corrections du prochain numéro.

Marie Moret satisfaite des corrections régulières du Devoir effectuées par l'imprimerie. Sur les modifications et corrections de la feuille 2 ; Marie Moret retourne les épreuves des feuilles 3 et 4 et de la couverture ainsi que la suite de « Sans famille ».

Retourne à Veuve Laporte les épreuves corrigées de « Robert Owen », « Assurance contre le chômage », du sommaire et de la dernière page de la couverture. Les prie d'accélérer la composition.

Sur une dépêche que Marie Moret vient d'envoyer à Veuve Laporte. Elle leur retourne la suite du roman Sans famille pour son intégration au prochain numéro du Devoir. En post-scriptum, rappelle de modifier le sommaire et les prie de lui envoyer une épreuve de la couverture.

Plusieurs points concernant l'édition du journal Le Devoir : envoie 9 pages de documents biographiques de Godin pour le prochain numér ; Pascaly enverra aussi un article ; elle et Pascaly ont bien reçu le numéro 605 du Devoir ; Fabre leur enverra bientôt un article de Gide « Des contrats de salaire » ; envoie un chèque de 197 F en règlement de la facture.

Marie Moret accuse réception de la facture qu'elle règlera lorsqu'elle sera en possession du nouveau numéro du Devoir. N'a pas encore reçu l'exemplaire du tirage demandé mais Pascaly vient de recevoir le sien. Adresse plusieurs articles et documents pour le prochain numéro, dont le sommaire. Demande à ce que Veuve Laporte soumette à Auguste Fabre un exemplaire des épreuves et lui restitue son manuscrit le plus tôt possible. Sur la composition du numéro.

Retourne les épreuves corrigées du Devoir et la suite du roman Sans famille.

Envoi d'articles et composition du prochain numéro du Devoir.

Envoie des articles à insérer dans le prochain numéro du journal Le Devoir ; sur l'insertion de l'article de Gide, « Des contrats de salaire », après la biographie Godin ; sur l'arrivée au Familistère du ballot des 320 exemplaires du journal.

Accuse réception la lettre de Veuve Laporte du 5 septembre 1894 et des manuscrits qui n'ont pu être insérés dans le numéro du Devoir du mois. Marie Moret envoie avec cette lettre plusieurs articles à insérer dans le prochain numéro d'octobre qu'il faut mettre en composition. Pascaly en vacances, Marie Moret demande à ce qu'elle soit la seule à recevoir les épreuves à corriger.

Retourne les pages du Devoir demandées. Marie Moret remercie Veuve Laporte du mot sur la conférence de Gide. Sur l'envoi du sommaire par Pascaly.

Suppose la bonne réception des documents envoyés par Pascaly et envoie un chèque de 197 F pour solder la facture du 28 mai 1894.

Sur la composition du prochain numéro du Devoir. Accuse réception du ballot arrivé au Familistère et leur envoie un chèque de 197 F en règlement de la facture.

Accuse réception de l'exemplaire du Devoir et envoie les 45 pages de compte-rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère, à placer dans le nouveau numéro du journal. Sur la composition du numéro et la mise à disposition de tirés à part du compte-rendu de l'assemblée générale pour Dequenne et Cie.

Retourne l'épreuve d'une page du Devoir ; sur un prochain envoi de Pascaly mais son enfant étant malade, il ne pourra peut-être pas y procéder rapidement ; pour la composition, demande à l'imprimerie de se baser sur le sommaire qu'elle envoie avec cette lettre.

Envoie le complément de matières pour la composition du prochain numéro du Devoir de novembre 1894. Demande de presser l'envoi des épreuves du compte-rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère afin qu'elles puissent être contrôlées avant parution. Les prie de rajouter sur la facture mensuelle le prix des étiquettes commandées.

Envoie le sommaire du prochain numéro du Devoir ainsi que des articles pour sa composition.

Sur la composition du prochain numéro du Devoir et la rubrique « Ouvrages reçus ».

Accuse réception des épreuves reçues avec la lettre du 15 juin 1894 : Marie Moret est satisfaite des nouveaux caractères et envoie à Veuve Laporte les épreuves corrigées. Marie Moret en train de voir avec Fabre pour un tirage à part de son article « Deux épisodes de la vie de Robert Owen » paru dans Le Devoir.

Accuse réception des documents envoyés et envoie un chèque de 209 F en règlement de la facture.

Retourne à l'imprimerie les épreuves du Devoir qu'elle estime « moins soignées » ; en pourparler avec Fabre au sujet d'un tirage en brochure de l'article de Gide, « Des contrats de salaire ».

Retourne à Veuve Laporte les épreuves de la feuille 3 du journal Le Devoir. Correction à apporter sur le nom d'un ouvrage. Sur la mise en page de « Sans famille ».

Retourne avec cette lettre les 17 pages d'épreuves corrigées pour le prochain numéro du Devoir ; espère recevoir bientôt le numéro de septembre ; leur renvoi un exemplaire des étiquettes faites l'année dernière : commande de 400 autres exemplaires ; leur propose de lui envoyer la nouvelle composition pour le bon à tirer.

Retourne les épreuves corrigées du Devoir.

Confirme sa lettre du 20 juin 1894 et retourne à Veuve Laporte les épreuves de la feuille 4 et de la couverture. Sur la mise en page de « Sans famille ». Prie Veuve Laporte de lui adresser un exemplaire du tirage, de même qu'à Pascaly.

Retourne sous pli séparé les épreuves des pages 513 à 540 du prochain numéro du Devoir. Enverra les autres pages une fois que Pascaly lui aura envoyé ses corrections. Sur les modifications à apporter à l'article de Pascaly « Les socialistes au Parlement ».

Souhaite recevoir la double épreuve du compte-rendu de l'assemblée générale de l'Association coopérative du Familistère avant son départ à Nîmes. Accuse réception des exemplaires du Devoir d'octobre mais se plaint de la qualité du papier d'emballage jugée « inacceptable ».

Accuse réception des 21 épreuves qu'elle enverra à Veuve Laporte corrigées demain. Confirme sa commande des 400 étiquettes et leur redemande l'envoi de la facture du Devoir de septembre. Les brochures du Devoir sont arrivées en bon état.

Retourne les épreuves corrigées du prochain numéro du Devoir ; sur les modifications et corrections à apporter.

Accuse réception de la double épreuve du compte-rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère et met la composition à la disposition de la Société du Familistère pour tirage à part.